• Elle cachait son bébé avec du ciment

    (19/10/2007)

     

    Une Japonaise a dissimulé le cadavre de son bébé de 18 mois dans du ciment pensant qu'il était mort, a rapporté vendredi la police


    Kyoto Yuko Hamano, 30 ans, déjà mère de deux filles, et son compagnon Masakatsu Takagi, 48 ans, ont tous deux été arrêtés par la police de Kyoto, pour dissimulation de corps, en attendant de connaître les causes exactes du décès de l'enfant.

    "Hamano a dit à la police que le bébé avait brusquement perdu connaissance en mars l'an dernier et que pensant qu'il était mort, elle l'avait mis dans un placard", a déclaré un policier.

    Au bout de 3 jours, l'odeur devant insupportable, elle a placé le corps dans une boîte en plastique et a versé du ciment dessus, a rapporté la police, citée par la presse.
    Les enquêteurs ignorent pourquoi la mère n'a pas immédiatement conduit le bébé à l'hôpital et ont ordonné une autopsie.
    Son compagnon est soupçonné d'avoir aidé Hamano à cacher le bloc de ciment dans l'appartement d'une de ses connaissances.

    La police a lancé l'enquête après avoir été informé par des voisins que l'enfant n'était plus apparu depuis plusieurs mois.


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  • Il était 16 heures, jeudi, quand des coups de feu ont été entendus devant l'école primaire François-Villon de Sevran, en Seine-Saint-Denis. Une des balles est allée se loger dans un mur après avoir traversé une salle de classe dans laquelle se trouvaient des élèves et leur institutrice. Sans faire de blessés."J'allais chercher mon fils de 9 ans à l'école lorsque j'ai vu des gens courir partout, on a entendu des tirs, je ne pensais qu'à une chose, récupérer mon fils", témoigne un père de famille dans Le Parisien daté de ce vendredi. Les enfants se sont couchés sous les tables et la sortie a été retardée jusqu'à 17 heures", précise-t-il. 
     
    Une personne a été interpellée peu après les faits. D'après Le Parisien, il s'agirait d'un adolescent de 15 ans qui circulait sur un scooter. Il est actuellement en garde à vue. La police judiciaire de Seine-Saint-Denis a été chargée de l'enquête.  L'inspecteur d'Académie se rendra sur place ce vendredi à 13 heures.
     
    Pour le maire communiste de Sevran, Stéphane Gatignon, ces coups de feu sont la conséquence d'un "règlement de comptes entre trafiquants". "Depuis le mois de juillet, de tels faits se multiplient dans votre quartier", écrit l'élu dans un communiqué adressé vendredi aux habitants. "Les auteurs souhaitent intimider la population, établir leur loi sur un territoire qu'ils veulent s'approprier. C'est inacceptable", poursuit l'élu qui rappelle avoir demandé au préfet que la police ait les moyens d'enquêter et de "rétablir le calme et la tranquillité dans le quartier".

     

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  • Un couple en garde à vue après la découverte de cinq foetus dans leur cave

    (18/10/2007)

    © PIRARD

    Un homme en garde à vue aurait découvert les foetus dans des sacs poubelles dans son immeuble


    PARIS Un couple était en garde à vue jeudi après la découverte de cinq foetus dans la cave d'un immeuble de Valognes dans la Manche, a-t-on appris de sources concordantes. Le parquet de Cherbourg devait donner une conférence de presse en fin d'après-midi.
    Dans la journée, le couple, dissimulé sous des couvertures, a été emmené par les gendarmes dans l'immeuble, a-t-on constaté sur place. Les forces de l'ordre avaient barré la rue.

    Selon des sources condordantes, l'homme en garde à vue aurait découvert mercredi soir les foetus dans des sacs poubelles dans la cave d'un immeuble de deux étages où résidait le couple. Des perquisitions étaient en cours à leur domicile ainsi qu'au domicile précédent de la femme, précisait-on de mêmes sources.

    D'après les témoignages de voisins, le couple serait âgé d'une trentaine d'années et la femme était déjà mère d'un petit garçon d'une dizaine d'années, issu d'une première union.


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  • Un engin explosif, composé d'un à un kilo et demi de plastic, a été découvert mardi dans un ancien centre de rétention administrative de Toulouse, peu avant la visite du préfet de Région, a indiqué ce dernier, Jean-François Carenco. La découverte a été faite à la mi-journée dans la cour du centre où elle avait été lancée, a précisé le préfet ajoutant que c'était "une vraie bombe, juste chaude".
     
    "Je me suis rendu au centre de rétention car j'envisage d'aménager ces locaux en centre d'hébergement pour les SDF" en vue de la période hivernale", a déclaré le représentant de l'Etat. Il a souligné qu'il ne faisait "pas de lien entre (son) passage et la bombe", qualifiée d'"artisanale mais professionnelle". Il a poursuivi en déclarant qu'il ne faisait pas non plus "d'amalgame" avec la question des sans-papiers. Le préfet a décrit l'engin en révélant qu'il "y avait ce qu'il fallait en pains de nitrate, le cordon et le détonateur, avec de la ferraille autour. Selon lui, la mèche s'est éteinte quand la bombe a été lancée dans la cour où elle a été vue par plusieurs personnes.
     
    Le centre de rétention administrative, aujourd'hui désaffecté et situé près du canal latéral de la Garonne, a été remplacé depuis juin 2006 par un centre de rétention à Cornebarrieu, près de Toulouse. Depuis mars 2007, deux autres engins ont été découverts et neutralisés à Toulouse. Un premier engin incendiaire, constitué de plusieurs litres d'un produit visiblement inflammable reliés à un système de mise à feu électrique, avait été découvert devant le bâtiment administratif abritant le service des impôts. Au mois de juin suivant, une bombe artisanale avait été neutralisée par les services de déminage sous une voiture-école garée devant une auto-école sur l'un des grands boulevards de la ville.


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  • Une dizaine de voitures ont été percutées lors d'une course-poursuite, qui n'a pas fait de blessés, mardi matin sur la nationale 20 dans l'Essonne, après qu'une voiture volée eut forcé un barrage des douanes, selon une source policière. Deux douaniers à moto effectuaient un contrôle sur la N20 à hauteur d'Avrainville, lorsqu'une BMW volée quatre jours plus tôt dans le Loir-et-Cher a forcé le passage.
     
    Les occupants de la voiture, trois Tziganes, ont vidé puis lancé un extincteur en direction des douaniers en uniforme qui les poursuivaient, sans toutefois les atteindre. Les fuyards ont percuté une dizaine de véhicules, mais sans faire de blessé, lors de la course-poursuite.
     
    Celle-ci s'est achevée quelques kilomètres plus loin, près d'Arpajon. Les trois occupants de la BMW ont abandonné la voiture accidentée, et ont pris la fuite à pied, après que l'une des douaniers, se sentant menacé, eut tiré un coup de feu en l'air.
     
    Du matériel pouvant servir pour des cambriolages, dont une meuleuse, a été retrouvée dans la voiture. Un hélicoptère de la gendarmerie avait notamment été employé afin de tenter de retrouver les trois individus. L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale.

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