• Guérilla ethnique à Toulouse, Véritable arsenal de gangs mafieux, l'on y trouve du simple flingue au fusil d'assaut, fusil à pompe en passant par le fusil à canon scié. La racaille allogène fait sa petite guerre à Toulouse, depuis maintenant 1 mois. Coups de feu à répétition dans les "quartiers sensibles" (doux euphémisme désignant des territoire occupés), des tirs sont entendus aux abords de Bellefontaine, Reynerie et La Faourette. Il semble bien que la racaille passe au cran supérieur dans sa guérilla urbaine. Deux blessés dans la nuit de mercredi à jeudi 17 avril évacués à l'hôpital Purpan, touchés par du plomb Passage Pergaud, à Bellefontaine, tout ceci sur fond de deal, de vol de scooter, ou de simples rivalités. Des murs et entrées d'immeubles, des voitures, où sont relevées des impacts de tirs en rafale, et l'on retrouve deux hommes étendus touchés-dosés. Les habitants n'ont jamais vu la situation dégénérer et se dégrader à ce point.

     

    source : le billet des faits divers

     


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  • En osant braquer une mitraillette UZI au visage de l'ex-commandant Bouchard alors qu'il sortait de chez lui hier matin, un individu a déclenché une chasse à l'homme qui s'annonce particulièrement acharnée.
    Même si toutes les hypothèses sont ouvertes et que l'enquête s'annonce longue, les policiers ne lésineront pas sur les efforts et les moyens pour le retrouver.
    «Ils ne réalisent pas à qui ils se sont attaqués», s'est insurgée au Journal une source policière bien en vue hier matin.
    Ex-commandant de l'Escouade des crimes majeurs de la police de Montréal, André «Butch» Bouchard, est une véritable icône dans le milieu policier montréalais. Durant sa longue carrière, il peut cependant s'être fait beaucoup d'ennemis.
    La police de Longueuil a pris des mesures pour assurer sa protection et celle de sa famille.
    La police de Montréal, la SQ et la firme Garda, actuel employeur d'André Bouchard, ont annoncé leur intention de collaborer étroitement à l'enquête.
    On a d'ailleurs eu un avant-goût de la détermination policière quand les artificiers de la Sûreté du Québec ont passé plus de quatre heures autour de sa maison et de sa voiture, sur le Croissant Bélair à Brossard, à la recherche d'une bombe.
    Les artificiers ont été suivis par les techniciens en scène de crime de la police de Longueuil qui ont longuement passé le secteur au peigne fin eux aussi, à la recherche du moindre indice.
    Une uzi pointée sur lui
    Tout a commencé vers 7h, quand le policier à la retraite, qui travaille maintenant chez Garda, est sorti de sa maison.
    «Il se dirigeait vers sa voiture quand un homme lourdement armé s'est approché et a pointé son arme vers lui», raconte l'agent Pierre Quintal de la police de Longueuil.
    Après un bref échange avec le suspect, M. Bouchard a rapidement tourné les talons et aurait trouvé refuge dans une cour voisine, pendant que son assaillant prenait la fuite, vraisemblablement à bord d'une camionnette blanche.
    Aucun coup de feu n'a été tiré par le suspect qui tenait un pistolet mitrailleur de type Uzi selon nos sources.
    Après avoir appelé le 911, André Bouchard a dit aux policiers qu'il croyait avoir vu un colis suspect près de sa voiture. Par mesure de précaution, les artificiers de la SQ ont donc été appelés et une trentaine de résidences ont été évacuées.
    «Quand je suis sorti, il y avait trois policiers qui l'entouraient. Il m'a fait un signe de la main, comme d'habitude et ne semblait pas inquiet», raconte Benoit, un voisin de l'ex-commandant.
    Joint par TVA au téléphone, André Bouchard n'a pas voulu commenter pour ne pas nuire à l'enquête mais s'est dit secoué.

    source :  canoe

     


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  • Quatre hommes, soupçonnés d'être impliqués dans l'agression par balles de l'avocat Karim Achoui ( l'ex avocat de Ferrara ) en juin 2007, ont été mis en examen par un juge parisien pour «tentative d'assassinat en bande organisée.

    Parmi eux, figure le tireur présumé, Ruddy Terranova, 30 ans. L'homme a été identifié en garde à vue par l'avocat derrière une glace sans tain à la brigade criminelle, au quai des Orfèvres.

     


    Connu des services de police, il a notamment été condamné en 2005 à trois ans de prison pour avoir roué de coups en 2002 le président du Conseil des démocrates musulmans (CDMF) à la sortie de la mosquée Omar, dans le XIe arrondissement de Paris.

    Selon une source proche du dossier, cet homme de main, qui a côtoyé le milieu islamiste, rêvait d'être admis dans celui du grand banditisme. M. Terranova a contesté les faits qui lui sont reprochés devant le juge. Trois autres personnes soupçonnées d'être impliquées dans la tentative d'assassinat de M. Achoui, ont été mis en examen par le juge Jean-Louis Périès, de la Juridiction interrégionale spécialisée dans la criminalité organisée (JIRS). Les quatre mis en examen doivent être présentés dans la soirée devant un juge des libertés et de la détention (JLD) qui doit statuer sur leur éventuel placement en détention provisoire. Me Achoui, blessé par balles par un inconnu en sortant de son cabinet à Paris le 22 juin 2007, a été l'avocat des frères Hornec, considérés par les policiers comme des parrains du milieu parisien et aujourd'hui écroués.

    source : le parisien

    photo : france soir


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  • Le tribunal de Nanterre a condamné à de la prison ferme un avocat poursuivi pour violation du secret professionnel.

    Le tribunal correctionnel de Nanterre (Hauts-de-Seine) a condamné vendredi Me Mohamed Sehrane, avocat au barreau de Seine-Saint-Denis, à deux ans de prison dont 18 mois avec sursis, et une interdiction définitive d'exercer.

    Me Sehrane était mis en examen pour «violation du secret professionnel» et «révélation d'informations issues d'une instruction de nature à entraver le déroulement des investigations ou la manifestation de la vérité». Les faits datent de janvier 2005.

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    Lors de l'audience, Me Sehrane et son avocat, Me Thierry Herzog, se sont vu refuser par la substitut du procureur leur demande d'exception de nullité, la troisième dans ce dossier.

    A la présidente qui lui posait des questions, Me Sehrane a alors répondu : «Je n'entends pas me défendre aujourd'hui, puisque je ne suis pas en mesure de le faire convenablement. Mes droits fondamentaux ne sont pas respectés».

    Son avocat n'a quant à lui pas souhaité plaider, et a rangé ses affaires dans son cartable pour marquer son désaccord.

    La substitut du procureur a évoqué un «comportement de confusion avec les amis» qu'elle a qualifié de «très inquiétant». Elle avait requis 2 ans de prison dont 18 mois avec sursis, et 5 ans d'interdiction d'exercer, demandant une sanction exemplaire.

    Avocat de l'un des accusés dans un dossier d'enlèvement et séquestration, Me Sehrane avait révélé à son ami d'enfance, également impliqué, puis condamné, mais qui n'avait alors pas été entendu, des éléments issus d'une confrontation, «sachant très bien quelles pouvaient être les conséquences quant au dépérissement des preuves ou au risque de concertation», précise le réquisitoire.

    Ce sont notamment les écoutes des appels téléphoniques qui ont permis l'ouverture d'une information judiciaire contre Me Sehrane le 2 février 2005.

    Me Sehrane a fait appel du jugement.

    source : le parisien


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  • Deux policiers âgés de 24 et 29 ans, qui se rendaient au travail sur la même moto, ont été tués en percutant un poids lourd, dont le chauffeur conduisait en état d'ébriété, tôt vendredi matin à Vienne (Isère).

    Les deux gardiens de la paix en civil, qui devaient prendre leur service à 05H00 au commissariat de Vénissieux (Rhône) près de Lyon, roulaient dans un secteur limité à 50 km/h, à l'entrée de Vienne et s'apprêtaient à prendre l'autoroute A7, vers 04H30, lorsque l'accident s'est produit.

    «La moto sur laquelle se trouvaient le conducteur et son passager a percuté un camion de 19 tonnes qui ne respectait pas une interdiction de tourner à gauche et dont le conducteur avait une alcoolémie de 0,42 mg» par litre d'air expiré, a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Vienne, Franck Rastoul, soulignant que cela correspondait «à peu près à 0,80 g» d'alcool par litre de sang.

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    Le taux d'alcoolémie légal autorisé est de 0,25 mg par litre d'air expiré, soit 0,5 g par litre de sang.

    «Le choc a été très violent et les deux motards éjectés ont été tués», a ajouté le magistrat.

    Les deux victimes sont Sylvain Courbon, 24 ans, vivant en union libre, et Mikael Jomard, 29 ans, marié et père de trois enfants, tous deux domiciliés en Ardèche.

    «Le secteur est limité à 50 km/h et l'enquête devra déterminer à quelle vitesse roulait la moto et si la moto n'était pas éventuellement en excès de vitesse», a souligné le procureur.

    Le chauffeur du semi-remorque, un Français de 38 ans qui n'a pas été blessé dans l'accident, a été placé en garde à vue dans les locaux de la CRS de l'autoroute A7.

    La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie se rendra au commissariat de Vénissieux vendredi à 14H30, a annoncé son ministère. Dans un communiqué, la ministre a exprimé sa «profonde émotion» et assuré que «toute la lumière sera faite sur les circonstances du drame».

    «C'est un accident de circulation dramatique et dans le même temps relativement classique, à savoir le choc entre un véhicule très fragile, une moto, et un camion avec en plus un non respect de la signalisation», a expliqué le procureur de la République.

    Le préfet du Rhône, Jacques Gérault, et le député-maire de Vénissieux, André Gerin (PCF), se sont rendus dans la matinée au commissariat de Vénissieux, où une cellule psychologique a été mise en place.

    «Leurs collègues étaient effondrés car c'était des jeunes très sympathiques», a déclaré M. Gerin qui a exprimé son «émotion devant ce drame abominable».

    «Nous sommes consternés et abattus, j'en ai fait des centaines de collègues blessés par balles ou tués, mais dans ces circonstances, c'est dramatique», a souligné pour sa part Jean-Paul Borelly, secrétaire régional du syndicat policier Alliance, joint par l'AFP.

    L'enquête en flagrance a été confiée à la CRS Rhône-Alpes-Auvergne basée à Chassieu (Rhône), sous la direction du parquet de Vienne

    source : le parisien


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