• Le garde du corps bruxellois d'un diamantaire a disparu

     

    Sa VW Golf retrouvée vide à Anvers

    BRUXELLES La Cellule Disparitions de la police de Bruxelles Capitale Ixelles enquête depuis lundi dernier sur l'inquiétante disparition d'un Bruxellois de 46 ans dont le véhicule, la VW Golf V tdi bleue graphite immatriculée JVA.542 , a été retrouvée abandonnée, mardi, dans la région d'Anvers. Jean-Pierre Mariscal, 1m92, était occasionnellement, principalement le dimanche, le garde du corps et le chauffeur d'un diamantaire de Schoten (Anvers). La VW Golf a été retrouvée à Schoten. Mariscal avait pourtant annoncé que ce dimanche, il ne se rendrait exceptionnellement pas à Anvers.

    Il y a 15 jours, Jean-Pierre Mariscal avait signé l'achat d'un appartement pour lequel il épargnait depuis des années. Le samedi, veille de sa disparition, en fin d'après midi, son amie et lui s'étaient promenés en forêt de Soignes. Son amie l'avait trouvé "normal". Après le week-end d'ailleurs, ils partaient ensemble pour quelques jours de congés en Grande-Bretagne. Les portières de sa VW Golf étaient verrouillées et rien dans le véhicule n'indiquait l'intervention d'un tiers.

    Pour autant, la proximité du canal de Schoten (Albert) est une indication précieuse. Il existe d'autres éléments précis de vie privée, connus de la famille, qui poussent dans le sens d'un dénouement tragique. La Cellule disparitions d'Alain Remue est informée. Des recherches ont déjà eu lieu à Schoten. A ce stade sans résultat.

    Hier, le 1er substitut Jos Colpin ajoutait que le dossier n'était pas encore parvenu au parquet de Bruxelles.

    Au moment de sa disparition, Jean-Pierre Mariscal, encore appelé "Pierrot" , portait probablement une chemise bleu gris avec carreaux sur un tee-shirt gris, un blue jean et des chaussures brunes. C'est donc un homme grand, avec des cheveux châtain clair et des yeux marron. Son GSM n'est plus actif. Il a émis son dernier signal à Schoten.

    En Angleterre, Mariscal et son amie avaient prévu de se rendre dans cette région où sont tournés les épisodes de la série policière Barnaby. Tout était prêt. Ils devaient prendre l'Eurostar lundi soir.

    Donc, le mercredi 20 août, Jean -Pierre Mariscal qui épargnait depuis vingt-cinq ans, signait devant notaire l'achat d'un appartement à l'avenue Théodore De Cuyper à Woluxe-St-Lambert. Clarckiste et réassortisseur de métier, Jean-Pierre cherchait du travail. Le jeudi 28, on sait qu'il s'est rendu dans une agence locale du boulevard Jacqmain, pour la première fois depuis avril.

    Samedi passé, tandis que son amie l'a attendue pendant 1h 30 sur le parking en bas de l'appartement à Woluwe, Jean-Pierre a fait causette avec un futur voisin, "un homme seul", "tu sais, cela lui a fait plaisir ". Après quoi le couple a marché en forêt de Soignes où Mariscal a paru "préoccupé, mélancolique".

    Le dimanche, il s'est quand même rendu à Schoten alors qu'il avait annoncé le contraire. Ce diamantaire anversois qu'il voyait tous les dimanches, n'a rien pu apprendre de plus. La police de Bruxelles peut-être contactée ainsi que Belgian Missing Persons, au 0495/519054.


    source : DH


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  • Onze ans ferme pour le meurtrier des Champs-Elysées

     

    La cour d'assises de Paris a condamné, dans la nuit de jeudi à vendredi, Jean-Michel Imakhlaf à 11 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de Zakaria Babamou, 18 ans, tué à l'arme blanche sur les Champs-Elysées à l'automne 2004.

    Après une «embrouille» autour d'un téléphone portable avec d'autres jeunes dans un square des Champs-Elysées, Zakaria Babamou était revenu avec des amis et une bagarre avait opposé les deux bandes. <BTN_NOIMPR>

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    Il avait été poignardé dans le dos par Jean-Michel Imakhlaf alors qu'il s'enfuyait, s'effondrant une centaine de mètres plus loin tandis que ses agresseurs s'enfuyaient de leur côté.

    Lors de son réquisitoire, l'avocat général Philippe Bilger avait demandé à la cour de requalifier les faits en «coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner». Pour sanctionner ces faits, punissables d'un maximum de 15 ans, il avait requis 10 ans de réclusion.

    La cour a finalement maintenu la qualification de «meurtre» et prononcé une peine de 11 ans.

    En revanche, elle a suivi M. Bilger pour les trois autres accusés. David Buhot et Eddy Blatier ont été acquittés du chef de «non assistance à personne en danger». Le premier a été condamné à deux ans de prison avec sursis assorti d'une mise à l'épreuve durant trois ans pour «violences en réunion» et le second à deux mois ferme pour «menaces avec arme».

    Une amie du groupe, qui avait caché la dague de 40 cm avec laquelle avait été commis l'homicide, a écopé de six mois avec sursis.

    Face à une défense qui affirmait que la victime avait elle-même pris l'initiative de l'agression, l'avocat de la famille Babamou, Me Henri de Beauregard, avait brocardé ces «mensonges», recommandant à la cour de ne juger «que sur du solide», «la plaie de 20 centimètres dans le dos d'un gosse d'à peine 18 ans».

     

    source : le parisien


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  • Fusillade mortelle dans la banlieue de Nantes

     

    Les faits se sont déroulés en début de soirée, en plein jour et devant  plusieurs témoins, dans le quartier des Dervallières, quartier populaire de  l'ouest de Nantes. Un jeune de 21 ans est mort par balles jeudi soir lors d'une rixe qui a mal tourné dans une banlieue de Nantes et le ou les  auteurs des coups de feu étaient en fuite.

    Selon les habitants du quartier, qui ont été quelques dizaines à se  rassembler dans un climat houleux sur le lieu du crime sécurisé par de  nombreuses forces de l'ordre, la rixe a commencé devant la mairie annexe du  quartier, avant de se transformer en course poursuite.

    La victime, habitant dans ce quartier, a été pris  pour cible par ses poursuivants qui ont tiré plusieurs coups de feu sur son  véhicule. Il a réussi à s'en extraire avant de s'écrouler quelques dizaines de  mètres plus loin. Il est mort de ses blessures lors de son transport à  l'hôpital. Le ou les auteurs des coups de feu, dont le  véhicule a été identifié, étaient activement recherché jeudi soir par la police  judiciaire chargée de l'enquête, selon une source judiciaire.

    source : lci


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  • Un forcené retranché dans un quartier sensible

     

    A l'origine, le samu et les pompiers avaient été appelés pour un malaise. Mais lorsque les secours sont arrivés sur les lieux (le quartier des Coteaux, un quartier sensible à l'ouest de Mulhouse), ils se sont retrouvés face à un homme qui les a menacés d'un couteau. Il était alors un peu après 16 heures, ce jeudi après-midi ; l'homme, après avoir fait face aux pompiers, s'est retranché dans l'appartement situé au quatrième étage d'une barre HLM.

    L'homme aurait ensuite réussi à prendre la fuite pour finalement se réfugier dans un appartement inoccupé situé au troisième étage du même immeuble où il serait en possession "d'armes à feu", selon les pompiers. Il est ensuite monté au cinquième puis au sixième étage en utilisant les balcons.

    Jeudi soir, l'homme était toujours retranché. Le procureur de la République et le sous-préfet de Mulhouse se sont rendus sur place, de même que le GIPN, qui s'est déployé autour de l'immeuble.

    source : lci


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  • Il congèle le corps de sa femme et s'accuse du meurtre

     

    Le drame qui s'est produit dans une cité modeste d'Hasnon, près de Saint-Amand, dans le Nord, a choqué tout le voisinage, selon La Voix du Nord. Le corps d'une femme y a été découvert dans un congélateur, sur les indications de son mari. L'homme s'était rendu mercredi soir aux gendarmes en affirmant avoir étranglé sa compagne le samedi précédent. Il a depuis été placé en garde à vue et les enquêteurs, après avoir retrouvé le corps de la femme, s'efforcent de vérifier ses déclarations.

    "Il fait valoir que sa femme était atteinte d'une maladie grave et qu'il l'aurait tuée par affection", a indiqué le procureur de la République de Valenciennes. Un scénario qui semble convaincant pour le voisinage du couple, selon La Voix du Nord, où l'on peut lire "qu'aucun ne croit à un excès de violence de la part du mari, qui s'occupait avec la plus grande attention de son épouse que tous savaient gravement malade".

    Des traces de strangulation

    Semblant également confirmer ses dires, des traces de strangulation ont d'ores et déjà été relevées sur le corps de la victime, qui doit être autopsiée dans les prochains jours. Le procureur de la République de Valenciennes évoque toutefois des déclarations qui restent "très largement à vérifier". Concernant par ailleurs le délai entre le drame et les aveux de cet homme devant les gendarmes, le magistrat semble l'expliquer par le désarroi du mari : "A cause du choc de l'acte commis, il lui a fallu plusieurs jours pour reprendre ses esprits", a expliqué le procureur.

    L'homme doit être déféré vendredi au parquet de Valenciennes. Le couple avait deux enfants majeurs. Ces derniers ne vivaient plus chez leurs parents et n'étaient pas là au moment des faits.

     

    source : lci


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