• Un convoyeur de fonds a été tué lundi en début d'après-midi à Metz lors de l'attaque d'un fourgon blindé par des malfaiteurs qui ont pris la fuite. Ses deux collègues ont été légèrement blessés et très choqués.

    Selon les enquêteurs, le hold-up s'est produit vers 13h45 alors que le fourgon de l'entreprise Securitas abordait un ralentisseur, rue des Frères Fournelle, dans le nord-ouest de Metz.

    Une BMW d'un côté, une R25 de l'autre, ont pris en sandwich le fourgon de Sécuritas. Les gangsters cagoulés, au nombre de trois ou quatre, ont ouvert le feu contre le véhicule avec des pistolets mitrailleurs, avant de placer une charge d'explosif du côté droit pour ouvrir l'habitacle.

    Le convoyeur qui se trouvait dans le sas a été tué. Une autopsie déterminera s'il a été atteint par des balles ou par l'explosif.

    Ses deux collègues qui se trouvaient à l'avant ont été légèrement blessés mais très choqués. Ils ont été sauvés de justesse par une patrouille de police qui passait par là et a réussi à ouvrir la trappe du toit. L'explosif avait déclenché un début d'incendie.

    Selon les enquêteurs, les gangsters n'auraient réussi qu'à emporter un sac contenant 20.000 euros, les autres étant fixés dans des casiers.

    Avant de fuir, ils ont mis le feu aux voitures volées, immatriculées en Moselle, qui ont servi à coincer le fourgon. Un complice les attendait à bord d'une puissante berline allemande. L'attaque s'est produite à proximité d'une bretelle de l'A31, ce qui a permis une fuite rapide vers le Nord, Luxembourg ou Belgique tout proche. A cause du brouillard, aucun hélicoptère n'a pu décoller.

    Pour le procureur de la république de Metz, Joël Guitton, "il s'agit de l'acte de la criminalité organisée, du grand banditisme". Pour les policiers, "ce guet-apens sanglant et bien organisé ne peut pas être l'oeuvre de malfaiteurs locaux". Les enquêteurs étudient la piste du milieu belge.

    Le SRPJ de Metz a été saisi de l'affaire ainsi que l'office de répression de la criminalité organisée (ORLCO). Le procureur de Metz s'est dessaisi dans la soirée au profit du procureur de la république de Nancy (Meurthe-et-Moselle), Michel Senthille, patron de la JIRS, juridiction interrégionale spécialisée.


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  • Encore une attaque contre un fourgon blindé ( Canada )
    Un autre vol dans un camion blindé s'est produit dans la région de Toronto. Un des gardes du fourgon a été légèrement blessé par un projectile au cours du braquage. Les deux voleurs ont pris la fuite sans avoir mis la main sur l'argent contenue dans le fourgon. Mardi, trois voleurs se sont emparés de centaines de milliers de dollars lors d'un vol à main armée dans un camion blindé à Mississauga. Les enquêteurs de la police ignorent si ces deux attaques sont reliées.

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  • jeudi 19 octobre 2006, 18h35
    Braquage d'un fourgon blindé à Saint-Etienne

    - ­- Plusieurs malfaiteurs ont braqué un fourgon blindé en utilisant des armes et de l'explosif, jeudi après-midi à Saint-Etienne, a-t-on appris de source policière. Ils sont ensuite repartis à bord d'une voiture, qui a été retrouvée brûlée à quelques kilomètres de distance, sous un viaduc, dans un autre quartier de la ville.

    Les services de police ont mis en place un périmètre de sécurité autour du fourgon blindé, dans le quartier de Méons, croyant qu'un pain d'explosif était toujours accroché au pare-brise. Mais il s'agissait d'un leurre et le dispositif a été levé peu avant 18h, a-t-on expliqué de source policière.

    Peu avant 16h, les malfaiteurs, apparemment au nombre de trois, ont pris en "sandwich" un véhicule blindé de la société de transport de fonds Prosegur et provoqué une explosion pour en forcer l'ouverture.

    L'une des deux voitures utilisées par les assaillants a été incendiée dans la déflagration.

    Les deux convoyeurs qui se trouvaient à l'intérieur du fourgon ont été hospitalisés en état de choc mais ils n'ont pas été blessés, bien que les malfaiteurs aient, semble-t-il, ouvert le feu.

    Avant de prendre la fuite, les auteurs du braquage, apparemment se sont emparés d'argent liquide qui se trouvait le fourgon. Mais on ignore le montant du butin. Des recherches ont été lancées. La police judiciaire a été saisie de l'enquête.

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  • 27/07/07 : Thiais : un fourgon attaqué
    Une tentative de braquage vendredi matin à Thiais dans le Val-de-Marne. Des malfaiteurs, arrivés à bord de deux véhicules, ont attaqué un fourgon blindé, stationné devant le centre commercial de Belle Epine, à Thiais. L'un des convoyeurs, qui attendaient ses collègues devant le grand magasin, a immédiatement riposté avec son arme. Une fusillade a éclaté mais heureusement n'a pas fait de blessés. Les individus, dont le nombre n'a pas été précisé, ont profité des échanges de coups de feu, pour placer une charge explosive à l'arrière du fourgon. Mais leur plan a échoué : l'explosion n'a pas été assez violente pour permettre l'ouverture de la porte. Les braqueurs ont finalement pris la fuite sans pouvoir s'emparer de l'argent, à bord d'une de leur voiture, mettant le feu à la seconde
     pour voir le reportage du journal télé du braquage cliquez ici : http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,3504564,00-spectaculaire-tentative-braquage-banlieue-parisienne-.html

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  •  Un fourgon de transport de fonds de la sociiti ESSE a été braqué au lance-roquettes lundi sur la route de Figaretto au sud de Penta-di-Casinca (Haute-Corse), a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

    Vers 13h, le fourgon blindé a été bloqué par deux camionnettes, volées deux nuits avant dans une société de location insulaire. Six hommes cagoulés, dont un armé d'un lance-roquettes, ont braqué les convoyeurs qui se trouvaient à bord du camion. Les malfrats ne se sont emparés que d'une partie du butin dont le montant est toujours en cours d'évaluation.

    
    

    Avant de prendre la fuite dans un véhicule de marque Renault, le commando a pris soin d'incendier les deux camionnettes.

    
    

    Le plan épervier a aussitôt été déclenché tandis qu'un important dispositif d'interception était mis en place avec de nombreux barrages routiers.

    
    

    La police judiciaire a été chargée de l'enquête."

    Source : ASSOCIATED PRESS (25 juillet 2005)


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  • Un fourgon de transport de fonds de la société bastiaise ESSE a été attaqué vendredi en Haute-Corse par un commando armé qui a brièvement pris les convoyeurs en otage avant de faire sauter le véhicule à l'aide d'une puissante charge explosive, un mois après une attaque similaire. Le montant du butin de cette nouvelle attaque est estimé à environ 1,3 million d'euros, a indiqué à l'AFP une source judiciaire.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, vendredi vers 9h00, deux individus encagoulés et munis d'armes de poing attendaient le fourgon qui venait récupérer la recette d'un hypermarché situé entre Borgo et Lucciana (Haute-Corse).

    "Alors que l'un des trois convoyeurs regagnait le camion avec un sac, deux individus l'ont braqué et pris en otage, menaçant de le tuer pour se faire ouvrir le fourgon où ils ont pris place", selon cette source judiciaire.

    Suivis par une berline à bord de laquelle se trouvaient deux de leurs complices, les malfaiteurs ont alors contraint les otages à sortir de l'agglomération et à prendre la direction de l'aéroport de Bastia.

    "Nous avons la quasi certitude que les agresseurs n'étaient que quatre", a souligné la source, après l'audition des convoyeurs par la police judiciaire. Les enquêteurs avaient initialement tablé sur la participation de sept à huit personnes.

    Les malfaiteurs ont fait stopper le fourgon blindé dans un terrain vague situé derrière un groupe scolaire et fait sauter le compartiment des coffres avec une charge explosive, "apparemment du plastic", selon cette source.


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  • DES braqueurs ont attaqué, jeudi soir, un fourgon de transport de fonds, à Saint-Laurent-du-Var près de Nice. Ils ont fait main basse sur 11 millions de francs, après avoir placé un pain de plastic sur le pare-brise du véhicule pour contraindre ses occupants à en déverrouiller les portes. L’opération, selon les premières constatations de la police et les rares témoignages recueillis sur place, a été visiblement montée avec soin par des professionnels du grand banditisme qui n’ont lésiné ni sur les effectifs, ni sur le matériel. Sept hommes, équipés d’armes automatiques et de lance-roquettes antichar, ont tenu en respect quatre convoyeurs légèrement armés.

    Tous vêtus de combinaisons noires et cagoulés, les bandits sont arrivés à bord de trois puissantes voitures, à 19 heures, dans une petite rue déserte de la zone industrielle de Saint-Laurent-du-Var au moment ou le fourgon reculait pour pénétrer dans le garage de la société ARDIAL. Le patron d’un bar-restaurant voisin a été témoin de la scène. « J’allais fermer etétais seul avec mon serveur quand j’ai vu arriver ces types tous habillés pareil, en noir avec des cagoules, a-t-il raconté. Il y en avait un dans la rue, devant le restaurant, qui surveillait avec un lance-grenade sur l’épaule (NDLR : lance-roquettes antichar probablement de type RPG, déjà utilisé dans ce typeopérations). On a eu peur et on s’est allongés pour qu’ils ne nous voient pas. C’était vraiment des bêtes. »

    Les inspecteurs de l’antenne niçoise du SRPJ de Marseille, chargés de l’enquête, affirment ne disposer d’aucune piste. Mais, de bonne source, le mode opératoire de cette attaque est similaire à celui de celle qui s’était déroulée à Lille dans la nuit du 27 au 28 décembre 1995. Une dizaine d’hommes armés avait attaqué un fourgon de la Brink’s. Mais, cette fois, les convoyeurs avaient refusé de céder à la menace et leurs agresseurs avaient fait exploser une charge, tuant l’un des convoyeurs et blessant les deux autres. Cette attaque avait rapporté 15 millions de francs à ses auteurs, finalement arrêtés au début du mois.


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