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Par lesprittordu le 16 Février 2009 à 20:04
Quatre braquages en moins de deux heures
Quatre braquages à main armée ont eu lieu en moins de deux heures samedi soir dans des petits commerces, tous situés dans l'arrondissement d'Argenteuil, dans le Val-d'Oise.
Vers 18h50, quatre individus, dont deux munis d'une arme de poing, se sont emparés de la caisse d'un fleuriste à Cormeilles-en-Parisis, dont le contenu est estimé à 700 euros. Aux alentours de 19 heures, deux autres braquages ont eu lieu à Bezons, l'un chez un fleuriste et l'autre dans un bar. Pour le premier, le montant du préjudice n'a pas pu être communiqué. Pour le second, les trois malfaiteurs, dont deux possédaient une arme de poing, se sont fait remettre le contenu de la caisse, estimé à 1.000 euros, ainsi que des jeux de grattage. Enfin, vers 20 heures, deux individus, dont l'un muni d'une arme de poing, ont braqué une boulangerie à Argenteuil. Le montant du préjudice n'a pas été communiqué. Lors de ces quatre vols à main armée, personne n'a été blessé.
Par ailleurs, vers 18h30, le propriétaire d'une bijouterie de Saint-Leu-La-Forêt a été blessé au coude par un tir de fusil lors d'une tentative de braquage. L'homme, ainsi que sa compagne, ont été transportés au centre hospitalier d'Eaubonne, a-t-on appris auprès des pompiers. Les quatre malfaiteurs ont pris la fuite, a-t-on ajouté de source policière. Les différentes enquêtes ont été confiées à la police judiciaire du Val-d'Oise.
source : lci
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Par lesprittordu le 19 Septembre 2008 à 17:43
Une belle équipe
Il était 16 heures hier après-midi quand un homme tout de noir vêtu, portant un casque et armé d'un pistolet, a braqué l'agence de la Banque de Savoie située au coeur du centre commercial de Saint-Baldoph. Le malfaiteur a bousculé le vigile présent sur les lieux et a pris la fuite sur une moto de couleur rouge, de forte cylindrée conduite par son complice. Moins d'une demi-heure plus tard les deux hommes ont opéré à Pontcharra. Là, ils se sont emparés de la caisse de la station service du magasin Super U puis ont attaqué l'agence de la Banque de Savoie. Les gendarmes ont aussitôt déclenché le plan Milan et affrété un hélicoptère mais le binôme a réussi à prendre la fuite.
Le mode opératoire des deux hommes laisse penser qu'il s'agit de la même équipe qui sévit dans ce secteur depuis trois mois et semble privilégier les agences de la Banque de Savoie.
Le 1er août, en milieu de matinée, deux motards braquent la Banque de Savoie dans la rue principale de Montmélian, avant de prendre la fuite. Le 13 août, à peu près aux mêmes horaires, c'est la perception de la Rochette qui est attaquée. Là encore, les deux motards filent sans être inquiétés. <script type=text/javascript> </script> Le 29 août, un tandem opère dans des conditions similaires devant la fontaine des Éléphants, à Chambéry. L'un des hommes pénètre dans l'agence de la Société générale, s'empare d'une maigre somme et rejoint son complice qui l'attend sur une moto immatriculée à Genève. Les malfaiteurs ne manquent pas de culot puisque dans la foulée ils s'en prennent à l'agence de la Banque de Savoie du Bourget-du-Lac. Malgré le dispositif policier mis en place ils réussissent à passer à travers les mailles du filet.
Les enquêteurs ne cachent pas alors qu'ils pensent avoir affaire à la même équipe. «Ils vont se terrer quelque temps et dépenser l'argent qu'ils ont avant de remettre ça...» pronostiquait alors un gendarme.
Son analyse s'est vérifiée hier après-midi. Là encore, les braqueurs ont fait preuve d'une audace inquiétante. Ils n'ont pas hésité à agir au coeur de Saint-Baldoph quelques minutes avant la sortie de l'école, dans un secteur commerçant très fréquenté à cette heure de la journée. Le fait que l'agence bancaire soit protégée par un vigile qui a été molesté ne les a pas dissuadés. Et après ce premier hold-up ils ont récidivé par deux fois à Pontcharra. D'énormes risques pour un butin semble-t-il dérisoire. À la Banque de Savoie, on répondait juste que les montants dérobés étaient très faibles puisque les agences bancaires disposent aujourd'hui de très peu de liquidités.
A Saint-Baldoph l'émotion était très vive hier après-midi. Des habitants confiaient avoir repéré depuis plusieurs jours des gendarmes en surveillance dans le secteur. Une surveillance qui n'a pas inquiété les braqueurs.source : le dauphiné
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Par lesprittordu le 17 Septembre 2008 à 13:54
Braquage dans une banque à Uccle : un suspect interpellé
Un suspect a été interpellé dans le cadre d'un braquage commis mardi dans une filiale de banque CBC située chaussée de Waterloo à Uccle
BRUXELLES Un homme s'est présenté partiellement masqué vers 10H00 au guichet de l'agence. Armé d'un couteau dont la lame mesurait de 30 à 40 centimètres, l'auteur a exigé 10.000 euros à un employé. Face à l'absence de réaction de la part de ce dernier, l'homme armé s'en est pris physiquement à une cliente. Plusieurs clients se trouvaient dans l'agence lors de l'attaque. Le malfrat n'est pas parvenu à obtenir son butin et a pris la fuite dans une direction inconnue en emportant l'appareil photographique d'une des victimes.
La police a procédé à un ratissage du quartier et a surveillé l'entrée de l'hôpital psychiatrique Fond'Roy situé non loin de l'agence. Elle a interpellé sur place un suspect dont le profil correspondait à la description donné par les victimes de l'auteur. Le suspect, qui a été identifié formellement par les témoins et à partir des images enregistrées par des caméras de surveillance, a été mis à disposition du parquet de Bruxelles. L'appareil photographique volé à une victime a été retrouvé dans une poubelle.source : DHNET
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Par lesprittordu le 22 Mai 2008 à 14:40
Trois braquages en une journée
Deux banques Axa et un GB-Express ont été la cible de malfrats armés en Région bruxelloise
UCCLE Trois attaques à main armées ont été commises hier dans l'est de Bruxelles. Dans la matinée, à moins de trente-cinq minutes d'intervalle, ce sont deux banques Axa qui ont été visées. Dans la soirée, c'est un GB Express qui a été braqué. "Rien ne dit qu'il existe un lien entre ces affaires", précise-t-on du côté de la police.
Il était 8 h 45, lorsque deux hommes portant des cagoules ont fait irruption dans une agence Axa située avenue des Sept Bonniers à Uccle. Ils ont attendu l'arrivée du directeur pour entrer. " Les auteurs, qui avaient attendu à l'écart, lui ont sauté dessus et porté des coups au visage ", poursuit la police. Sous la menace, le directeur a été contraint d'ouvrir son agence. Une employée qui est arrivée à cet instant fut également forcée à entrer dans l'agence. "Les auteurs les ont emmenés dans la salle des coffres. Ils ont mis l'argent d'un coffre-fort dans un sac à dos." Avant de prendre la fuite avec un butin estimé à environ 34.000 euros, les auteurs ont tenté d'enfermer les deux victimes dans la salle des coffres. Ils n'y sont jamais parvenus.
Vers 9 h 20, soit 35 minutes plus tard, c'est une autre agence Axa qui a été prise pour cible. " Un homme a profité de l'arrivée d'un employé devant l'agence, située rue du Bien-Faire à Watermael-Boitsfort, pour le menacer au moyen d'un pistolet." Après avoir malmené l'employé, il l'a contraint à vider les caisses. Le butin est estimé à 4.200 euros. " La victime a été enfermée dans les toilettes. Mais l'employé a pu déclencher le système d'alarme ." La police est arrivée sur place rapidement et a pu le libérer.
19 h, troisième attaque. Cette fois, deux auteurs armés ont braqué le GB Express de la rue des Deux Chaussées à Auderghem. Butin : 1.300 euros...
source dh
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Par lesprittordu le 15 Mai 2008 à 12:26
Un homme qui venait de se faire remettre sous la menace d'une arme 10.000 euros dans un bureau de Poste du IXe arrondissement de Paris a été interpellé mercredi matin quelques minutes plus tard, a-t-on appris de sources proches de l'enquête.
Mercredi vers 07H30, l'homme âgé de 40 ans a profité de l'arrivée des employés pour s'introduire dans le bureau de Poste de la rue Riboutté (IXe) et sous la menace d'une arme et d'une grenade, qui s'avèreront plus tard factices, à se faire remettre par les employés présents, dont deux seront légèrement blessés, une enveloppe contenant 10.000 euros.
L'alerte ayant été donnée, les policiers de la police urbaine de proximité (PUP) l'ont interpellé quelques minutes plus tard.<script type=text/javascript> sas_pageid='2358/16838'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_faitsdivers sas_formatid=1278; // Format : rectangle 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); </script> <script src="http://www.smartadserver.com/call/pubj/2358/16838/1278/S/8174610006/?"></script>Sur lui les policiers ont retrouvé, outre le pistolet et la grenade, un couteau, une paire de menotte, des gants et une perruque.
Déjà connu des services de police il a été placé en garde à vue dans les locaux de la 1ère division de police judiciaire (1ère DPJ) en charge de l'enquêtesource : la parisien
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Par lesprittordu le 10 Mai 2008 à 11:58
Dans un communqué du FBI paru le 8 mai 2008 , le Fbi demande laide du publid américain pour rétrouver un braqueur . Il sagit dun homme noir denviron 40/50 ans .
Le 8 mai à 15h35 lhomme pénétre dans la Wells Fargo Bank de Houston au Texas habillé comme un maçon . S'agit-il d'un déguisement pour dissimuler son identité ou de son travail quotidien?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>
Les caméras de surveillance ont capturé une bonne photo de lhomme que le FBI a surnommé "HARD-HATTED HANDYMAN"<o:p></o:p>
Il s 'est présenté au guichet et a exigé de l'argent, et a menacé de tirer sur la guichetière . Il a quitté la zone dans un véhicule de couleur grise, peut-être une Pontiac, avec vitres teintés.
Le FBI promet une prime de 5000,00 $ pour toute information conduisant a son arrestation .
E.T
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Par lesprittordu le 8 Mai 2008 à 18:10
Hold-up raté dans une banque d'Ecaussinnes
(08/05/2008)
Les malfrats ont exigé que l'employée leur remette son trousseau de clés, ce qu'elle a refusé. Profitant d'un moment d'inattention, la dame est parvenue à s'enfermer dans son bureau
MONS Trois hommes cagoulés et armés ont forcé jeudi matin une employée de banque d'Ecaussinnes à ouvrir l'établissement, mais celle-ci est parvenue à se barricader dans son bureau, obligeant les malfaiteurs à prendre la fuite, apprend-on jeudi auprès de la police Haute Senne.
L'employée, déjà victime d'un tiger kidnapping il y a un an ou deux, rejoignait vers 8 h l'agence Axa de la place Cousin lorsque deux hommes vêtus de noir, cagoulés et armés, sont apparus et l'ont obligée à ouvrir l'agence.
Une fois à l'intérieur, les malfrats ont exigé qu'elle ouvre les bureaux et le coffre, où ils auraient été surpris de ne pas découvrir d'argent. Ils ont ensuite exigé que l'employée leur remette son trousseau de clés, ce qu'elle a refusé. Profitant d'un moment d'inattention, la dame est parvenue à s'enfermer dans son bureau.
Les deux hommes ont alors pris la fuite pour rejoindre un véhicule ou les attendait au minimum un complice.
Une équipe labo de la PJ est descendue sur place, ainsi que le parquet de Mons. L'enquête a été reprise par la police judiciaire fédérale, précise-t-on à la police localsource : agence belga
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Par lesprittordu le 6 Mai 2008 à 19:21
Un gérant de banque et son épouse victimes
NIVELLES Un gérant d'une agence bancaire Fortis située à Forest et son épouse ont fait l'objet d'un "tiger-kidnapping" lundi, a-t-on appris mardi au parquet de Bruxelles. Les malfrats se sont rendus au domicile du gérant et de son épouse à Nivelles et les ont forcés à monter dans deux véhicules différents. Ils ont rejoint l'agence bancaire à Forest et contraint le gérant de l'agence à ouvrir le coffre-fort. Les victimes ont ensuite été laissées sur place.
Les auteurs ont pris la fuite avec un butin indéterminé. Selon la police de la zone de Bruxelles-Ouest, un des véhicules utilisés par les malfrats a été retrouvé à Molenbeek. Cette information n'a pas été confirmée par le parquet de Bruxelles. Les malfrats étaient toujours en fuite mardi.source : la derniere heure
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Par lesprittordu le 29 Avril 2008 à 19:33
Les malfaiteurs ont pris en otage les locataires du dessus de l'agence en attendant l'arrivée du personnel
LIEGE Cinq individus encagoulés sont entrés par effraction dans les locaux de la banque AXA, située Nouvelle Percée à Remicourt, peu après 02h00 dans la nuit de lundi à mardi. Après avoir menacé un couple de locataire qui dormait à l'étage et le personnel de l'agence, ils se sont enfuis avec un butin encore indéterminé.
Après avoir pénétré dans la banque, les malfaiteurs sont montés à l'étage où dormait un couple de locataires. Les malfaiteurs, armés, ont pris le couple en otage jusqu'à l'arrivée des premiers employés de l'agence, peu après 08h.
Les malfaiteurs sont alors descendus dans les bureaux et ont braqué le personnel, obligeant le gérant à ouvrir le coffre-fort. L'argent qui se trouvait à l'intérieur a été apparemment volé mais on ignore le montant du butin.
Les individus ont pris la fuite à bord d'une Peugeot 404 qui appartient à un membre du personnel de l'agence bancaire. Les recherches sont actuellement en cours dans toute la région mais jusqu'à présent elles n'ont donné aucun résultat.
L'alerte a été donnée dans les secondes qui ont suivi le départ des braqueurs.
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Par lesprittordu le 19 Mars 2008 à 21:02
Trois hommes armés ont commis un hold-up avec prise d'otage, mardi soir, à l'agence Centea de la Grote Steenweg à Berchem
ANVERS On ignore encore le montant du butin. Les auteurs ont disparu dans la nature, a indiqué la police anversoise.
Vers 20h40, la gérante de l'agence Centea a reçu un appel téléphonique d'un collaborateur qui, l'air inquiet, lui a demandé de se rendre immédiatement à l'agence. La gérante, qui trouvait la démarche étrange, a pris la précaution de se faire accompagner par un collègue.
Sur place vers 21h20, ils ont constaté une situation anormale et fait appel, vers 21h50, à une patrouille de police. Celle-ci a aussitôt demandé de l'aide et les policiers ont encerclé l'immeuble, dans l'attente de la "Bijzonder Bijstandsteam", une unité spéciale de la police d'Anvers.
A 22h40, l'employé de banque se trouvant dans les locaux, un homme de 39 ans, est parvenu à sortir de l'immeuble. Blessé à la tête, il a été emmené à l'hôpital. Les locaux ont alors été entièrement fouillés, en vain.
L'employé avait encore reçu quelques clients mardi soir. Le dernier était en fait un des agresseurs, qui a réussi à faire entrer deux de ses complices. Sous la menace de couteaux et d'un pistolet, l'homme a été obligé d'ouvrir le coffre avant d'être brutalement enfermé.
Les auteurs de l'agression se sont volatilisés et le montant du butin n'a pas encore été communiqué.
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Par lesprittordu le 8 Février 2008 à 22:42
Six hommes, originaires de Mantes-la-Jolie, sont jugés depuis lundi devant la cour dassises des Yvelines. Ils sont accusés davoir commis six braquages entre septembre et octobre 2003 dans des banques des Yvelines mais aussi à Saint-Étienne-du-Rouvray en Seine-Maritime ainsi que dans la Manche.
Ismalia, 27 ans, soupçonné dêtre à la tête du gang, se trouvait en début de semaine dans le box des accusés aux côtés de Saïf-Eddine, 22 ans, son lieutenant supposé, ainsi que d'Aboudou, El Habib, Mouhamadoul et José, ces derniers étant accusés davoir participé à certains braquages seulement.
Les six jeunes gens jugés jusquà vendredi 10 mars sont originaires du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie. Ils ont été interpellés par la PJ de Versailles après une série de braquages commis dans des banques des Yvelines. Après la BNP de Gargenville durant lété 2003, la Société Générale de Fontenay-le-Fleury était ensuite attaquée le 10 septembre mais les braqueurs, perruques sur la tête et lunettes de soleil sur le nez, repartaient bredouilles avec une liasse de billets piégés et peinturlurés. Rapidement les enquêteurs faisaient un rapprochement avec le vol dune VW Golf commis à Poissy et le braquage de la Caisse dÉpargne des Clayes-sous-Bois commis le 17 septembre 2003 où trois hommes encagoulés avaient emporté 57 000 euros.
La course sarrête au Mac Do de Mantes
Quelques jours auparavant, cest la Société Générale de Querqueville (Manche) qui était victime dun groupe de braqueurs qui dérobaient plus de 12 000 euros. Le 25 septembre, les agences de la Société Générale de Bonnières-sur-Seine (200 euros) et dEpône (9 000 euros ainsi quune Clio) étaient également ciblées. Il aura fallu un accident, le 14 octobre, à lissue dune course-poursuite au péage de Buchelay jusquau Mc Do de Mantes-la-Ville, impliquant quatre braqueurs dune banque de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime) pour que la police les arrête. Ensuite les empreintes laissées sur des tiroirs-caisses des banques, et sur les voitures volées vont permettre aux policiers de remonter aux membres du gang un à un. Le 29 décembre 2003 les premières interpellations tombent.
Lundi, un des accusés, Saïf Eddine, a expliqué quà lépoque des faits il habitait Mantes-la-Jolie. « Je nétais pas souvent chez moi », a-t-il rappelé, se souvenant avoir trouvé « bizarre » que son grand-père ait reçu une simple montre après trente ans de travail sans un seul arrêt maladie. Après léchec dune scolarité trop courte raconté par le jeune homme, laccusé a écouté les quelques mots émouvants de sa mère venue indiquer à la barre que son fils était « gentil » et « poli ». Le verdict est attendu vendredi soir.
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Par lesprittordu le 17 Janvier 2008 à 20:22
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les malfrats sont allés au domicile d'une employée du bureau de poste
CHARLEROI Le tiger kidnapping qui a été commis dans la nuit de mercredi à jeudi au bureau de poste de Trazegnies a été le fait de trois auteurs, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les malfrats sont allés au domicile d'une employée du bureau de poste de l'avenue de l'Hôtel de Ville de Trazegnies, qui habite à Fontaine-l'Evêque, et l'ont obligée à les accompagner au bureau de poste, où elle devait vider le contenu du coffre du bureau de poste.
Pendant ce temps, les complices de cette agression ont tenu en otages l'époux et le fils, âgé de trois ans, de l'employée du bureau de poste.
Ils ont vidé le contenu du coffre puis ils ont libéré l'employée ainsi que son mari et son fils, l'un et l'autre indemnes. Ils ont pu prendre la fuite. On ignore le montant du préjudice subi.
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Par lesprittordu le 1 Décembre 2007 à 15:07
Un employé de la banque Fortis et son épouse pris en otage
CHARLEROI Cinq malfrats ont dévalisé la banque Fortis de Charleroi, ce vendredi, en réussissant un tiger-kidnapping.
Vers 7 h 30, les auteurs armés et encagoulés ont surpris un employé de l'agence devant son domicile de Gerpinnes, alors qu'il s'apprêtait à se rendre au travail. Les auteurs ont pris son épouse en otage, menaçant le couple des pires malheurs s'il n'obtempérait pas.
Le banquier a ainsi été contraint de se rendre seul à l'agence du boulevard de l'Yser pour y vider les coffres. Ce qu'il a fait, vu la menace pesant sur sa femme. Une fois à la banque, il a versé l'argent dans un sac. Un butin indéterminé qu'il a dû déposer ensuite à un endroit bien déterminé du grand ring de Charleroi (R3). C'est là que les truands ont récupéré le magot. Il semble qu'ils aient également pris place à bord du véhicule du banquier avant de prendre la fuite dans une direction inconnue. L'épouse a quant à elle été libérée un peu plus tard, du côté de Ransart.
Les victimes sont bien évidemment en état de choc et devaient recevoir un soutien psychologique.
Une enquête a été ouverte par la police fédérale.
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Par lesprittordu le 29 Novembre 2007 à 22:16
Selon les témoignages recueillis par la police, cette jeune femme d'une vingtaine d'années, a procédé à quatre braquages depuis la mi-octobre en s'attaquant à des filiales d'une seule banque, la "Wachovia", tout en menant chaque fois une conversation animée sur son portable.
Une caméra de télévision l'a filmée lors de son dernier hold-up il y a quelques jours à Ashburn, dans la banlieue de Washington. L'enregistrement la montre à visage découvert en grande conversation téléphonique pendant qu'une caissière, lui remet une pile de billets, qu'elle empoche tout en conversant, avant de sortir, le portable toujours vissé à l'oreille.
L'examen des enregistrements n'a toutefois pas permis de dire si la jolie braqueuse, à la chevelure brune retenue par une paire de lunettes de soleil, avait un interlocuteur au bout du fil, précise la police.
Lors de l'un de ses premiers hold up, elle avait utilisé une arme inhabituelle, une boite avec un message scotché pour réclamer de l'argent. La police n'a pas révélé le contenu exact du message.
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Par lesprittordu le 29 Novembre 2007 à 22:12
On ne connaît pas grand chose des circonstances mais il est fort à parier que le braquage qui s'est déroulé cette semaine dans une banque du neuvième arrondissement de Paris est à inscrire dans les annales de la police nationale.
Jeudi, un inconnu a décidé d'attaquer une banque. Quoi de plus banal par les temps qui courent ? Pour cela, il a décidé de prendre un pistolet. Jusque là, rien d'extravagant. Il s'est aussi doté d'un chalumeau. Peut-être encombrant, mais pourquoi pas.
Gonflé
Parvenu sur les lieux de son forfait, l'homme a menacé le personnel avec son arme et l'a enfermé. Au moment de s'emparer du butin, l'ingénieux malfrat a extirpé un aspirateur afin d' "avaler" en un temps record les billets de banque. Il a ensuite pris la poudre d'escampette, ni vu ni connu. Il n'y a pas eu de témoin direct des faits.
Le montant du butin n'est pas encore connu.
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Par lesprittordu le 23 Novembre 2007 à 16:27Une tentative de hold-up dans une agence Axa de Laeken a été commise a-t-on appris auprès de la police locale et du parquet de Bruxelles. Une employée a pu échapper aux trois malfaiteurs et a prévenu la police. Les auteurs se sont enfuis sans butin.
L'employée de banque était arrivée vers 08h00 à l'agence Axa située sur l'Avenue Emile Bossaert. Dans le sas d'entrée, elle a été menacée par trois hommes armés. La victime a été conduite dans le sous-sol de l'agence d'où elle a pu se libérer d'elle-même. Elle est sortie de l'agence et a fermé la porte à clé pensant ainsi enfermer les malfaiteurs. Elle a immédiatement prévenu la police.
Un important dispositif policier a été mis en place, la police espérant intercepter les auteurs qu'elle pensait coincés à l'intérieur. La police fédérale a également envoyé un hélicoptère et une unité d'intervention spéciale. Celle-ci a procédé à la fouille complète de l'agence sans retrouver les auteurs qui avaient déjà pris la fuite, sans butin.
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Par lesprittordu le 12 Novembre 2007 à 23:41Le preneur dotages de la maternelle de Neuilly serait lauteur de deux hold-up perpétrés contre une banque dAntibes. Des révélations qui arrivent au moment où sa famille porte plainte contre les hommes du RAID pour « homicide volontaire ».
A « bout de course », « paranoïaque » ? Eric Schmitt, lauteur de la prise dotages de la maternelle Commandant-Charcot à Neuilly-sur-Seine, devient un homme aux multiples visages. « Human Bomb », tel quil avait été baptisé, se voit ramené, aujourdhui, au simple rang dun braqueur de banque.
« Libération », dans son édition de mardi, révèle, en effet, les témoignages de trois employés dune succursale de lagence American Express dAntibes, qui laccusent dêtre lauteur de deux braquages effectués contre lagence, en 1990 et 1992.
« Lorsque jai vu la photo, jy ai rajouté au crayon les lunettes et les moustaches dont mon agresseur sétait affublé et alors, je nai plus eu de doute, il sagissait bien de la même personne », raconte un de ces employés qui, au cours du deuxième hold-up, aurait passé plus dune heure en face de son agresseur.
Il semble que la diffusion, dans les médias, des photos dEric Schmitt, au lendemain de sa mort, aurait « réveillé les souvenirs » du personnel de lagence. Des « souvenirs » enregistrés, le 17 mai, par les policiers de lantenne niçoise du SRPJ de Marseille, soit à peine deux jours après la mort dEric Schmitt.
Ces témoignages, à eux seuls, ne constituent pas des preuves de culpabilité, mais ils refont étrangement surface au moment où souvre une information judiciaire à la suite de la plainte pour « homicide volontaire », déposée par la famille du preneur dotages.
Et alors même quAnne-Marie Schmitt, la soeur de ce dernier, conteste fortement la version officielle selon laquelle son frère aurait été tué par balles. A la morgue, elle naffirme navoir « vu aucune blessure » sur son visage.
Fragilité des témoignages, recueillis à chaud, au lendemain du drame ? De « troublantes similitudes », tant physiques que psychologiques, convergeraient pour accuser Eric Schmitt. La panoplie de la « Human Bomb » est là : ceinture garnie dexplosifs, munie dune boîte noire permettant sa mise à feu, et prise dotage du responsable de lagence, lors du deuxième hold-up.
Le mobile ? Au moment des deux hold-up, Eric Schmitt serait un homme fini qui se débattrait dans dimportantes difficultés financières. Enfin, le fait quil se soit rendu à Antibes, entre deux attentats, pour un bref, mais cependant très remarqué, séjour dune nuit au camping Antipolis, apporte de
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Par lesprittordu le 12 Novembre 2007 à 23:37
Après larrestation de lauteur du braquage sanglant de Cergy-Pontoise, la police sinterroge sur ses motivations et les syndicats réclament de meilleures conditions de sécurité.
Trois morts et cinq blessés, dont un dans un état critique. Le braquage, perpétré samedi contre la Caisse dépargne du centre commercial des Trois fontaines à Cergy-Pontoise, est le plus meurtrier de ces dix dernières années. Depuis, indignation et incompréhension succèdent à la tristesse. Dominique Lefebvre, maire socialiste de Cergy, exprime " sa plus vive émotion devant cet acte sanglant de grand banditisme " et espère que son auteur sera " durement châtié ". Du côté des syndicats, on est plus dur encore. Alain Lahaye de la CGC (Confédération générale des cadres) est encore sous le choc. Il crie sa " colère ", sa " révolte " et appelle le gouvernement à prendre des mesures radicales.
" Le milieu bancaire est de plus en plus exposé. Le gouvernement et le patronat doivent trouver des solutions pour nous permettre de travailler dans des conditions de sécurité optimales. Et vite, car avec leuro, on craint une recrudescence de ce type de braquages (qui ont déjà augmenté de 20,3 % entre janvier et juin 2001 - NDLR). " Pour Christian Vaccaro, secrétaire général de FO : " Il faut profiter de cet événement dramatique et imbécile pour faire avancer les choses sur le sujet. ". Les syndicats " vont se réunir pour exiger un renforcement des mesures de sécurité avant le passage à leuro ", affirme Jean-Marc Zwerenz de la CFTC. Au ministère de lIntérieur, Daniel Vaillant sest, pour linstant, contenté de faire part de " sa très vive émotion et sa grande tristesse devant ce drame de la folie humaine ".
Le ministre ne croit pas si bien dire en parlant de folie. Bien des faits sont troublants dans ce braquage. Et notamment, lextrême violence dont a fait preuve le malfaiteur. Après sêtre introduit dans la banque à 9 heures du matin et avoir ligoté sur un fauteuil le directeur de lagence, Pascal Prieur, un père de famille de 49 ans, le braqueur la abattu froidement. " Une véritable exécution ", dénonce Alain Lahaye, lui-même ancien directeur dagence. En sortant de la banque à 13 h 45, travesti en femme et caché derrière deux otages, le braqueur, qui, daprès Anne Pauly, procureur adjoint de Pontoise, serait né au Tchad en 1974, laisse derrière lui un autre cadavre, celui du conseiller financier de la banque, et deux autres victimes grièvement blessées.
Ensuite, les fusillades senchaînent. Le fuyard tue le conducteur dune Rover afin de semparer de son véhicule et laisse trois autres personnes sur le pavé. Rien ne semblait pourtant justifier une telle débauche de violence, le braqueur fou a fait feu sur chaque obstacle, même les plus inoffensifs.
Lincroyable détermination du forcené pose aussi plusieurs questions. Étrange, tout dabord, quil choisisse de braquer une banque se situant à quelques centaines de mètres dun commissariat de police et en plein centre commercial à une heure de grande affluence. Étrange ensuite que, traqué par la police et le RAID, et alors que les médias diffusent des messages de méfiance, il sollicite laide dun habitant dune commune proche de la base nautique de Cergy-Neuville où il avait trouvé refuge. Et enfin, que penser de la façon dont il termine sa cavale ? En rentrant paisiblement chez lui en taxi ! Autant dinterrogations auxquelles les policiers qui lont arrêté, dimanche à 6 h 30, vont devoir répondre pour essayer de comprendre le drame.
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Par lesprittordu le 12 Novembre 2007 à 23:34
QUATRE hommes armés et le visage recouvert dune cagoule ont pris en otage, dans la nuit de jeudi à vendredi à Allauch (Bouches-du-Rhône), la famille du directeur dune agence bancaire de Marseille et ont obligé son épouse à se rendre à la banque pour leur ouvrir les coffres, quils ont dévalisés hier matin. Les malfaiteurs, armés dun pistolet-mitrailleur et dun fusil à pompe, ont fait irruption dans la soirée de jeudi au domicile de la famille Garnier, quils ont séquestrée toute la nuit.
Deux des agresseurs ont amené lépouse du banquier à lagence du Crédit commercial de France de Mazargues, dans le 9e arrondissement de Marseille, tandis que les deux autres gardaient le mari et sa mère. Les gangsters, accompagnés de leur otage, ont attendu larrivée des employés, pour se faire ouvrir les coffres quils ont vidés. Ils ont pris la fuite à bord dune Ford Sierra avec un butin qui est en cours dévaluation. Les otages ont été libérés sains et saufs.
Cest un scénario quasi identique qui sest déroulé en Corse, où deux malfaiteurs, armés et cagoulés, ont pris en otage, pendant la nuit de jeudi à vendredi, le directeur dune agence bancaire de Bastia qui a dû leur remettre une forte somme dargent en contrepartie de la libération de son épouse, également séquestrée.
Les malfaiteurs, armés de pistolets, ont fait irruption jeudi soir au domicile du directeur dune agence de la Société générale. Après avoir séquestré le couple toute la nuit, ils ont intimé lordre au mari de se rendre à la banque et de vider le coffre de létablissement. Le directeur, qui avait rendez-vous au centre-ville avec ses agresseurs, sest exécuté en leur remettant une somme denviron 300.000 francs. Peu après, son épouse a été libérée, saine et sauve, près du commissariat de la ville.
Selon certains policiers, le double sas avec détection métallique, installé à grands frais ces derniers mois dans la majorité des établissements bancaires, serait directement à lorigine du développement du hold-up avec prise dotages.
Mais si cette forme de criminalité est en pleine expansion, elle nengendre pas pour autant une recrudescence des vols à main armée car « ces hold-up par procuration » remplacent peu à peu les braquages traditionnels, contrés par la sophistication des moyens de sécurité dans les banques.
« Linstallation du double sas empêche les bandits de pénétrer dans les banques avec des armes. Pour tourner la difficulté, les gangsters, jamais à court didées pour contrer lévolution technologique, envoient maintenant leur otage récupérer le butin », analyse un policier marseillais. Il est vrai quau niveau de la loi, la prise dotages, comme monnaie déchange pour obtenir un butin, est passible de la même peine que le « classique » braquage de banque qui, lui seul, peut valoir à ses auteurs la réclusion criminelle à perpétuité.
« Avant, cette forme de criminalité était réservée aux bandes les mieux organisées et utilisée uniquement pour les grosses affaires. Aujourdhui, même si elle nécessite un professionnalisme certain, elle est beaucoup plus courante. Il est vrai que cette prise de risques correspond également à lévolution de la criminalité où lutilisation des armes et des otages est malheureusement banalisée. »
Pour linstant, aucune parade efficace na pu encore être trouvée pour contrer cette évolution criminelle. Mais, le hold-up avec prise dotages a déjà ses lettres de noblesse. En effet, le casse le plus rentable (160 millions de francs) de lhistoire de la criminalité en France, le 16 décembre à la banque de France de Toulon, a pu être réalisé « grâce » à la prise en otage dun membre des services de sécurité, et de sa famille, qui a fait ouvrir la porte de la banque à ses ravisseurs.
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Par lesprittordu le 12 Novembre 2007 à 23:21
DEUX hommes armés ont séquestré, samedi à Chennevières-sur-Marne, quatre employés de banque et emporté 400.000 francs.
Cest vers 16 heures que deux hommes, agissant tout dabord à visage découvert, ont attaqué la succursale bancaire de Chennevières du Crédit lyonnais. Dissimulant ensuite leur visage sous une cagoule, ils ont accueilli les clients, gros calibre au poing, les parquant dans une pièce pour quils ne puissent pas donner lalarme. Après avoir enfermé les employés, ils sont repartis avec leur butin. Les employés nont pu donner lalerte que quarante minutes après. Aucun blessé nest à déplorer.
La technique utilisée signe le méfait. Il ne sagit visiblement pas damateurs, mais de malfaiteurs chevronnés, connaissant les agences bancaires et sachant neutraliser les employés, là où il faut, sans effusion de sang. Ils ont dailleurs agi avec le plus grand sang-froid, demeurant quarante minutes dans lagence, lun tenant en respect personnel et clients, tandis que lautre opérait en sous-sol, récupérant les liasses des coffres. Des petits malfrats auraient sans doute opéré dans la précipitation. Ils semblaient également bien renseignés sur le fait que, ce jour-là précisément, cette banque disposait de sommes importantes.
Si le SRPJ de Créteil, chargé de lenquête, dispose dun signalement précis, il ne semble cependant pas avoir identifié les braqueurs. Difficulté supplémentaire : nul ne sait comment ils se sont enfuis.
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