• Exclusif : les voisins du meurtrier présumé de Mulhouse, remis en liberté hier, racontent sa vie

    MULHOUSE L'immeuble est bâti sur trois étages. L'appartement de Nicolas Panard se trouve au premier. Sa terrasse donne sur la rue, à une distance de 15 mètres du trottoir. Entre les deux, le chemin d'accès à l'immeuble avec un espace vert sur la droite. Les volets sont baissés. Panard avait entreposé une échelle sur sa terrasse et avait apposé une clôture en textile vert contre le garde-fou. Pour rentrer chez lui, Panard devait franchir deux portes de sécurité communes à tous les occupants de l'immeuble.

    Une fois dans le hall, vaste mais relativement peu éclairé, Panard partait sur la droite pour prendre l'ascenseur. Arrivé au premier, Panard sort et tourne sur la droite. Après quelques mètres, le couloir fait un angle droit et la porte d'entrée de son appartement se trouve dix mètres plus loin sur la droite. C'est le numéro 35. La porte est protégée par des scellés. Des scellés à l'ancienne, à la cire et reliés par une longue ficelle. En tout, six scellés, de couleur rougeâtre. Le dernier scellé retient aussi un formulaire de police. Il y est inscrit : "Habitation sous scellés occupée principalement par Panard Nicolas, pour homicide".

    Pour les voisins, c'est le choc. "Je n'avais pas osé venir voir les scellés", nous raconte une dame sous le couvert de l'anonymat. "Je ne pensais pas que c'était aussi grave."

    Puis, Henda Gary, une jeune fille de 16 ans, nous explique : "Je le voyais de temps en temps en venant rendre visite à ma soeur. Il était toujours seul. Il était quelquefois accompagné de son petit chien".

    La voisine de la soeur de Henda l'accueillait de temps à autre pour prendre le café. A priori, un homme sans histoire. "Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences."

    Les voisins sont unanimes sur le personnage : "Il était discret. Il parlait peu. C'est à peine s'il disait bonjour. Parfois, on avait l'impression que cela le dérangeait de communiquer. C'est étonnant de voir qu'un homme de cet âge-là, affable, calme et effacé, ait pu être un tueur d'une telle cruauté".

    Hier, Nicolas Panard été remis en liberté sous contrôle judiciaire avec un bracelet électronique, après avoir été inculpé pour cinq meurtres.



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  • La justice française a condamné à 8 ans fermes un Belge, cerveau d'une vaste escroquerie


    MARSEILLE Le cerveau d'une escroquerie internationale qui a fait perdre plus de 30 millions d'euros à des centaines de personnes entre 1999 et 2005 a été condamné vendredi à huit ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Marseille.

    Alexandre Gabriel, de nationalité belge et âgé de 52 ans, président de la société International Marketing Corporation (IMC), a été condamné pour escroquerie et blanchiment par la 6e chambre économique du tribunal. Il a également écopé d'une amende de 375.000 euros et toute activité bancaire lui a été définitivement interdite. Le prévenu, ancien gendarme, a été maintenu en détention. Il a déjà effectué deux ans et demi de détention provisoire.


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  • Un adjoint de sécurité a été agressé jeudi après avoir dénoncé deux personnes condamnées par la justice pour des violences après la mort de deux adolescents à Villiers-le-Bel, dans le Val-d'Oise. Il a été a été agressé "et roué de coups" près de chez lui "par une bande de jeunes gens", selon une source policière.
     
    Avec un collègue, ils avaient permis l'interpellation de ces deux jeunes gens, qui ont comparu devant la  justice et ont été condamnés à des peines de prison ferme. Lors de l'audience les noms de ces deux adjoints de sécurité en poste à la  police aux frontières de Roissy et domiciliés tous les deux dans le Val-d'Oise ont été divulgués, ce qui aurait permis aux agresseurs de les retrouver, selon la police. Une enquête a été ouverte et l'administration policière est en train de leur trouver un logement dans un autre département.

    Jean-Claude Delage, secrétaire général d'Alliance a estimé qu'il "faudrait prendre des précautions afin de mieux protéger les policiers dans ces cas où ils concourent  à la manifestation de la vérité", surtout "s'agissant d'Adjoint qui sont jeunes" et  souhaitent intégrer la police. Il suggère par exemple qu'ils témoignent sous X "comme le droit le permet". Les violences liées à la mort de deux adolescents à Villiers-le-Bel ont  débouché depuis quatre jours sur une soixantaine de placements en garde à vue et  sept peines de prison ferme, a annoncé jeudi la Chancellerie.


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  • J ai trouvé sur internet un article daté du 08/02/2001 relatant un meurtres de deux homosexuels. Le 28/11/2007 un homme de 68 ans a été arréter  pour des meutres entre 1983 et 2002 , cette ex artiste transformiste choissisez ces victimes exclusivement dans le milieu homosexuel . Il  a faits des victimes en autre a Paris . A vous de voir si il y a un lien ......

    Homosexuels assassinés: les policiers de la brigade criminelle ont découvert vendredi et dimanche à Paris les corps de deux homosexuels, tués dans des circonstances inexpliquées. Vendredi, un ami du couple, inquiet de ne pas avoir de leurs nouvelles, s'était rendu à leur appartement rue Saint-Martin et y avait découvert le corps du propriétaire, un notaire en retraite âgé de 76 ans. Il avait été entouré avec du plastique alimentaire et du ruban adhésif après avoir été étranglé. Dans le cadre de leur enquête, les policiers se sont rendus dimanche après-midi au garage où le septuagénaire entreposait sa voiture. Derrière l'automobile, ils ont découvert sous des gravats le corps de l'amant du notaire, un Polonais de 30 ans. Le jeune homme avait également été étranglé et sa mort, selon les premières constatations, serait antérieure à celle du notaire.


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  • Selon les témoignages recueillis par la police, cette jeune femme d'une vingtaine d'années, a procédé à quatre braquages depuis la mi-octobre en s'attaquant à des filiales d'une seule banque, la "Wachovia", tout en menant chaque fois une conversation animée sur son portable.

    Une caméra de télévision l'a filmée lors de son dernier hold-up il y a quelques jours à Ashburn, dans la banlieue de Washington. L'enregistrement la montre à visage découvert en grande conversation téléphonique pendant qu'une caissière, lui remet une pile de billets, qu'elle empoche tout en conversant, avant de sortir, le portable toujours vissé à l'oreille.

    L'examen des enregistrements n'a toutefois pas permis de dire si la jolie braqueuse, à la chevelure brune retenue par une paire de lunettes de soleil, avait un interlocuteur au bout du fil, précise la police.

    Lors de l'un de ses premiers hold up, elle avait utilisé une arme inhabituelle, une boite avec un message scotché pour réclamer de l'argent. La police n'a pas révélé le contenu exact du message.


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