• 138 interpellations en Pologne pour diffusion d'images pédophiles

     

    La police a fait des perquisitions mercredi dans 117 locaux différents, maisons individuelles ou sociétés, et saisi 144 ordinateurs et disques durs


    KATOWICE La police polonaise a annoncé jeudi l'interpellation de 138 personnes soupçonnées de possession et de diffusion d'images à caractère pédophile sur internet, dans le cadre d'une vaste opération policière dans tout le pays.

    "Il s'agit d'une opération d'interpellation au niveau national, baptisée 'Simone', menée mercredi", a indiqué à l'AFP le porte-parole de la police nationale Mariusz Sokolowski.

    "La police polonaise a transmis aux polices de quinze autres pays les adresses IP identifiées dans le cadre de l'enquête", a-t-il ajouté.

    Les données ont été transmises en Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, France, Grande-Bretagne, Israël, Italie, Norvège, République tchèque, Suède, Suisse, au Pays-Bas, aux Etats-Unis et eu Danemark.

    "C'est la police de Katowice (sud) qui, il y a quelque mois, a eu le vent de l'affaire. En observant les échanges de fichiers via le système 'peer to peer'", elle a établi une liste de 7.395 adresses IP dans le monde, dont 175 en Pologne, qui ont échangé une dizaine de films identifiés comme contenant la pornographie enfantine", a précisé le porte-parole.

    "Les films montraient des enfants de type européen de 5 à 7 ans", a-t-il précisé. Les 138 personnes interpellées en Pologne sont des hommes et des femmes de tous les âges, issus de toutes les couches sociales", a précisé Sokolowski.

    La police a fait des perquisitions mercredi dans 117 locaux différents, maisons individuelles ou sociétés, et saisi 144 ordinateurs et disques durs, a-t-il précisé.

    Plus de 12.000 DVD, CD et autres supports numériques contenant des images à caractère pédophile ont également été saisis, a-t-il ajouté.

    Plusieurs centaines de policiers ont été mobilisés pour cette opération sur la majorité du territoire du pays.

    Les interpellations ont été faites essentiellement dans les régions de Katowice (sud), Varsovie et Poznan (ouest).

    La possession de films à caractère pédophile est passible d'une peine de 5 ans en Pologne et leur diffusion de 10 ans.

    source :  La Dernière Heure 2008


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  •  Rixe à la gare du Nord : trois ans ferme requis

     

    Trois ans de prison ferme ont été requis mercredi devant le tribunal correctionnel de Paris à l'encontre de trois jeunes de 20 à 24 ans, soupçonnés d'avoir à l'été 2007 participé au tabassage de deux jeunes lors d'une bagarre entre bandes rivales à la gare du Nord à Paris.
     
    Le 26 août 2007, vers 19H30, une rixe avait opposé une cinquantaine de jeunes d'origine africaine, âgés de 15 à 25 ans et la plupart masqués, dans l'enceinte RER de la gare du Nord. Lors de ces affrontements, deux jeunes Noirs, étrangers aux deux bandes, avaient été roués de coups, au cours de deux agressions distinctes, espacées de seulement quelques minutes. Ils avaient été frappés à coup de pied, de béquilles, de bouteilles, de ceinture et même d'arme blanche. L'un s'était vu prescrire une interruption totale de travail (ITT) d'un mois et le second, plus grièvement blessé, de plus de deux mois.
     
    Une situation "qui a dégénéré"
     
    Ces incidents avaient été suivis, le lendemain soir, d'autres affrontements entre les mêmes bandes près du quartier parisien de Pigalle (XVIIIe arrondissement). Ce dossier, dans lequel plusieurs suspects ont été écroués, est toujours à l'instruction.
     
    A l'issue des incidents de la gare du Nord, trois jeunes, dont les vêtements ou les chaussures étaient tâchés du sang des victimes, avaient été interpellés et mis en examen. Ecroués durant dix mois et demi, ils sont sortis de prison fin août.
     
    Si à l'audience, un seul des trois prévenus a avoué appartenir à l'une des bandes, les trois ont reconnu avoir porté des coups de pied aux deux victimes alors qu'elles étaient à terre. Ils affirment ne jamais avoir voulu participer à une expédition punitive contre la bande de la gare du Nord et s'être laissés emporter par une situation "qui a dégénéré". La 14ème chambre devait mettre sa décision en délibéré.
     

    (D'après agence


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  • Carcassonne - Énigme dans la cité

     

    Le corps sans vie de Nelly Domingo a été retrouvé le 31 juillet. Plus d’un mois après, le doute persiste sur les causes de la mort.

    Nelly Domingo est morte depuis plus d’un mois. Mais impossible de dire dans quelles circonstances. Pourtant, quelques heures après la macabre découverte, les policiers avaient conclu à une mort naturelle. Une conclusion appuyée par le médecin légiste : la quinquagénaire aurait succombé à un malaise. Enquête bouclée. L’histoire aurait pu s’arrêter là. Mais pour le procureur de Carcassonne, Francis Battut, des détails ne collent pas. Il a donc demandé une seconde expertise au médecin légiste qui, cette fois, a conclu… à un décès suite à un ou plusieurs coups portés sur la tête. Résultat, le magistrat a ouvert une information judiciaire pour coups mortels contre X. Les policiers locaux ont été dessaisis de l’affaire. Dorénavant, c’est l’antenne perpignanaise du SRPJ qui mène l’enquête. Mais ils disposent de peu d’indices exploitables pour mener à bien les investigations. Car, en ce dernier jour de juillet, beaucoup de détails troublants ont été ignorés.

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    Indices « écartés »

    Retour en arrière. Le 31 juillet, des proches de Nelly Domingo s’inquiètent de ne pas la voir depuis quelques jours. Ils décident donc de se rendre à son domicile, rue Paul-Lacombe, un quartier résidentiel de la cité audoise. Sous la véranda, ils la retrouvent à moitié dévêtue. Les enquêteurs se rendent sur place, mais ce soir-là, ils sont visiblement pressés. Des indices, pourtant troublants, sont écartés. D’abord, le témoignage de deux amis de la victime. Ils expliquent qu’une des portes de la maison était ouverte et qu’une des vitres semblait avoir été brisée. Une trace de sang suspecte sur une fenêtre est également « oubliée ». Ainsi qu’une paire de lunettes cassée et une touffe de cheveux, trouvée à quelques mètres du corps. « Autant d’éléments qui portent à croire qu’il y a eu intervention d’un tiers », explique le procureur. De plus, un voisin dit avoir vu Nelly Domingo accompagnée d’un homme, âgé de 25 à 35 ans environ, le 24 juillet vers 17 heures. Il a dressé une description précise de l’individu. « Le témoin a été entendu mais cela n’a rien donné de probant », explique-t-on au parquet. Le procureur a demandé un rapport aux enquêteurs sur les conditions dans lesquelles ont été réalisées les premières constations. Plus d’un mois après, l’enquête repart de zéro.

    Edition France Soir du jeudi 4 septembre 2008 n°19893 page 13

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  • Tirs sur des policiers

     

    Trois policiers de la Brigade anticriminalité ont essuyé des tirs, dans la nuit de samedi à dimanche, dans le quartier d’Orgemont à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Ils tentaient d’interpeller l’agresseur présumé d’un jeune homme quand la tension est montée avec un groupe qui se trouvait au pied d’un immeuble. Une bagarre a éclaté. Les policiers ont dû utiliser leurs flash-ball pour se protéger. Ils ont été visés par plusieurs tirs de flash-ball et d’une arme à feu de petit calibre. La patrouille a pu finalement regagner sa voiture avec le suspect interpellé. Il n’y a pas eu de blessés.

    (Source: www.lesalonbeige.com)

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  • Tout nu, assis sur l'attache-remorque

     

    Deux nuits de suite, la police d'Uccle a reçu un étrange appel...

    UCCLE Alors là... que dire ? Qu'il faut de tout pour faire un monde. Que ce n'est pas possible... Et pourtant si, les quelques lignes qui vont suivre sont véridiques. Oui, un homme a bien été aperçu tout nu, assis sur une attache remorque !

    Durant la nuit de samedi à dimanche, la police d'Uccle a reçu un premier appel étrange. Une habitante signalait la présence d'un homme nu dans la rue. Enfin presque, puisqu'il ne portait qu'un tee-shirt qui ne cachait en rien ses attributs masculins... Le suspect avait sonné à sa porte et puis était parti.

    Le témoin l'avait aperçu près des voitures en stationnement. Rapidement, une patrouille avait interpellé le nudiste. Ce dernier a expliqué qu'il avait perdu son pantalon dans une soirée. Les policiers, sympas, l'ont ramené chez lui.

    La nuit suivante, nouvel appel. Une fois de plus, un homme nu, ne portant qu'un tee-shirt déambulait dans les rues d'Uccle. Tiens tiens, à deux jours d'intervalle, la coïncidence est étrange. D'autant plus que les témoins, ici aussi, ont expliqué que l'homme s'approchait des voitures... du moins de certaines... celles dotées d'une attache remorque. Oui, vous lisez bien, notre homme qui, pour rappel, ne portait ni pantalon ni caleçon, faisait plus que s'approcher des voitures... ils s'asseyaient sur les attache-remorque !

    Une patrouille a, à nouveau, été envoyée sur place, mais cette fois-ci le jeune homme n'a pas été retrouvé.



    source / dh

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