• Japon: un yakusa condamné à mort

    Ce membre de la pègre japonaise avait assassiné le maire de Nagasaki.

    Un membre de la pègre japonaise (yakusa) a été condamné à mort lundi par un tribunal japonais pour l'assassinat du maire de Nagasaki (sud) l'an passé, ont annoncé les médias.

    Tetsuya Shiroo, 60 ans, membre du plus grand syndicat du crime du Japon, avait été reconnu coupable du meurtre en avril 2007 du maire de la ville, Iccho Ito, qui faisait campagne pour sa réélection.

    Les agences de presse Jiji et Kyodo ont annoncé que le tribunal de Nagasaki l'avait condamné à mort.

    Cet assassinat, très rare dans la vie politique japonaise, avait choqué le pays et eu un écho international, la ville de Nagasaki restant célèbre pour avoir subi le feu nucléaire américain en 1945.

    source : le parsien


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  • La cour délibèrera dans une caserne de CRS

    La cour d'assises des Ardennes qui juge Michel Fourniret et son épouse Monique Olivier délibèrera à partir de mardi soir exceptionnellement, non au tribunal, mais dans une caserne de CRS à Charleville-Mézières.

    «Le président de la cour et les organisateurs du procès ont pris cette décision afin que le délibéré puisse se faire dans les meilleures conditions», a expliqué à l'AFP Christophe Aubertin, le magistrat chargé de la presse.

    Les neuf jurés et les trois magistrats, accompagnés de six jurés et d'un magistrat suppléant, pourront ainsi être restaurés et logés plus commodément qu'au tribunal dans le cadre d'un délibéré qui pourrait durer plus d'une journée.

    Selon l'article 355 du code de procédure pénale, dans le cadre des délibérations de cour d'assises, «les magistrats de la cour et les jurés se retirent dans la chambre des délibérations.

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    Ils ne peuvent en sortir qu'après avoir pris leur décision».

    Une vingtaine de CRS de la Compagnie n° 23 de Charleville-Mézières s'assurera que les jurés ne sont pas «en contact avec des personnes extérieures et qu'aucune intrusion ne viendra gêner la sérénité des débats», a ajouté M. Aubertin.

    Le procès de Michel Fourniret, jugé pour sept meurtres aggravés de jeunes filles au côté de son épouse Monique Olivier, renvoyée pour un meurtre et pour complicité dans trois autres, s'est ouvert le 27 mars.

    Jeudi, l'avocat général a requis contre Michel Fourniret et Monique Olivier la réclusion criminelle à perpétuité, sans possibilité d'aménagement de peine pour lui, et assortie d'une période de sûreté de trente ans pour elle.

    Le verdict est attendu mercredi 28 dans l'après-midi, selon M. Aubertin.

    source : le parisien


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  • Evadé abattu : vers une mise en examen du gendarme<o:p></o:p>

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    Comme annoncé samedi pour le procureur, le gendarme qui a abattu un homme vendredi  soir durant son évasion de la gendarmerie de Draguignan devrait être en examen dimanche pour homicide volontaire. La garde à vue du gendarme, qui a été relevé de ses fonctions par sa hiérarchie, avait été prolongée samedi soir. L'autopsie de la victime, atteinte  par trois des sept balles tirées par le gendarme, sera pratiquée lundi à l'hôpital Font-Pré à Toulon. Selon la procédure pénale, le gendarme, après sa mise en examen, devrait  comparaître devant un juge des libertés et de la détention qui décidera de le placer en détention ou sous contrôle judiciaire. <o:p></o:p>

    Ce drame a provoqué la colère de la communauté des gens du voyage qui samedi avait manifesté devant la compagnie de gendarmerie puis devant le palais de justice.  Et dans la nuit, trois véhicules ont été entièrement détruits et un quatrième endommagé dans la cour de la gendarmerie de Brignoles dans un incendie qui s'est produit à 2h15 et n'a pas  fait de victimes. Aucune suspect n'est pour le moment dans le viseur des enquêteurs, mais les gendarmes ont indiqué que des morceaux de tissu avaient  été retrouvés sous les véhicules incendiés, confirmant une piste criminelle. <o:p></o:p>

    Recherché dans une affaire d'agression à main armée.

    Pour accéder aux véhicules stationnés dans la cour, le ou les auteurs ont  vraisemblablement franchi la clôture du casernement d'une hauteur de 2 m à moins  que les chiffons aient été jeté par dessus, ce qui paraît peu probable aux  enquêteurs. Dès l'alerte donnée un détachement de surveillance et d'intervention de la  gendarmerie mobile, appuyé par un hélicoptère muni d'un projecteur, avait été  mobilisé dans le secteur de Brignoles. Aucune interpellation n'avait été  effectuée dimanche en fin de matinée. Craignant d'autres débordements, la gendarmerie du Var a élargi la sécurité de tous les casernements dans le département.

    L'homme abattu, sans profession, appartenait à la  communauté des gens du voyage et vivait dans un campement à Brignoles. Vendredi soir, il a été tué alors qu'il s'évadait, menotté, de la compagnie  de Draguignan où il avait été transféré après avoir été interpellé jeudi à  Brignoles à la faveur d'un pointage dans le cadre du contrôle judiciaire dont il  faisait l'objet. Il était recherché dans une affaire d'agression à main armée et  séquestration d'un chauffeur routier, dans laquelle trois personnes avaient été  écrouées. <o:p></o:p>

    Les gendarmes ont le droit de faire usage de leurs armes <o:p></o:p>

    Les gendarmes ont le droit de faire usage de  leurs armes, après sommations, dans le cadre d'évasions, a confirmé dimanche le Sirpa Gendarmerie. Selon le lieutenant colonel Pierre Bouquin, du Service d'information et de  relations publiques de la Gendarmerie nationale, les gendarmes obéissent à une  réglementation spécifique pour faire usage de leurs armes dans le cadre  d'évasions qui est inscrite dans l'article 2338-3 du code de la Défense. Contrairement aux policers qui ne peuvent utiliser leurs armes qu'en cas de  légitime défense, les gendarmes peuvent aussi avoir l'usage de leurs armes  lorsque les personnes qu'ils ont invitées à s'arrêter et après sommations,  cherchent à échapper à leur garde et ne peuvent être arrêtées qu'avec usage  d'armes.



    source : lci
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  • Assassin et proxénète en cavale


    Viktorija est poursuivie pour avoir hébergé son compagnon criminel

    LIÈGE Viktorija, 27 ans, a comparu devant le tribunal correctionnel de Liège pour répondre de recel de malfaiteur et séjour illégal.

    C'est une histoire de coeur qui lui vaut d'être poursuivie. En effet, peu avant 2003, Viktorija a hébergé Edward, son compagnon de l'époque, qui était en cavale. Un acte qui pourrait sembler compréhensible. Mais les faits commis par l'homme étaient particulièrement graves et celui-ci ne peut pas être qualifié de petit délinquant puisqu'il avait écopé de 20 ans de prison en Italie pour assassinat et prostitution de mineure !

    Après avoir été incarcéré, Edward avait réussi à se faire la belle et à s'évanouir dans la nature. L'homme s'est ensuite retrouvé en Belgique et a réussi à se cacher de la justice grâce à l'aide de sa compagne.

    Suite à ces faits, la jeune fille avait été condamnée par défaut à 6 mois de prison ferme. Elle a donc fait opposition à ce jugement.

    Vers le sursis

    Devant la juge, la prévenue n'a pas nié les faits mis à sa charge. Elle a admis qu'elle savait que son compagnon était en cavale tout comme elle n'ignorait pas les faits pour lesquels il avait été condamné en Italie. "C'était mon ami à cette époque, mais maintenant il ne l'est plus ", a confié Viktorija devant la juge. "Je ne le vois plus depuis 2003, lorsqu'il a été repris", a expliqué la jeune fille.

    La défense de la prévenue a estimé que le parquet n'amenait pas la preuve que sa cliente était en séjour irrégulier lors de la période incriminée. Elle a donc plaidé l'acquittement pour cette prévention.

    Pour le recel de malfaiteur, l'avocate a avancé le fait que sa cliente n'avait pas de casier judiciaire. Elle a plaidé la suspension du prononcé ou le sursis. Le parquet ne s'est pas opposé au sursis.

      source : DH

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  • Evasion sanglante à Draguignan


    Un homme de 27 ans a été tué vendredi soir  par un gendarme alors qu'il tentait de s'évader, menotté, de la compagnie de  gendarmerie de Draguignan, dans le Var. "L'homme interpellé a profité du fait que la lumière de l'escalier s'est  éteinte pour sauter par une petite fenêtre. Le gendarme a fait les sommations et  a tiré sept coups de feu dans sa direction. Trois projectiles l'ont atteint dont l'un perforant dans le thorax", a déclaré Christian Girard, procureur  de la République de Draguignan.

    La victime, sans profession et appartenant à la communauté des  gens du voyage, vivait dans un campement à Brignoles. Son nom était apparu dans un dossier récent concernant l'agression et la séquestration d'un chauffeur routier. Après trois interpellations, les gendarmes de la section de recherche de Marseille étaient sur sa piste.

    Un "homicide volontaire"

    Ils avaient profité de son pointage pour un contrôle judiciaire à la  gendarmerie de Brignoles pour l'interpeller puis le transférer à Draguignan. Le gendarme, un officier de police judiciaire, maréchal des logis-chef de la  brigade de recherche de Draguignan, a été placé en garde à vue. La qualification retenue dans le cadre de cette garde à vue est celle "d'homicide volontaire", a précisé le procureur. Samedi, la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a demandé au directeur général de la Gendarmerie de "suspendre de ses fonctions le gendarme" et a réclamé une "enquête interne".

    Des membres de la communauté des gens du voyage se sont par ailleurs rassemblés samedi devant la gendarmerie en signe de protestation. Le commandant de la légion de gendarmerie de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur s'est rendu sur place ainsi que le préfet du Var.

    source : LCI



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