• Quatre braquages en moins de deux heures


    Quatre braquages à main armée ont eu lieu en moins de deux heures samedi soir dans des petits commerces, tous situés dans l'arrondissement d'Argenteuil, dans le Val-d'Oise.
     
    Vers 18h50, quatre individus, dont deux munis d'une arme de poing, se sont emparés de la caisse d'un fleuriste à Cormeilles-en-Parisis, dont le contenu est estimé à 700 euros. Aux alentours de 19 heures, deux autres braquages ont eu lieu à Bezons, l'un chez un fleuriste et l'autre dans un bar. Pour le premier, le montant du préjudice n'a pas pu être communiqué. Pour le second, les trois malfaiteurs, dont deux possédaient une arme de poing, se sont fait remettre le contenu de la caisse, estimé à 1.000 euros, ainsi que des jeux de grattage. Enfin, vers 20 heures, deux individus, dont l'un muni d'une arme de poing, ont braqué une boulangerie à Argenteuil. Le montant du préjudice n'a pas été communiqué. Lors de ces quatre vols à main armée, personne n'a été blessé.
     
    Par ailleurs, vers 18h30, le propriétaire d'une bijouterie de Saint-Leu-La-Forêt a été blessé au coude par un tir de fusil lors d'une tentative de braquage. L'homme, ainsi que sa compagne, ont été transportés au centre hospitalier d'Eaubonne, a-t-on appris auprès des pompiers. Les quatre malfaiteurs ont pris la fuite, a-t-on ajouté de source policière. Les différentes enquêtes ont été confiées à la police judiciaire du Val-d'Oise.
     
    source : lci


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  • Une belle équipe

     

    Il était 16 heures hier après-midi quand un homme tout de noir vêtu, portant un casque et armé d'un pistolet, a braqué l'agence de la Banque de Savoie située au coeur du centre commercial de Saint-Baldoph. Le malfaiteur a bousculé le vigile présent sur les lieux et a pris la fuite sur une moto de couleur rouge, de forte cylindrée conduite par son complice. Moins d'une demi-heure plus tard les deux hommes ont opéré à Pontcharra. Là, ils se sont emparés de la caisse de la station service du magasin Super U puis ont attaqué l'agence de la Banque de Savoie. Les gendarmes ont aussitôt déclenché le plan Milan et affrété un hélicoptère mais le binôme a réussi à prendre la fuite.
    Le mode opératoire des deux hommes laisse penser qu'il s'agit de la même équipe qui sévit dans ce secteur depuis trois mois et semble privilégier les agences de la Banque de Savoie.
    Le 1er août, en milieu de matinée, deux motards braquent la Banque de Savoie dans la rue principale de Montmélian, avant de prendre la fuite. Le 13 août, à peu près aux mêmes horaires, c'est la perception de la Rochette qui est attaquée. Là encore, les deux motards filent sans être inquiétés. <script type=text/javascript> </script> Le 29 août, un tandem opère dans des conditions similaires devant la fontaine des Éléphants, à Chambéry. L'un des hommes pénètre dans l'agence de la Société générale, s'empare d'une maigre somme et rejoint son complice qui l'attend sur une moto immatriculée à Genève. Les malfaiteurs ne manquent pas de culot puisque dans la foulée ils s'en prennent à l'agence de la Banque de Savoie du Bourget-du-Lac. Malgré le dispositif policier mis en place ils réussissent à passer à travers les mailles du filet.
    Les enquêteurs ne cachent pas alors qu'ils pensent avoir affaire à la même équipe. «Ils vont se terrer quelque temps et dépenser l'argent qu'ils ont avant de remettre ça...» pronostiquait alors un gendarme.
    Son analyse s'est vérifiée hier après-midi. Là encore, les braqueurs ont fait preuve d'une audace inquiétante. Ils n'ont pas hésité à agir au coeur de Saint-Baldoph quelques minutes avant la sortie de l'école, dans un secteur commerçant très fréquenté à cette heure de la journée. Le fait que l'agence bancaire soit protégée par un vigile qui a été molesté ne les a pas dissuadés. Et après ce premier hold-up ils ont récidivé par deux fois à Pontcharra. D'énormes risques pour un butin semble-t-il dérisoire. À la Banque de Savoie, on répondait juste que les montants dérobés étaient très faibles puisque les agences bancaires disposent aujourd'hui de très peu de liquidités.
    A Saint-Baldoph l'émotion était très vive hier après-midi. Des habitants confiaient avoir repéré depuis plusieurs jours des gendarmes en surveillance dans le secteur. Une surveillance qui n'a pas inquiété les braqueurs.

    source : le dauphiné


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  • Braquage dans une banque à Uccle : un suspect interpellé

     

    Un suspect a été interpellé dans le cadre d'un braquage commis mardi dans une filiale de banque CBC située chaussée de Waterloo à Uccle


    BRUXELLES Un homme s'est présenté partiellement masqué vers 10H00 au guichet de l'agence. Armé d'un couteau dont la lame mesurait de 30 à 40 centimètres, l'auteur a exigé 10.000 euros à un employé. Face à l'absence de réaction de la part de ce dernier, l'homme armé s'en est pris physiquement à une cliente. Plusieurs clients se trouvaient dans l'agence lors de l'attaque. Le malfrat n'est pas parvenu à obtenir son butin et a pris la fuite dans une direction inconnue en emportant l'appareil photographique d'une des victimes.

    La police a procédé à un ratissage du quartier et a surveillé l'entrée de l'hôpital psychiatrique Fond'Roy situé non loin de l'agence. Elle a interpellé sur place un suspect dont le profil correspondait à la description donné par les victimes de l'auteur. Le suspect, qui a été identifié formellement par les témoins et à partir des images enregistrées par des caméras de surveillance, a été mis à disposition du parquet de Bruxelles. L'appareil photographique volé à une victime a été retrouvé dans une poubelle.

    source : DHNET


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  • Trois braquages en une journée

    Deux banques Axa et un GB-Express ont été la cible de malfrats armés en Région bruxelloise

    UCCLE Trois attaques à main armées ont été commises hier dans l'est de Bruxelles. Dans la matinée, à moins de trente-cinq minutes d'intervalle, ce sont deux banques Axa qui ont été visées. Dans la soirée, c'est un GB Express qui a été braqué. "Rien ne dit qu'il existe un lien entre ces affaires", précise-t-on du côté de la police.

    Il était 8 h 45, lorsque deux hommes portant des cagoules ont fait irruption dans une agence Axa située avenue des Sept Bonniers à Uccle. Ils ont attendu l'arrivée du directeur pour entrer. " Les auteurs, qui avaient attendu à l'écart, lui ont sauté dessus et porté des coups au visage ", poursuit la police. Sous la menace, le directeur a été contraint d'ouvrir son agence. Une employée qui est arrivée à cet instant fut également forcée à entrer dans l'agence. "Les auteurs les ont emmenés dans la salle des coffres. Ils ont mis l'argent d'un coffre-fort dans un sac à dos." Avant de prendre la fuite avec un butin estimé à environ 34.000 euros, les auteurs ont tenté d'enfermer les deux victimes dans la salle des coffres. Ils n'y sont jamais parvenus.

    Vers 9 h 20, soit 35 minutes plus tard, c'est une autre agence Axa qui a été prise pour cible. " Un homme a profité de l'arrivée d'un employé devant l'agence, située rue du Bien-Faire à Watermael-Boitsfort, pour le menacer au moyen d'un pistolet." Après avoir malmené l'employé, il l'a contraint à vider les caisses. Le butin est estimé à 4.200 euros. " La victime a été enfermée dans les toilettes. Mais l'employé a pu déclencher le système d'alarme ." La police est arrivée sur place rapidement et a pu le libérer.

    19 h, troisième attaque. Cette fois, deux auteurs armés ont braqué le GB Express de la rue des Deux Chaussées à Auderghem. Butin : 1.300 euros...

    source dh


     


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  • Un homme qui venait de se faire remettre sous la menace d'une arme 10.000 euros dans un bureau de Poste du IXe arrondissement de Paris a été interpellé mercredi matin quelques minutes plus tard, a-t-on appris de sources proches de l'enquête.

    Mercredi vers 07H30, l'homme âgé de 40 ans a profité de l'arrivée des employés pour s'introduire dans le bureau de Poste de la rue Riboutté (IXe) et sous la menace d'une arme et d'une grenade, qui s'avèreront plus tard factices, à se faire remettre par les employés présents, dont deux seront légèrement blessés, une enveloppe contenant 10.000 euros.

    L'alerte ayant été donnée, les policiers de la police urbaine de proximité (PUP) l'ont interpellé quelques minutes plus tard.

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    Sur lui les policiers ont retrouvé, outre le pistolet et la grenade, un couteau, une paire de menotte, des gants et une perruque.

    Déjà connu des services de police il a été placé en garde à vue dans les locaux de la 1ère division de police judiciaire (1ère DPJ) en charge de l'enquête

    source : la parisien


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  • Dans un communqué du FBI paru le 8 mai 2008 , le Fbi demande l’aide du publid américain pour rétrouver un braqueur . Il s’agit d’un homme noir d’environ 40/50 ans .

    Le 8 mai à 15h35 l’homme pénétre dans la Wells Fargo Bank de Houston au Texas habillé comme un maçon . S'agit-il d'un déguisement pour dissimuler son identité ou de son travail quotidien?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Les caméras de surveillance ont  capturé une bonne photo de l’homme que le FBI a surnommé "HARD-HATTED HANDYMAN"<o:p></o:p>

    Il s 'est présenté au guichet et a exigé de l'argent, et a menacé de tirer sur la guichetière . Il a quitté la zone dans un véhicule de couleur grise, peut-être une Pontiac, avec vitres teintés.

    Le FBI promet une prime de 5000,00 $ pour toute information conduisant a son arrestation .

     

     

    E.T

     


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  • Hold-up raté dans une banque d'Ecaussinnes

    (08/05/2008)

    Les malfrats ont exigé que l'employée leur remette son trousseau de clés, ce qu'elle a refusé. Profitant d'un moment d'inattention, la dame est parvenue à s'enfermer dans son bureau


    MONS Trois hommes cagoulés et armés ont forcé jeudi matin une employée de banque d'Ecaussinnes à ouvrir l'établissement, mais celle-ci est parvenue à se barricader dans son bureau, obligeant les malfaiteurs à prendre la fuite, apprend-on jeudi auprès de la police Haute Senne.

    L'employée, déjà victime d'un tiger kidnapping il y a un an ou deux, rejoignait vers 8 h l'agence Axa de la place Cousin lorsque deux hommes vêtus de noir, cagoulés et armés, sont apparus et l'ont obligée à ouvrir l'agence.

    Une fois à l'intérieur, les malfrats ont exigé qu'elle ouvre les bureaux et le coffre, où ils auraient été surpris de ne pas découvrir d'argent. Ils ont ensuite exigé que l'employée leur remette son trousseau de clés, ce qu'elle a refusé. Profitant d'un moment d'inattention, la dame est parvenue à s'enfermer dans son bureau.

    Les deux hommes ont alors pris la fuite pour rejoindre un véhicule ou les attendait au minimum un complice.

    Une équipe labo de la PJ est descendue sur place, ainsi que le parquet de Mons. L'enquête a été reprise par la police judiciaire fédérale, précise-t-on à la police local

    source : agence belga


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  • Un gérant de banque et son épouse victimes


    NIVELLES Un gérant d'une agence bancaire Fortis située à Forest et son épouse ont fait l'objet d'un "tiger-kidnapping" lundi, a-t-on appris mardi au parquet de Bruxelles. Les malfrats se sont rendus au domicile du gérant et de son épouse à Nivelles et les ont forcés à monter dans deux véhicules différents. Ils ont rejoint l'agence bancaire à Forest et contraint le gérant de l'agence à ouvrir le coffre-fort. Les victimes ont ensuite été laissées sur place.

    Les auteurs ont pris la fuite avec un butin indéterminé. Selon la police de la zone de Bruxelles-Ouest, un des véhicules utilisés par les malfrats a été retrouvé à Molenbeek. Cette information n'a pas été confirmée par le parquet de Bruxelles. Les malfrats étaient toujours en fuite mardi.

    source : la derniere heure


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  • Les malfaiteurs ont pris en otage les locataires du dessus de l'agence en attendant l'arrivée du personnel


    LIEGE Cinq individus encagoulés sont entrés par effraction dans les locaux de la banque AXA, située Nouvelle Percée à Remicourt, peu après 02h00 dans la nuit de lundi à mardi. Après avoir menacé un couple de locataire qui dormait à l'étage et le personnel de l'agence, ils se sont enfuis avec un butin encore indéterminé.

    Après avoir pénétré dans la banque, les malfaiteurs sont montés à l'étage où dormait un couple de locataires. Les malfaiteurs, armés, ont pris le couple en otage jusqu'à l'arrivée des premiers employés de l'agence, peu après 08h.

    Les malfaiteurs sont alors descendus dans les bureaux et ont braqué le personnel, obligeant le gérant à ouvrir le coffre-fort. L'argent qui se trouvait à l'intérieur a été apparemment volé mais on ignore le montant du butin.

    Les individus ont pris la fuite à bord d'une Peugeot 404 qui appartient à un membre du personnel de l'agence bancaire. Les recherches sont actuellement en cours dans toute la région mais jusqu'à présent elles n'ont donné aucun résultat.

    L'alerte a été donnée dans les secondes qui ont suivi le départ des braqueurs.


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  • Trois hommes armés ont commis un hold-up avec prise d'otage, mardi soir, à l'agence Centea de la Grote Steenweg à Berchem


    ANVERS On ignore encore le montant du butin. Les auteurs ont disparu dans la nature, a indiqué la police anversoise.

    Vers 20h40, la gérante de l'agence Centea a reçu un appel téléphonique d'un collaborateur qui, l'air inquiet, lui a demandé de se rendre immédiatement à l'agence. La gérante, qui trouvait la démarche étrange, a pris la précaution de se faire accompagner par un collègue.

    Sur place vers 21h20, ils ont constaté une situation anormale et fait appel, vers 21h50, à une patrouille de police. Celle-ci a aussitôt demandé de l'aide et les policiers ont encerclé l'immeuble, dans l'attente de la "Bijzonder Bijstandsteam", une unité spéciale de la police d'Anvers.

    A 22h40, l'employé de banque se trouvant dans les locaux, un homme de 39 ans, est parvenu à sortir de l'immeuble. Blessé à la tête, il a été emmené à l'hôpital. Les locaux ont alors été entièrement fouillés, en vain.

    L'employé avait encore reçu quelques clients mardi soir. Le dernier était en fait un des agresseurs, qui a réussi à faire entrer deux de ses complices. Sous la menace de couteaux et d'un pistolet, l'homme a été obligé d'ouvrir le coffre avant d'être brutalement enfermé.

    Les auteurs de l'agression se sont volatilisés et le montant du butin n'a pas encore été communiqué.


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  • Six hommes, originaires de Mantes-la-Jolie, sont jugés depuis lundi devant la cour d’assises des Yvelines. Ils sont accusés d’avoir commis six braquages entre septembre et octobre 2003 dans des banques des Yvelines mais aussi à Saint-Étienne-du-Rouvray en Seine-Maritime ainsi que dans la Manche.

    Ismalia, 27 ans, soupçonné d’être à la tête du gang, se trouvait en début de semaine dans le box des accusés aux côtés de Saïf-Eddine, 22 ans, son lieutenant supposé, ainsi que d'Aboudou, El Habib, Mouhamadoul et José, ces derniers étant accusés d’avoir participé à certains braquages seulement.

    Les six jeunes gens jugés jusqu’à vendredi 10 mars sont originaires du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie. Ils ont été interpellés par la PJ de Versailles après une série de braquages commis dans des banques des Yvelines. Après la BNP de Gargenville durant l’été 2003, la Société Générale de Fontenay-le-Fleury était ensuite attaquée le 10 septembre mais les braqueurs, perruques sur la tête et lunettes de soleil sur le nez, repartaient bredouilles avec une liasse de billets piégés et peinturlurés. Rapidement les enquêteurs faisaient un rapprochement avec le vol d’une VW Golf commis à Poissy et le braquage de la Caisse d’Épargne des Clayes-sous-Bois commis le 17 septembre 2003 où trois hommes encagoulés avaient emporté 57 000 euros.

    La course s’arrête au Mac Do de Mantes

    Quelques jours auparavant, c’est la Société Générale de Querqueville (Manche) qui était victime d’un groupe de braqueurs qui dérobaient plus de 12 000 euros. Le 25 septembre, les agences de la Société Générale de Bonnières-sur-Seine (200 euros) et d’Epône (9 000 euros ainsi qu’une Clio) étaient également ciblées. Il aura fallu un accident, le 14 octobre, à l’issue d’une course-poursuite au péage de Buchelay jusqu’au Mc Do de Mantes-la-Ville, impliquant quatre braqueurs d’une banque de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime) pour que la police les arrête. Ensuite les empreintes laissées sur des tiroirs-caisses des banques, et sur les voitures volées vont permettre aux policiers de remonter aux membres du gang un à un. Le 29 décembre 2003 les premières interpellations tombent.

    Lundi, un des accusés, Saïf Eddine, a expliqué qu’à l’époque des faits il habitait Mantes-la-Jolie. « Je n’étais pas souvent chez moi », a-t-il rappelé, se souvenant avoir trouvé « bizarre » que son grand-père ait reçu une simple montre après trente ans de travail sans un seul arrêt maladie. Après l’échec d’une scolarité trop courte raconté par le jeune homme, l’accusé a écouté les quelques mots émouvants de sa mère venue indiquer à la barre que son fils était « gentil » et « poli ». Le verdict est attendu vendredi soir.


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  • Dans la nuit de mercredi à jeudi, les malfrats sont allés au domicile d'une employée du bureau de poste

    CHARLEROI Le tiger kidnapping qui a été commis dans la nuit de mercredi à jeudi au bureau de poste de Trazegnies a été le fait de trois auteurs, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.

    Dans la nuit de mercredi à jeudi, les malfrats sont allés au domicile d'une employée du bureau de poste de l'avenue de l'Hôtel de Ville de Trazegnies, qui habite à Fontaine-l'Evêque, et l'ont obligée à les accompagner au bureau de poste, où elle devait vider le contenu du coffre du bureau de poste.

    Pendant ce temps, les complices de cette agression ont tenu en otages l'époux et le fils, âgé de trois ans, de l'employée du bureau de poste.

    Ils ont vidé le contenu du coffre puis ils ont libéré l'employée ainsi que son mari et son fils, l'un et l'autre indemnes. Ils ont pu prendre la fuite. On ignore le montant du préjudice subi.


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  • Un employé de la banque Fortis et son épouse pris en otage

    CHARLEROI Cinq malfrats ont dévalisé la banque Fortis de Charleroi, ce vendredi, en réussissant un tiger-kidnapping.

    Vers 7 h 30, les auteurs armés et encagoulés ont surpris un employé de l'agence devant son domicile de Gerpinnes, alors qu'il s'apprêtait à se rendre au travail. Les auteurs ont pris son épouse en otage, menaçant le couple des pires malheurs s'il n'obtempérait pas.

    Le banquier a ainsi été contraint de se rendre seul à l'agence du boulevard de l'Yser pour y vider les coffres. Ce qu'il a fait, vu la menace pesant sur sa femme. Une fois à la banque, il a versé l'argent dans un sac. Un butin indéterminé qu'il a dû déposer ensuite à un endroit bien déterminé du grand ring de Charleroi (R3). C'est là que les truands ont récupéré le magot. Il semble qu'ils aient également pris place à bord du véhicule du banquier avant de prendre la fuite dans une direction inconnue. L'épouse a quant à elle été libérée un peu plus tard, du côté de Ransart.

    Les victimes sont bien évidemment en état de choc et devaient recevoir un soutien psychologique.

    Une enquête a été ouverte par la police fédérale.


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  • Selon les témoignages recueillis par la police, cette jeune femme d'une vingtaine d'années, a procédé à quatre braquages depuis la mi-octobre en s'attaquant à des filiales d'une seule banque, la "Wachovia", tout en menant chaque fois une conversation animée sur son portable.

    Une caméra de télévision l'a filmée lors de son dernier hold-up il y a quelques jours à Ashburn, dans la banlieue de Washington. L'enregistrement la montre à visage découvert en grande conversation téléphonique pendant qu'une caissière, lui remet une pile de billets, qu'elle empoche tout en conversant, avant de sortir, le portable toujours vissé à l'oreille.

    L'examen des enregistrements n'a toutefois pas permis de dire si la jolie braqueuse, à la chevelure brune retenue par une paire de lunettes de soleil, avait un interlocuteur au bout du fil, précise la police.

    Lors de l'un de ses premiers hold up, elle avait utilisé une arme inhabituelle, une boite avec un message scotché pour réclamer de l'argent. La police n'a pas révélé le contenu exact du message.


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    On ne connaît pas grand chose des circonstances mais il est fort à parier que le braquage qui s'est déroulé cette semaine dans une banque du neuvième arrondissement de Paris est à inscrire dans les annales de la police nationale.

    Jeudi, un inconnu a décidé d'attaquer une banque. Quoi de plus banal par les temps qui courent ? Pour cela, il a décidé de prendre un pistolet. Jusque là, rien d'extravagant. Il s'est aussi doté d'un chalumeau. Peut-être encombrant, mais pourquoi pas.

    Gonflé

    Parvenu sur les lieux de son forfait, l'homme a menacé le personnel avec son arme et l'a enfermé. Au moment de s'emparer du butin, l'ingénieux malfrat a extirpé un aspirateur afin d' "avaler" en un temps record les billets de banque. Il a ensuite pris la poudre d'escampette, ni vu ni connu. Il n'y a pas eu de témoin direct des faits.

    Le montant du butin n'est pas encore connu.


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  • Une tentative de hold-up dans une agence Axa de Laeken a été commise  a-t-on appris auprès de la police locale et du parquet de Bruxelles. Une employée a pu échapper aux trois malfaiteurs et a prévenu la police. Les auteurs se sont enfuis sans butin.

    L'employée de banque était arrivée vers 08h00 à l'agence Axa située sur l'Avenue Emile Bossaert. Dans le sas d'entrée, elle a été menacée par trois hommes armés. La victime a été conduite dans le sous-sol de l'agence d'où elle a pu se libérer d'elle-même. Elle est sortie de l'agence et a fermé la porte à clé pensant ainsi enfermer les malfaiteurs. Elle a immédiatement prévenu la police.

    Un important dispositif policier a été mis en place, la police espérant intercepter les auteurs qu'elle pensait coincés à l'intérieur. La police fédérale a également envoyé un hélicoptère et une unité d'intervention spéciale. Celle-ci a procédé à la fouille complète de l'agence sans retrouver les auteurs qui avaient déjà pris la fuite, sans butin.

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  • Le preneur d’otages de la maternelle de Neuilly serait l’auteur de deux hold-up perpétrés contre une banque d’Antibes. Des révélations qui arrivent au moment où sa famille porte plainte contre les hommes du RAID pour « homicide volontaire ».

    A « bout de course », « paranoïaque » ? Eric Schmitt, l’auteur de la prise d’otages de la maternelle Commandant-Charcot à Neuilly-sur-Seine, devient un homme aux multiples visages. « Human Bomb », tel qu’il avait été baptisé, se voit ramené, aujourd’hui, au simple rang d’un braqueur de banque.

    « Libération », dans son édition de mardi, révèle, en effet, les témoignages de trois employés d’une succursale de l’agence American Express d’Antibes, qui l’accusent d’être l’auteur de deux braquages effectués contre l’agence, en 1990 et 1992.

    « Lorsque j’ai vu la photo, j’y ai rajouté au crayon les lunettes et les moustaches dont mon agresseur s’était affublé et alors, je n’ai plus eu de doute, il s’agissait bien de la même personne », raconte un de ces employés qui, au cours du deuxième hold-up, aurait passé plus d’une heure en face de son agresseur.

    Il semble que la diffusion, dans les médias, des photos d’Eric Schmitt, au lendemain de sa mort, aurait « réveillé les souvenirs » du personnel de l’agence. Des « souvenirs » enregistrés, le 17 mai, par les policiers de l’antenne niçoise du SRPJ de Marseille, soit à peine deux jours après la mort d’Eric Schmitt.

    Ces témoignages, à eux seuls, ne constituent pas des preuves de culpabilité, mais ils refont étrangement surface au moment où s’ouvre une information judiciaire à la suite de la plainte pour « homicide volontaire », déposée par la famille du preneur d’otages.

    Et alors même qu’Anne-Marie Schmitt, la soeur de ce dernier, conteste fortement la version officielle selon laquelle son frère aurait été tué par balles. A la morgue, elle n’affirme n’avoir « vu aucune blessure » sur son visage.

    Fragilité des témoignages, recueillis à chaud, au lendemain du drame ? De « troublantes similitudes », tant physiques que psychologiques, convergeraient pour accuser Eric Schmitt. La panoplie de la « Human Bomb » est là : ceinture garnie d’explosifs, munie d’une boîte noire permettant sa mise à feu, et prise d’otage du responsable de l’agence, lors du deuxième hold-up.

    Le mobile ? Au moment des deux hold-up, Eric Schmitt serait un homme fini qui se débattrait dans d’importantes difficultés financières. Enfin, le fait qu’il se soit rendu à Antibes, entre deux attentats, pour un bref, mais cependant très remarqué, séjour d’une nuit au camping Antipolis, apporte de


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  • Après l’arrestation de l’auteur du braquage sanglant de Cergy-Pontoise, la police s’interroge sur ses motivations et les syndicats réclament de meilleures conditions de sécurité.

    Trois morts et cinq blessés, dont un dans un état critique. Le braquage, perpétré samedi contre la Caisse d’épargne du centre commercial des Trois fontaines à Cergy-Pontoise, est le plus meurtrier de ces dix dernières années. Depuis, indignation et incompréhension succèdent à la tristesse. Dominique Lefebvre, maire socialiste de Cergy, exprime " sa plus vive émotion devant cet acte sanglant de grand banditisme " et espère que son auteur sera " durement châtié ". Du côté des syndicats, on est plus dur encore. Alain Lahaye de la CGC (Confédération générale des cadres) est encore sous le choc. Il crie sa " colère ", sa " révolte " et appelle le gouvernement à prendre des mesures radicales.

    " Le milieu bancaire est de plus en plus exposé. Le gouvernement et le patronat doivent trouver des solutions pour nous permettre de travailler dans des conditions de sécurité optimales. Et vite, car avec l’euro, on craint une recrudescence de ce type de braquages (qui ont déjà augmenté de 20,3 % entre janvier et juin 2001 - NDLR). " Pour Christian Vaccaro, secrétaire général de FO : " Il faut profiter de cet événement dramatique et imbécile pour faire avancer les choses sur le sujet. ". Les syndicats " vont se réunir pour exiger un renforcement des mesures de sécurité avant le passage à l’euro ", affirme Jean-Marc Zwerenz de la CFTC. Au ministère de l’Intérieur, Daniel Vaillant s’est, pour l’instant, contenté de faire part de " sa très vive émotion et sa grande tristesse devant ce drame de la folie humaine ".

    Le ministre ne croit pas si bien dire en parlant de folie. Bien des faits sont troublants dans ce braquage. Et notamment, l’extrême violence dont a fait preuve le malfaiteur. Après s’être introduit dans la banque à 9 heures du matin et avoir ligoté sur un fauteuil le directeur de l’agence, Pascal Prieur, un père de famille de 49 ans, le braqueur l’a abattu froidement. " Une véritable exécution ", dénonce Alain Lahaye, lui-même ancien directeur d’agence. En sortant de la banque à 13 h 45, travesti en femme et caché derrière deux otages, le braqueur, qui, d’après Anne Pauly, procureur adjoint de Pontoise, serait né au Tchad en 1974, laisse derrière lui un autre cadavre, celui du conseiller financier de la banque, et deux autres victimes grièvement blessées.

    Ensuite, les fusillades s’enchaînent. Le fuyard tue le conducteur d’une Rover afin de s’emparer de son véhicule et laisse trois autres personnes sur le pavé. Rien ne semblait pourtant justifier une telle débauche de violence, le braqueur fou a fait feu sur chaque obstacle, même les plus inoffensifs.

    L’incroyable détermination du forcené pose aussi plusieurs questions. Étrange, tout d’abord, qu’il choisisse de braquer une banque se situant à quelques centaines de mètres d’un commissariat de police et en plein centre commercial à une heure de grande affluence. Étrange ensuite que, traqué par la police et le RAID, et alors que les médias diffusent des messages de méfiance, il sollicite l’aide d’un habitant d’une commune proche de la base nautique de Cergy-Neuville où il avait trouvé refuge. Et enfin, que penser de la façon dont il termine sa cavale ? En rentrant paisiblement chez lui en taxi ! Autant d’interrogations auxquelles les policiers qui l’ont arrêté, dimanche à 6 h 30, vont devoir répondre pour essayer de comprendre le drame.


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  • QUATRE hommes armés et le visage recouvert d’une cagoule ont pris en otage, dans la nuit de jeudi à vendredi à Allauch (Bouches-du-Rhône), la famille du directeur d’une agence bancaire de Marseille et ont obligé son épouse à se rendre à la banque pour leur ouvrir les coffres, qu’ils ont dévalisés hier matin. Les malfaiteurs, armés d’un pistolet-mitrailleur et d’un fusil à pompe, ont fait irruption dans la soirée de jeudi au domicile de la famille Garnier, qu’ils ont séquestrée toute la nuit.

    Deux des agresseurs ont amené l’épouse du banquier à l’agence du Crédit commercial de France de Mazargues, dans le 9e arrondissement de Marseille, tandis que les deux autres gardaient le mari et sa mère. Les gangsters, accompagnés de leur otage, ont attendu l’arrivée des employés, pour se faire ouvrir les coffres qu’ils ont vidés. Ils ont pris la fuite à bord d’une Ford Sierra avec un butin qui est en cours d’évaluation. Les otages ont été libérés sains et saufs.

    C’est un scénario quasi identique qui s’est déroulé en Corse, où deux malfaiteurs, armés et cagoulés, ont pris en otage, pendant la nuit de jeudi à vendredi, le directeur d’une agence bancaire de Bastia qui a dû leur remettre une forte somme d’argent en contrepartie de la libération de son épouse, également séquestrée.

    Les malfaiteurs, armés de pistolets, ont fait irruption jeudi soir au domicile du directeur d’une agence de la Société générale. Après avoir séquestré le couple toute la nuit, ils ont intimé l’ordre au mari de se rendre à la banque et de vider le coffre de l’établissement. Le directeur, qui avait rendez-vous au centre-ville avec ses agresseurs, s’est exécuté en leur remettant une somme d’environ 300.000 francs. Peu après, son épouse a été libérée, saine et sauve, près du commissariat de la ville.

    Selon certains policiers, le double sas avec détection métallique, installé à grands frais ces derniers mois dans la majorité des établissements bancaires, serait directement à l’origine du développement du hold-up avec prise d’otages.

    Mais si cette forme de criminalité est en pleine expansion, elle n’engendre pas pour autant une recrudescence des vols à main armée car « ces hold-up par procuration » remplacent peu à peu les braquages traditionnels, contrés par la sophistication des moyens de sécurité dans les banques.

    « L’installation du double sas empêche les bandits de pénétrer dans les banques avec des armes. Pour tourner la difficulté, les gangsters, jamais à court d’idées pour contrer l’évolution technologique, envoient maintenant leur otage récupérer le butin », analyse un policier marseillais. Il est vrai qu’au niveau de la loi, la prise d’otages, comme monnaie d’échange pour obtenir un butin, est passible de la même peine que le « classique » braquage de banque qui, lui seul, peut valoir à ses auteurs la réclusion criminelle à perpétuité.

    « Avant, cette forme de criminalité était réservée aux bandes les mieux organisées et utilisée uniquement pour les grosses affaires. Aujourd’hui, même si elle nécessite un professionnalisme certain, elle est beaucoup plus courante. Il est vrai que cette prise de risques correspond également à l’évolution de la criminalité où l’utilisation des armes et des otages est malheureusement banalisée. »

    Pour l’instant, aucune parade efficace n’a pu encore être trouvée pour contrer cette évolution criminelle. Mais, le hold-up avec prise d’otages a déjà ses lettres de noblesse. En effet, le casse le plus rentable (160 millions de francs) de l’histoire de la criminalité en France, le 16 décembre à la banque de France de Toulon, a pu être réalisé « grâce » à la prise en otage d’un membre des services de sécurité, et de sa famille, qui a fait ouvrir la porte de la banque à ses ravisseurs.


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  • DEUX hommes armés ont séquestré, samedi à Chennevières-sur-Marne, quatre employés de banque et emporté 400.000 francs.

    C’est vers 16 heures que deux hommes, agissant tout d’abord à visage découvert, ont attaqué la succursale bancaire de Chennevières du Crédit lyonnais. Dissimulant ensuite leur visage sous une cagoule, ils ont accueilli les clients, gros calibre au poing, les parquant dans une pièce pour qu’ils ne puissent pas donner l’alarme. Après avoir enfermé les employés, ils sont repartis avec leur butin. Les employés n’ont pu donner l’alerte que quarante minutes après. Aucun blessé n’est à déplorer.

    La technique utilisée signe le méfait. Il ne s’agit visiblement pas d’amateurs, mais de malfaiteurs chevronnés, connaissant les agences bancaires et sachant neutraliser les employés, là où il faut, sans effusion de sang. Ils ont d’ailleurs agi avec le plus grand sang-froid, demeurant quarante minutes dans l’agence, l’un tenant en respect personnel et clients, tandis que l’autre opérait en sous-sol, récupérant les liasses des coffres. Des petits malfrats auraient sans doute opéré dans la précipitation. Ils semblaient également bien renseignés sur le fait que, ce jour-là précisément, cette banque disposait de sommes importantes.

    Si le SRPJ de Créteil, chargé de l’enquête, dispose d’un signalement précis, il ne semble cependant pas avoir identifié les braqueurs. Difficulté supplémentaire : nul ne sait comment ils se sont enfuis.


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