• Un adjoint de sécurité a été agressé jeudi après avoir dénoncé deux personnes condamnées par la justice pour des violences après la mort de deux adolescents à Villiers-le-Bel, dans le Val-d'Oise. Il a été a été agressé "et roué de coups" près de chez lui "par une bande de jeunes gens", selon une source policière.
     
    Avec un collègue, ils avaient permis l'interpellation de ces deux jeunes gens, qui ont comparu devant la  justice et ont été condamnés à des peines de prison ferme. Lors de l'audience les noms de ces deux adjoints de sécurité en poste à la  police aux frontières de Roissy et domiciliés tous les deux dans le Val-d'Oise ont été divulgués, ce qui aurait permis aux agresseurs de les retrouver, selon la police. Une enquête a été ouverte et l'administration policière est en train de leur trouver un logement dans un autre département.

    Jean-Claude Delage, secrétaire général d'Alliance a estimé qu'il "faudrait prendre des précautions afin de mieux protéger les policiers dans ces cas où ils concourent  à la manifestation de la vérité", surtout "s'agissant d'Adjoint qui sont jeunes" et  souhaitent intégrer la police. Il suggère par exemple qu'ils témoignent sous X "comme le droit le permet". Les violences liées à la mort de deux adolescents à Villiers-le-Bel ont  débouché depuis quatre jours sur une soixantaine de placements en garde à vue et  sept peines de prison ferme, a annoncé jeudi la Chancellerie.


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  • J ai trouvé sur internet un article daté du 08/02/2001 relatant un meurtres de deux homosexuels. Le 28/11/2007 un homme de 68 ans a été arréter  pour des meutres entre 1983 et 2002 , cette ex artiste transformiste choissisez ces victimes exclusivement dans le milieu homosexuel . Il  a faits des victimes en autre a Paris . A vous de voir si il y a un lien ......

    Homosexuels assassinés: les policiers de la brigade criminelle ont découvert vendredi et dimanche à Paris les corps de deux homosexuels, tués dans des circonstances inexpliquées. Vendredi, un ami du couple, inquiet de ne pas avoir de leurs nouvelles, s'était rendu à leur appartement rue Saint-Martin et y avait découvert le corps du propriétaire, un notaire en retraite âgé de 76 ans. Il avait été entouré avec du plastique alimentaire et du ruban adhésif après avoir été étranglé. Dans le cadre de leur enquête, les policiers se sont rendus dimanche après-midi au garage où le septuagénaire entreposait sa voiture. Derrière l'automobile, ils ont découvert sous des gravats le corps de l'amant du notaire, un Polonais de 30 ans. Le jeune homme avait également été étranglé et sa mort, selon les premières constatations, serait antérieure à celle du notaire.


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  • Rebondissement dans l'enquête sur l'assassinat d'un couple de fermiers

    MONS La chambre du conseil de Mons a rendu une ordonnance de prise de corps contre Stéphane Labeau, suspecté de l'assassinat de Christian Duquene et Rita Wallecam, un couple de quadragénaires retrouvé mort, en avril 2001, dans sa ferme de Roisin (Honnelles). Par contre, la juridiction a prononcé un non-lieu pour Bernard Wallecam, le frère de Rita Wallecam, qui était également inculpé dans ce dossier.

    En outre, les devoirs complémentaires demandés par le conseil de Stéphane Labeau, en audience le 8 novembre dernier, ont été jugés inopportuns et donc refusés.

    L'affaire reviendra prochainement devant la chambre des mises en accusation, qui saisira ou non la cour d'assises.

    Pour rappel, le 12 mars 2001, Mélanie, la fille de Christian Duquene et Rita Wallecam, signale la disparition de ses parents à la police. Des fouilles poussées sont alors effectuées sur le site de l'exploitation durant toute une semaine, mais le couple reste introuvable.

    Les enquêteurs retiennent très vite l'hypothèse du meurtre. Début avril, Stéphane Labeau et Bernard Wallecam sont placés sous mandat d'arrêt. Grâce aux déclarations de ce dernier, les corps sont retrouvés sous un tas de fumier, derrière la ferme. Bernard Wallecam affirme que c'est Stéphane Labeau qui lui a indiqué l'endroit, mais celui-ci continue de clamer son innocence.

    Malgré les nombreux conflits qu'ont connus les Duquene et les Wallecam, les policiers émettent l'hypothèse d'une tragédie sentimentale plutôt que d'un règlement de comptes familial. Stéphane Labeau entretenait en effet une relation amoureuse avec Mélanie, relation très mal vue par ses parents. La jeune fille a d'ailleurs dénoncé son ami et ce dernier se serait aussi confié à un codétenu, au moment où il était en détention préventive


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  • Un convoyeur de fonds et une passante ont été blessés par balles jeudi matin lors de l'attaque d'un fourgon blindé de la Brink's près de la Porte de Bagnolet à Paris, a-t-on appris de source policière.
    (On vient d'apprendre que le convoyeur de fonds blessé vient de décéder.)
    Selon les premiers éléments de l'enquête, une fusillade a éclaté vers 7h30 entre trois malfaiteurs armés et deux convoyeurs près d'une agence bancaire de la Société générale, 116 boulevard Davout (XXe), à une centaine de mètres de la Porte de Bagnolet. La direction de la Brink's a précisé à l'AFP que l'un des deux convoyeurs avait été touché par une balle à l'aine mais que ses jours n'étaient pas en danger. Il a été hospitalisé à la Salpetrière, selon la police. Une passante, qui attendait l'autobus, a été atteinte par un éclat de balle, a ajouté la Brink's. Elle a été hospitalisée à l'hôpital Saint-Antoine, selon la police.

    Selon la Brink's, les malfaiteurs ont pris la fuite sans emporter d'argent. Le président de l'entreprise de transports de fonds Roger Dutoit s'est rendu sur place ainsi que Christian Lambert, directeur de cabinet du préfet de police de Paris. Un fourgon blindé compte trois personnes : le chauffeur, qui reste toujours dans le véhicule, un convoyeur qui porte les sacs entre le véhicule blindé et l'agence bancaire et un autre convoyeur qui assure sa protection. La brigade de répression du banditisme (BRB) a été chargée de l'enquête. (afp)

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  • Alsace : la police pense avoir arrêté un tueur en série

     

    Il est soupçonné d'être l'auteur de 18 meurtres commis entre 1980 et 2002. Des homosexuels principalement. Un homme de 68 ans était en garde à vue mercredi à Montbéliard, dans le Doubs. Le vice-procureur de Montbéliard Jean-Marc Gervason a déclaré qu'"au stade actuel de l'instruction, il est prématuré de parler de tueur en série" au sujet de ce sexagénaire, en précisant qu'il était entendu dans le cadre d'une information judiciaire portant sur six meurtres.
     
    Un complice présumé, un Tunisien âgé de 43 ans condamné en 1999 à 20 ans de réclusion pour le meurtre d'un agent d'assurances homosexuel à Riedisheim, dans le Haut-Rhin), et qui purge sa peine en région parisienne, a également été conduit au commissariat de Montbéliard. Les deux hommes, qui ont été un temps amants selon des sources proches de l'enquête, ont nié les faits.
     
    "aucune preuve formelle"
     
    Aucune décision n'a été prise quant à un défèrement au parquet, a déclaré à l'AFP M. Gervason, qui avait un peu plus tôt indiqué qu'il n'y avait, pour l'instant, "aucune preuve formelle" contre eux. La garde à vue du sexagénaire, déjà prolongée, expire jeudi matin. Plusieurs autres personnes de leur entourage sont entendues dans le cadre de ce dossier.
     
    Le sexagénaire a été arrêté mardi à son domicile, à Mulhouse, après une enquête policière portant sur une série de 18 meurtres commis entre 1980 et 2002, principalement contre des homosexuels. Il est officiellement entendu dans le cadre d'une commission rogatoire visant six meurtres commis entre 1983 et 2002, a précisé le vice-procureur : cinq en Alsace, dont celui de Riedisheim, et un en Franche-Comté et deux a Paris .
     
    Les victimes sont cinq hommes et une femme: Daniel Decker, tué à Mulhouse en 1983, Didier Sol, un handicapé léger de 23 ans tué à Sochaux en 1991, Joëlle Schneider, une prostituée tuée à Mulhouse en 1993, Christophe Michel, un serveur de 21 ans tué à Colmar en 1991, Henri Figenwald, l'agent d'assurance tué en 1995 à Riedisheim, et Michel Michaudet, tué à Mulhouse en 2000.
     
    Tuées d'un coup violent à la tête
     
    Le suspect, artiste transformiste et travesti, s'est produit dans des cabarets en Alsace et en Allemagne, où l'enquête pourrait éventuellement avoir des prolongements, selon des sources proches de l'enquête. Les cabarets mulhousiens Le Fantasio ou Le Palace Bar, où il avait exercé avant sa fin de carrière en 1992, n'existent plus aujourd'hui. L'homme menait une vie en apparence paisible et ne cachait pas son homosexualité, ont déclaré des voisins à un correspondant de l'AFP qui s'est rendu dans son immeuble à Mulhouse. "Il habitait ici depuis 4 ou 5 ans. Il avait un petit chien" qu'il promenait souvent dans ce quartier commerçant, a déclaré une voisine.
     
    C'est la ténacité d'un policier de Montbéliard, ayant enquêté durant deux années, qui a conduit aux interpellations, selon le Journal l'Alsace-Le Pays, qui a révélé l'affaire. En interrogeant le logiciel informatique Salvac (système d'analyse des liens de la violence associée au crime) de la police, le policier enquêtant sur le meurtre de Didier Sol a constaté que le nom du tueur présumé revenait dans plusieurs affaires non élucidées, car il gravitait dans l'environnement des victimes.
     
    L'enquêteur s'est intéressé à 18 crimes, constatant qu'ils avaient plusieurs dénominateurs communs: les victimes, en majorité des homosexuels, ont été tuées d'un coup violent à la tête, suivi d'une multitude de coups de couteau, leur visage étant ensuite recouvert mais le corps partiellement déshabillé. Plusieurs de ces meurtres avaient été classés sans suite, faute d'éléments.


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  • Une équipe de braqueurs s'est attaquée à l'Intermarché samedi soir. Le préjudice est évalué à plus de 50 000 €.

    HIER MATIN, tout semblait normal à l'Intermarché de Roissy-en-Brie. Pourtant, samedi soir, le supermarché a été victime d'un vol à main armée. L'enquête a été confiée à la PJ de Melun.

    Le préjudice est estimé à plus de 50 000 €.

    C'est lors de la fermeture du magasin, vers 19 h 30, que les faits se sont produits. Plus aucun client n'était présent. Profitant de la sortie des salariés pour entrer , l'un des malfaiteurs, qui étaient au moins quatre, armé d'un couteau, a menacé une caissière et un vigile. Les autres ont emmené deux employées du magasin jusqu'à la salle des coffres où se trouvait le gérant. Sous la menace d'un fusil à pompe, ils les ont obligés à vider entièrement le coffre. Après avoir mis dans un sac-poubelle les billets , les braqueurs ont arrosé leurs trois victimes de gaz lacrymogène et les ont enfermées dans la salle du coffre. Ils sont ensuite repartis en courant. Ce sont des témoins, présents sur le parking du magasin, qui ont alerté les secours. Les victimes, très choquées et en larmes sous l'effet du gaz lacrymogène, ont été prises en charge par les pompiers.

    « Pour nous, ça a été un vrai choc, raconte le gérant de l'Intermarché. Dans ces moments-là, on ne pense qu'à une chose, c'est qu'ils ne perdent pas leur sang-froid et qu'ils n'appuient pas sur la gâchette. C'est dur, mais la vie continue. » Le lendemain matin, ce dernier ainsi que les caissières ont d'ailleurs repris le travail. « Je ne leur avais pas demandé de venir travailler, elles sont venues quand même, j'ai été agréablement surpris. On a rouvert comme si de rien n'était, sauf qu'on avait plus un seul billet en caisse, que de la ferraille, pour rendre la monnaie. »


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  • Aups est un petit village de 1900 âmes, situé en pleine campagne varoise. Un village sans histoire. Tout comme son collège. Mais mardi matin, les gendarmes ont dû interpeller un collégien de 12 ans. "La conseillère principale d'orientation l'a surpris ce matin en train de fumer dans les toilettes, témoigne sous couvert d'anonymat un élève de cet établissement contacté par LCI.fr. Quand elle a découvert l'arme, elle l'a emmené chez le principal qui a appelé les gendarmes". Egalement contactés, le chef de l'établissement ainsi que l'inspection d'académie n'ont pas souhaité faire de commentaire, la justice ayant été saisie de l'affaire.
     
    D'après les premiers témoignages, cela faisait deux jours que l'enfant venait avec son arme à l'école. "Il s'agit d'un pistolet de calibre 7.65 qui contenait deux balles dans son chargeur, explique à LCI.fr une source proche de l'enquête. "Cette arme, ancienne, n'est pas signalée comme volée", précise-t-on. Toujours selon nos informations, "l'enfant a été entendu comme témoin, à la demande du parquet, dans le cadre d'une enquête préliminaire". Les auditions de sa famille et des témoins ont eu lieu dès mardi après-midi dans les locaux de la gendarmerie d'Aups. Selon nos informations, l'enfant qui possédait l'arme rencontrait des problèmes familiaux.  Le parquet de Draguignan a saisi un juge pour enfants qui devrait décider de mesures éducatives.

    Selon le grand-père de l'enfant contacté par LCI.fr, "l'enfant aurait subtilisé l'arme à son parrain (ndlr : et non chez le père d'un ami comme indiqué précédemment), chez qui il vit . Il a des problèmes relationnels avec lui, il a pris l'arme pour faire le mâlin". Le propriétaire de l'arme, un ancien gendarme, qui ne possédait pas d'autorisation de détention, devait être cité ultérieurement. 
     


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  • Une femme de 23 ans est morte peu après avoir été découverte, grièvement blessée de plusieurs coups de couteau, dans une rame du RER D à Creil (Oise), dimanche vers midi, a-t-on appris de source judiciaire.

    La jeune femme a été retrouvée vers 11H50 par deux voyageurs qui montaient dans la rame à la station du RER D, reliant Creil au Châtelet, à Paris.

    La victime, qui était grièvement blessée, poignardée à plusieurs reprises au niveau de la poitrine et portant également des traces de coup sur le visage, est décédée peu après l'arrivée des secours, a précisé le parquet de Senlis.

    Le pompiers et le Samu, qui sont arrivés rapidement sur les lieux, ont tenté en vain à plusieurs reprise de réanimer la victime qui se trouvait alors en arrêt cardiaque.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime habitait à Senlis (Oise).

     

    Un suspect a été arrêté peu après l'agression mortelle d'une étudiante de 23 ans, dimanche, dans une rame du RER D à Creil, dans l'Oise. Cet homme qui aurait voyagé dans la même rame a été retrouvé blessé quelques gares avant Creil. Il a été placé, sous surveillance, dans un hôpital du Val-d'Oise où il devait être opéré. Il est déjà connu de la justice notamment pour une agression sexuelle commise il y a une dizaine d'années.
     
    La jeune femme résidant à Orry-la-Ville (Oise), près de Senlis, a été retrouvée vers 11 heures 50 par deux voyageurs qui montaient dans une rame à la station terminus de Creil du RER D. Elle était grièvement blessée de plusieurs coups de couteau au niveau de la poitrine et portait également des traces de coup sur le visage. Elle est décédée peu après l'arrivée des secours.

    L'antenne de Creil de la direction interrégionale de police judiciaire (DIPJ) de Lille a été chargée de l'enquête.

    La rame du RER D dans laquelle a été retrouvée la jeune femme a été immobilisée à la gare de de Creil.


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  • Au terme d'une longue enquête, trois hommes ont été interpellés à la cité Consolat à Marseille

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    Depuis deux mois, les enquêteurs de la police judiciaire se sont fondus dans le décor de la cité Consolat pour étayer leurs soupçons contre cette équipe de présumés braqueurs. <script language=JavaScript> </script> <script language=JavaScript src="http://ad.fr.doubleclick.net/adj/N884.laprovence.komet/B2549207;dcadv=1343540;click0=http://memorix.sdv.fr/RealMedia/ads/click_lx.ads/laprovence/infoslocales/region_articles/1267556347/Position1/SDV_PRO/00927424_Blockparty_Carre_07_Nov/Renan_luce_actus_om_communautes_articles.html/35626134333636633436613866313330?;sz=300x250;ord=1267556347?" type=text/javascript></script> <script src="http://m.fr.2mdn.net/879366/flashwrite_1_2.js"></script> <script language=VBScript> Function IE_Detect (version) 'Do On Error Resume Next plugin = (IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash." & version & ""))) If plugin = true Then IE_Detect = true End If End Function</script>

    Et soudain, soixante policiers ont surgi du décor… Des hommes habillés en civil, que personne à la cité Consolat n'avait remarqué jusqu'alors. Il était environ 19h, vendredi soir, lorsque ces fonctionnaires de la brigade de répression du banditisme (BRB) et de la brigade rapide d'intervention (Bri) se sont déployés dans cette cité du 15e arr. qu'ils surveillaient depuis des mois.

    Sans hésitation, les policiers ont fondu sur leur cible : trois hommes interpellés à leur domicile respectif, qui sont soupçonnés d'être les auteurs de nombreux braquages de petits commerces, perpétrés ces derniers mois dans les quartiers Nord. En cette période de fin d'année, si propice aux malfaiteurs, combien de commerces comptaient-ils écumer ? Il se peut que le dernier de ces hold-up ait été commis juste avant l'interpellation, dans une bijouterie de la galerie Grand Littoral.

    Ce que déterminera l'examen des nombreux bijoux et présentoirs de bijouterie découverts au domicile de l'un des mis en cause. Autres pièces à conviction trouvées par les policiers: des armes et des cagoules, cachées dans ce même appartement et dans une cave. Voilà déjà de quoi solidement étayer les interrogatoires des suspects.

    Mais les gardés à vue devront également répondre, point par point, à tous les autres éléments à charge relevés par les enquêteurs. Car bien évidemment, ce coup de filet ne doit rien au hasard. Mais à de longues semaines de surveillance, de filatures, de signalements recoupés. "Depuis plusieurs semaines, on était tous les soirs en planque à Consolat", explique un enquêteur. Il y a deux mois, en effet, la police judiciaire a axé son travail sur l'un des trois comparses.

    Cet homme de 22 ans avait déjà été mis en examen pour plusieurs braquages à moto, au préjudice de commerces de proximité. Mais les preuves matérielles, toujours difficiles à réunir, étant insuffisantes, il n'est resté en prison que le temps de sa détention provisoire. La PJ ne l'a pas lâché. Et cette fois, la patience, la discrétion, l'ingéniosité des enquêteurs ont payé : vendredi soir, la police était là, semble-t-il, au bon endroit, au bon moment.


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  • En révélant devant la cour d'assises du Var que son amant, Jean-Claude Douliery, avait jeté le corps de son mari au pied d'une falaise, Béatrice Faure a permis de résoudre une énigme. Mais les gendarmes ont découvert un deuxième corps...

    SURPLOMBANT la somptueuse baie de Cassis (Bouches-du-Rhône), le site du Cap Canaille n'a jamais aussi bien porté son nom. C'est là, au pied d'un à-pic, dans un endroit inaccessible, que le 15 novembre dernier gendarmes et pompiers ont découvert des ossements humains, un bas de jogging mais aussi un soutien-gorge, des chaussures et des bijoux de femme. Ces morbides découvertes pourraient bien résoudre d'un coup deux disparitions : celle de Dominique Ortiz, une femme de 30 ans, volatilisée en mars 2001, et celle de Jean-Pierre Faure, introuvable depuis 16 mars 2005.

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    Pour la justice, tous deux ont été assassinés. Dans les deux cas, les juges d'instruction ont mis en examen le même homme : Jean-Claude Douliery, un Marseillais de 38 ans. Il nie tout et n'a jamais parlé. Les ossements auraient pu continuer à se désagréger si une femme n'avait pas soulagé sa conscience : Béatrice Faure, épouse de Jean-Pierre et amante de Douliery. Poursuivie pour complicité dans l'assassinat de son mari, cette femme, « de type hystérique » selon les experts, a parlé au premier jour de son procès et de celui de Douliery devant les assises du Var le 14 novembre. « Je sais où se trouve le corps de mon mari. J'ai accompagné mon amant pour le jeter d'une falaise. », a-t-elle raconté. « Il y aura deux corps. Si on retrouve Jean-Pierre, on retrouvera aussi Dominique », précisait-elle en privé. Vraisemblablement, elle avait vu juste.

    Un corps « lourd à porter »

    Béatrice Faure n'a pas toujours été aussi volubile. Durant l'instruction, elle n'a cessé de multiplier les versions plus ou moins farfelues quant à la disparition de son mari, un homme très casanier. D'ailleurs, les soupçons de la justice se sont très vite portés sur elle et son amant. La première à alerter les gendarmes est sa propre fille, Angélique, à qui Béatrice s'est confiée peu après le drame.

    Selon ses déclarations, sa mère lui a déclaré avoir « eu du mal à nettoyer » les traces de sang tout en précisant que le corps avait été « lourd à porter »... Dans la maison du couple à Sanary-sur-Mer (Var), les enquêteurs décèleront des traces « pouvant être du sang » sur les murs fraîchement repeints. Angélique incrimine aussi Jean-Claude Douliery qu'elle sait être l'amant de sa mère. Pendant l'enquête, les gendarmes retrouveront dans une voiture incendiée des traces ADN de Jean-Pierre Faure. Ce véhicule a été acheté peu de temps avant par Douliery sous une fausse identité. Malgré ces charges très lourdes, jusqu'à la semaine dernière, tous deux s'obstinaient à nier.

    Les révélations de Béatrice Faure changent la donne. Elle aurait découvert son amant armé d'un couteau auprès du corps de son mari. L'hypothèse d'une bagarre qui aurait mal tourné ne peut être écartée. Douliery aurait intimé l'ordre à Béatrice Faure de le suivre pour jeter le corps « dans un endroit idéal pour le faire disparaître ». « Elle n'a pas parlé plus tôt car elle avait peur », soutient son avocate, M e Virginie Pin.

    A l'audience, Douliery est resté de marbre face aux révélations et persiste à nier toute responsabilité. « L'histoire se noue au sein d'un huis clos à trois et rien ne peut être vérifié. Qui plus est, le couple Faure allait divorcer et mon client n'a donc aucun mobile », indique son avocat, M e Lionel Moroni. Pour des proches de Jean-Pierre Faure, le principal bénéficiaire de son décès est son épouse. « Je suis persuadé qu'elle a manipulé Douliery pour se débarrasser de son mari », soutient un membre de sa famille. Même si le corps de Jean-Pierre Faure était identifié, l'histoire n'a pas encore livré tous ses ressorts.

    (LP/CAROL AMAR.)

    (LP/CAROL AMAR.)


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  • Qui en veut aux écoliers de Montbazens et Lanuéjouls, dans l'Aveyron ? Depuis plusieurs jours, des lettres circulent, tapées à l'ordinateur et envoyées par un mystérieux "corbeau". Leurs destinataires  : les directeurs de plusieurs établissements scolaires du secteur. Le contenu de ces missives est lourd de menaces envers les enfants - on parle de menaces de mort ou de mutilations, mais impossible d'en savoir plus : même si des réunions ont eu lieu pour informer les parents, "je me suis bien gardé de leur lire le courrier tellement son contenu dépasse tout ce qu'on peut imaginer", reconnaît Jean Mouly, maire de Lanuéjouls, cité dans Le Parisien. Les gendarmes sont prévenus, une enquête de flagrance est ouverte et la surveillance des écoles est renforcée.

    Mais pour l'heure, l'auteur de ces lettres reste inconnu. Pour expliquer ses motivations, en revanche, il évoque "la folie meurtrière des élus qui autorisent la déviation de Lanuéjouls". Cet aménagement routier, qui concerne cinq autres communes, est en projet depuis des années. Avec de vives contestations sur le choix du trajet : trois associations ont d'ailleurs été mises sur pied pour s'y opposer. Selon La Dépêche du Midi, le projet a fait l'objet d'une réunion la semaine dernière dans la commune de Lanuéjouls, à l'invitation du maire et en présence de la conseillère générale du canton, Gisèle Rigal. Au lendemain de cette réunion s'est tenu un conseil municipal au cours duquel les élus, consultés à bulletin secret,  ont approuvé l'un des tracés, auquel s'opposent une partie des habitants.

    C'est quelque jours après cette réunion et ce conseil municipal qu'ont été postées les lettres de menaces. Faut-il pour autant y voir un lien direct ? "Si le corbeau a voulu faire parler de la déviation, c'est réussi !", remarque un élu cité par Le Parisien. Mais pour l'heure, guère plus d'indices sur l'auteur des lettres. Et les élus locaux tiennent d'emblée à écarter tout soupçon des associations opposées à la déviation de Lanuéjouls : "A aucun moment nous ne suspectons ces associations. D'ailleurs, nous réfutons l'argument selon lequel la déviation serait la raison de ces menaces", ont-ils fait savoir dans un communiqué commun.


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  • Un important arsenal d'armes à feu a été saisi jeudi chez un particulier à Zoufftgen, en Moselle. Selon le quotidien régional Républicain Lorrain, le propriétaire, qui se dit  collectionneur, disposait sans protection particulière d'une centaine d'armes à  feu de toutes catégories, du petit pistolet de défense à l'arme de guerre  automatiques. Près de cent kilos de munitions diverses ont également été saisis.
     
    L'homme âgé de 56 ans et employé dans une armurerie au Luxembourg a été placé en garde à vue avant d'être remis en liberté vendredi. Il a pu conserver une  soixantaine d'autres pièces qu'il détenait légalement.

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  • Le balayeur de rue effectuait en fait une peine de travail. Le supect, connu du parquet pour des faits de vol, risque 2 à 5 ans d'emprisonnement


    BRUXELLES Un mandat d'arrêt a été requis par le parquet de Bruxelles contre un suspect interpellé jeudi dans le cadre d'un "enlèvement" d'un groupe d'une dizaine d'enfants âgés de 3 à 4 ans, a-t-on appris vendredi au parquet de Bruxelles.

    Le suspect effectuait une peine de travail comme balayeur de rue au service communal de la propreté à Ixelles jeudi matin quand il a invité un groupe d'enfants - 13 selon le suspect, 10 selon la police et 8 selon les parents - de l'école communale de la rue Rénier Châlon à le suivre dans un magasin situé à proximité pour y acheter des bonbons et des chips.

    Le suspect, Ahmed, âgé de 38 ans, risque en cas de condamnation pour enlèvement une peine d'emprisonnement de 2 à 5 ans puisque le suspect a restitué volontairement dans les cinq jours de "l'enlèvement" les mineurs (de moins de 12 ans), a fait savoir le parquet de Bruxelles. Le suspect est connu de la Justice bruxelloise pour des dossiers de vols mais aucun de moeurs. Il avait été condamné en 2005 et 2007 pour des faits de vols à des peines de travail respectivement de 250 et 300 heures.

    Le bourgmestre d'Ixelles, Willy Decourty, a confirmé les faits et déclare qu'une enquête est en cours. Des auditions ont par ailleurs eu lieu jeudi après-midi.
    Le directeur de l'école communale située rue Rénier Châlon à Ixelles a décidé que les enfants n'iraient plus à la plaine de jeux jusqu'à nouvel ordre


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  • Il était minuit passé lorsqu'un boulanger de Plomion, dans l'Aisne, a entendu des bruits au rez-de-chaussée de son habitation, où se trouve son magasin. Alors qu'il venait à peine de se coucher, il se relève, prend son fusil - il avait déjà été victime de plusieurs cambriolages - et se retrouve face à quatre ou cinq hommes en train de cambrioler sa boutique.
     
    Il fait alors feu sur l'un d'eux, tandis que ses complices échappent aux tirs et s'enfuient. Grièvement blessé, l'homme atteint par le tir est mort peu après lors de son  transfert à l'hôpital. Son âge n'a pas été précisé, ni s'il était armé. Les gendarmes recherchent toujours les autres complices.


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  • Deux cadavres dans l'ancien domicile d'un meurtrier déjà condamné

    LONDRES La police britannique a découvert vendredi un deuxième corps dans le jardin de l'ancienne maison d'un Britannique de 61 ans, condamné à la prison à vie en début d'année pour le meurtre d'une Polonaise, après avoir trouvé un autre cadavre lundi au même endroit.

    Peter Tobin, un ancien homme à tout faire, a été condamné à perpétuité par la Haute cour d'Édimbourg pour le viol et l'assassinat d'Angelika Kluk, une étudiante polonaise. Il avait essayé de dissimuler son corps dans une église de Glasgow.

    La police enquête sur son éventuel lien avec d'autres disparitions de jeunes femmes et mène des recherches depuis plusieurs jours dans un ancien domicile de Tobin à Margate (sud-est de l'Angleterre).

    Une porte-parole de la police de l'Essex (est) avait annoncé vendredi après-midi un "développement important sur le site de Margate. Des restes humains ont été découverts et une autopsie est prévue".

    Les enquêteurs étaient à la recherche du corps de Dinah McNicol, 18 ans, originaire de l'Essex, qui avait été vue pour la dernière fois en 1991 alors qu'elle rentrait d'un festival de musique. "La famille McNicol a été prévenue mais il n'y a aucune indication à ce stade sur l'identité du squelette", avait ajouté la porte-parole.

    En début de soirée, un responsable de la police de l'Essex a indiqué que les premiers éléments - la taille du cadavre ainsi que les vêtements et les bijoux trouvés à proximité - indiquaient que le corps était bien celui de Dinah McNicol. "Les indices sont cohérents avec le fait qu'il s'agit du corps de Dinah McNicol", a déclaré Peter Lowton, adjoint au chef de la police de l'Essex, précisant qu'une "analyse urgente" de la dépouille était en cours. Les recherches ont repris hier et pourraient encore se poursuivre plusieurs jours.

    Lundi, le squelette de Vicky Hamilton, 15 ans, avait été mis au jour dans le jardin de la même maison. Vicky avait été aperçue vivante pour la dernière fois en 1991 attendant le bus à Bathgate (est de l'Écosse), à proximité de l'endroit où Peter Tobin résidait à l'époque. Il a comparu jeudi devant un tribunal où il a été inculpé du meurtre de l'adolescente.




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  • L'auteur a été interné à Dave

    METTET C'est une surprenante histoire que celle qui s'est produite jeudi en fin d'après-midi à Mettet. Il était aux alentours de 16 h 30 lorsqu'un homme âgé de 43 ans s'est soudainement emparé de sa hache longue de plus d'un mètre et est allé en direction de la maison de son voisin.

    Dans un premier temps, l'homme s'est attaqué à la barrière. Une fois celle-ci complètement détruite, il s'est dirigé vers la porte d'entrée de la maison de son voisin et a commencé à la massacrer.

    On imagine sans mal la panique et la peur dudit voisin en voyant un tel spectacle. Sans hésiter, ce dernier s'est précipité sur son téléphone et a averti les forces de police locales.

    Rapidement sur les lieux, les policiers se sont retrouvés face à un auteur toujours aussi excité.

    En voyant la police, l'intéressé ne s'est pas pour autant calmé. Il a à nouveau saisi sa hache, a brandi cette dernière vers les policiers et a menacé ceux-ci s'ils approchaient de trop près.

    Par trois fois, les policiers ont tenté de le gazer pour qu'il se calme, mais en vain. Finalement, c'est en sautant sur lui que les forces de l'ordre sont parvenues à le maîtriser. Après l'avoir ramené au poste, le quadragénaire a passé la nuit en garde à vue. Hier, il a été présenté à un expert psychiatre. À l'issue de l'entretien, le médecin a pris la décision de l'interner. Il a dès lors été amené à Dave. Le parquet de Namur précise qu'au moment des faits, le quadragénaire était en plein délire. Par ailleurs, il aurait déjà des antécédents de maladie mentale.


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  • Il a sévi pendant presque trois ans : entre janvier 2005 et novembre 2007. Cette semaine, un homme de 34 ans a reconnu 16 viols, tentatives de viols et agressions sexuelles sur des jeunes femmes à Grenoble et dans sa banlieue. Il devait être mis en examen vendredi soir pour "viols aggravés sous la menace d'une arme, tentatives de viols aggravés, agressions aggravées et tentatives d'agressions", selon le vice-procureur de Grenoble, Luc Fontaine. L'homme, ingénieur informatique marié et père de 3 enfants risque 20 ans de réclusion criminelle.
     
    "C'est grâce à ses empreintes digitales retrouvées lors de la dernière agression sur un carreau de la salle de bain de sa victime, que cet homme, arrêté en 1998 pour exhibition, a pu être identifié", a expliqué le commissaire Jean-Claude Dunan, chef de la sûreté de Grenoble. Il nie une dix-septième agression et il y a un doute sur une dix-huitième, a-t-il ajouté. "Il est possible que d'autres victimes ne se soient pas signalées", a souligné de son côté le vice-procureur de Grenoble.
     
    "Cet homme est tout sauf un marginal, il avait une très bonne situation professionnelle et semblait parfaitement intégré", a précisé le vice-procureur. "Il avait un comportement de prédateur : il 'se cagoulait' et s'introduisait chez des femmes seules. Au début, il les menaçait d'un couteau, puis il a eu recours à un pistolet factice et, à la fin, il 'cagoulait' ses victimes", a expliqué le commissaire Florent Mion.

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  • Pour les enquêteurs, il s'agit du "plus important vol d'armes jamais réalisé dans une caserne de CRS de l'Hexagone". La caserne visée par les voleurs était celle de la CRS-50 à La Talaudière, près de Saint-Etienne : pas moins de treize pistolets automatiques de marque Sig-Sauer, de calibre 9 mm y ont disparu, ainsi que 24 chargeurs de 15 cartouches chacun.

    "Il s'agit vraisemblablement de spécialistes car l'enceinte de la caserne est gardée en permanence par des patrouilles armées", a estimé une source policière. Elle ajoute que les différentes hypothèses envisagées vont de la piste interne à celle de membres de l'ETA qui, ces dernières années, ont sévi à plusieurs reprises dans le département de la Loire et ses environs immédiats.

    Les CRS dénoncent la vétusté des locaux

    Les auteurs de ce vol, qui ont réussi à déjouer le système de surveillance de la caserne, ont apparemment sectionné, à l'aide d'une grosse pince coupante, les cadenas des casiers individuels dans lesquels les fonctionnaires avaient déposé leur arme de service. Le vol a été constaté jeudi vers 8h45 au moment où des CRS, rentrés de mission la veille, s'apprêtaient à repartir.

    L'Inspection générale de la police nationale, saisie par le parquet de Saint-Etienne, devra apprécier si le fait d'avoir déposé leur arme de service dans les casiers des vestiaires constitue une "faute" de la part des fonctionnaires concernés, où s'il s'agit d'une "tolérance acceptable" vis-à-vis de la réglementation en vigueur dans une caserne de CRS, a expliqué une source syndicale. Cette dernière ajoute que "du fait de sa vétusté que nous avons maintes fois dénoncée, mais aussi de sa configuration géographique, cette caserne est difficile à sécuriser".

    Personne n'avait été interpellé vendredi matin dans le cadre des deux enquêtes en cours, l'une, judiciaire, confiée à la police judiciaire, et l'autre, administrative, à l'Inspection générale de la police nationale.


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  • L'homme est soupçonné d'avoir, depuis mars, agressé sexuellement cinq jeunes femmes dans le métro parisien. Agé de 33 ans, il a été interpellé mardi dans le foyer où il résidait, à Bagneux, dans les Hauts-de-Seine.

    L'enquête qui a permis son arrestation avait démarré au début du mois. Le 5 novembre, peu après 22 heures, une femme de 29 ans était agressée sexuellement par un homme à la station Montparnasse-Bienvenüe et déposait plainte.

    Montparnasse, Iéna, Denfert-Rochereau : le parcours de l'agresseur

    Lors de leur enquête, les policiers de la 3e division de police judiciaire se rapprochaient de la brigade des réseaux ferrés qui enquêtaient sur quatre faits similaires commis par un homme qu'ils n'avaient pas identifié formellement.

    L'individu aurait ainsi agressé sexuellement une femme de 25 ans en mars à la station Montparnasse-Bienvenüe, une autre de 26 ans en avril à la station Iéna, et deux autres âgées de 31 et de 24 ans en mai et juillet à la station Denfert-Rochereau. Grâce à des clichés issus des images de vidéo-surveillance de la RATP, les policiers de la 3ème DPJ ont pu identifier l'homme et l'interpeller.

    Placé en garde à vue, ce dernier a reconnu les cinq faits qui lui étaient reprochés affirmant avoir agi sous l'effet de pulsions. Il a été déféré jeudi au parquet de Paris et mis en examen.


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  • Sept hommes, peut-être des islamistes radicaux, tous de nationalité française, ont été interpellés mardi à Besançon et dans sa région. Ils faisaient l'objet d'une surveillance parce qu'ils possédaient des armes de calibre de guerre et s'entraînaient en forêt à intervalles réguliers, selon une source judiciaire jointe par l'afp.

    Selon nos informations, les Renseignements généraux de Besançon auraient été alertés il y a deux ans des agissements de ces individus. La Sous-direction de l'antiterrorisme, à Paris, aurait alors été saisie d'une enquête préliminaire. Ses observations sur le terrain auraient permis de les voir acheter du matériel, notamment des treillis, mais elles n'auraient pas permis de surprendre les sept individus à l'entraînement en pleine forêt.

    Une Kalash et plusieurs pistolets

    Mardi, les enquêteurs ont décidé de procéder à leur interpellation sous le chef d'"association de malfaiteurs en vue de la préparation d'une entreprise terroriste". Toujours selon nos informations, lors de la perquisition ont été découverts une kalashnikov et plusieurs pistolets de 4e catégorie, des 9 mm et des 7.65. Pendant les premières auditions, certains des individus interpellés auraient reconnu qu'ils tenaient un discours djihadiste mais que jamais ils ne seraient partis faire la guerre en Irak ou en Bosnie, comme cela a été avancé. Ne serait-ce qu'à cause de leurs familles et de leurs emplois.

    Les vérifications sur leurs éventuels liens avec l'islam radical sont toujours en cours. Ils devraient être déférés dans l'après-midi au parquet antiterroriste à Paris


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