• Rennes: interpellations après une information sur un risque d'attentat

     

    Cinq hommes ont été interpellés jeudi matin à Rennes par la sous-direction antiterroriste de la Direction centrale de la police judiciaire, à la suite d'une information laissant supposer qu'ils seraient liés à la préparation d'un attentat, a-t-on appris de source proche du dossier.

    Les cinq hommes sont tous de nationalité française et d'origine maghrébine, a-t-on ajouté de même source et ont été placés en garde à vue. <BTN_NOIMPR>

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    Ces interpellations, a-t-on précisé, sont intervenues après que la police eut pris connaissance d'une information selon laquelle ces hommes prépareraient ou seraient liés à la mise au point d'un attentat.

    De source proche de l'enquête, on souligne que ces interpellations ont eu lieu à la demande du parquet de Paris qui a décidé d'intervenir «pour vérifier des renseignements sur la possible constitution d'un groupuscule islamiste pouvant avoir des objectifs terroristes».

    Les perquisitions, toujours en cours jeudi dans la matinée, n'avaient «rien donné de spécial» en milieu de matinée. Aucune arme ou document significatif n'ont été découverts aux domiciles des cinq jeunes interpellés qui habitent dans le centre et à la périphérie de Rennes. Les enquêteurs vont maintenant ausculter leurs ordinateurs. 

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    source : le parisien


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  • Il égorge son codétenu à Rouen

     

    Le corps de la victime, âgée de 26 ans, a été retrouvé dans sa cellule de la prison de Rouen vers 23h30. Selon les premiers éléments de l'enquête recueillis auprès du parquet de Rouen, le jeune homme est mort après que son codétenu lui a asséné plusieurs coups à la gorge avec des bouts de verre. Le meurtrier présumé, âgé de 20 ans, était incarcéré à la prison dans l'attente de son procès, suite à sa mise en examen début 2008 pour meurtre à l'issue d'une bagarre. Il s'était déjà fait remarquer lors d'une autre bagarre en prison l'été dernier. D'après le parquet, les médecins psychiatres qui avaient examiné le jeune homme ne le considéraient apparemment pas comme "dangereux".

    La victime, âgée de 26 ans, était écrouée depuis un an pour récidive de conduite en état d'ébriété. Toujours selon nos informations, il aurait donné son accord cet été pour partager la cellule de son agresseur. L'inspection de l'administration pénitentiaire a ouvert une enquête, parallèlement à l'enquête de flagrance ouverte par le parquet de Rouen afin de connaître les circonstances exactes du drame. Un juge d'instruction devait être saisi dans la journée.

    C'est dans cette même prison que dans la nuit du 2 au 3 janvier 2007, un détenu de 35 ans, avait battu et asphyxié son codétenu avant de lui manger un morceau de son poumon. Ce nouveau drame ne devrait pas manquer de reposer la question de la gestion des détenus victimes de troubles psychiatriques en prison.

    source : lci


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  • Un poissonnier aspergé d'essence et grièvement brûlé

     

    Un commerçant marseillais, âgé d'une trentaine d'années, était dans un état critique mercredi après avoir été aspergé d'essence dans sa poissonnerie par un commando qui a ensuite mis le feu à l'établissement, a indiqué une source proche de l'enquête. L'agression, commise par un commando composé de plusieurs individus, s'est produite vers 2h dans la nuit de mardi à mercredi dans le XVe arrondissement de Marseille.
     
    Une fois l'alerte donnée, le poissonnier a été transporté dans un état critique au service des grands brûlés de l'hôpital de la Conception. En coma artificiel, il n'a pas pu être entendu par les enquêteurs. La police judiciaire de Marseille a été chargée de l'enquête. Elle étudie plusieurs pistes mais ne privilégie pas celle du racket, contrairement à des informations données auparavant de sources proches du dossier, a indiqué la PJ.

    source : lci


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  •  En prison pour infanticide, elle cache sa nouvelle grossesse

     

    Une femme accusée d'infanticide et incarcérée à Rennes en attente de son procès a révélé une nouvelle grossesse quelques heures avant d'accoucher à la stupeur du personnel de la prison.
     
    Valérie Le Gall, la mère d'un bébé dont le corps avait été retrouvé en mars dans le congélateur de la ferme familiale dans les Côtes d'Armor, s'est plainte de douleurs abdominales le 3 septembre en fin de journée et a dit qu'elle était enceinte, a indiqué à l'AFP Yves Bidet, adjoint au directeur interrégional de l'administration pénitentiaire pour le grand Ouest. Le médecin a constaté des contractions et confirmé la grossesse, à la "stupeur du personnel", a-t-il ajouté. Après de nouvelles contractions vers 23 heures, la maison d'arrêt a prévenu le Samu. La femme, âgée d'une trentaine d'années a accouché d'une petite fille dans l'ambulance durant son transport à l'hôpital.
     
    Valérie Le Gall "faisait l'objet d'un suivi médical régulier" et "l'examen médical d'entrée a bien eu lieu", a souligné M. Bidet, selon qui "le personnel soignant a appris la nouvelle avec surprise. Cela montre qu'on peut cacher une grossesse même aux gens les plus aguerris". "Le bébé a été pris en charge par le personnel du CHU de Rennes", où il se trouve avec sa maman. "Juridiquement, une femme détenue peut garder son enfant auprès d'elle pendant deux ans, mais en l'occurrence, la question se pose compte tenu de sa personnalité", a estimé le procureur de la République de Saint-Brieuc, Gérard Zaug, interrogé par le quotidien Ouest-France, qui a révélé l'affaire.
     
    "Le déni de grossesse est contagieux"
     
    Un juge des enfants a été saisi et devra statuer sur la possibilité pour Valérie Le Gall de se voir confier la petite fille, a précisé Bidet. Valérie Le Gall, déjà mère de deux enfants de 5 et 2 ans, avait été mise en examen le 26 mars pour "homicide volontaire sur mineur de moins de quinze ans", après la découverte par son beau-père du corps congelé d'un nouveau-né de sexe féminin dans un congélateur de la ferme familiale près de Guingamp.
     
    Selon l'enquête, cet enfant était né viable en juin ou juillet 2007. L'autopsie a révélé des traces de strangulation et des fractures du crâne. Le mari, qui avait indiqué ne pas avoir décelé la grossesse, avait été mis hors de cause et laissé en liberté. Selon Ouest-France, le couple serait depuis en instance de divorce.
     
    Interrogée par l'AFP sur la possibilité pour une détenue de dissimuler une grossesse jusqu'à son terme, une psychiatre travaillant en milieu pénitentiaire a estimé que l'affaire intervenue à Rennes aurait pu arriver dans "n'importe quelle institution". "Le déni de grossesse est contagieux, c'est un phénomène assez mystérieux", selon ce médecin qui a requis l'anonymat.
     

    source : lci


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  • Tombes profanées: deux jeunes présentés à un juge

     

    Deux jeunes majeurs de la mouvance néonazie, dont l'un déjà condamné pour des faits similaires, seront présentés mercredi à un juge pour une probable mise en examen dans l'enquête sur la profanation en avril de 148 tombes musulmanes près d'Arras, a-t-on appris de source judiciaire. Huit autres jeunes, dont deux jeunes filles et deux mineurs, interpellés mardi avec eux dans le Pas-de-Calais, ont été libérés, a précisé à l'AFP Brigitte Lamy, procureur de la République de Béthune.
     
    Les 148 tombes musulmanes du cimetière militaire Notre-Dame-de-Lorette avaient été profanées dans la nuit du 5 au 6 avril 2008. Elles étaient recouvertes d'inscriptions injurieuses visant directement l'islam et insultant gravement la garde des Sceaux Rachida Dati. Une tête de porc avait été pendue à l'une des tombes.
     
    Agés d'une vingtaine d'années
     
    Les deux jeunes suspects, âgés d'une vingtaine d'années, pourraient être mis en examen pour violation ou profanation de sépulture en raison de l'appartenance à une race ou une religion et pour dégradation de biens appartenant à autrui en réunion. Le parquet devrait requérir leur placement en détention provisoire.
     
    L'un des deux jeunes avait déjà été condamné en mai 2007 à 2 ans de prison, dont un ferme pour la profanation en avril 2007 de 52 tombes musulmanes du même cimetière. Dans cette affaire, un autre jeune homme avait écopé de la même peine, et un mineur d'une condamnation plus légère. Les trois condamnés avaient bénéficié d'une libération anticipée.
     

    soource : lci


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