• Un voilier français attaqué par des pirates

     

    C’est la vingt-cinquième attaque de pirates au large de la Somalie depuis le début de l’année. Un voilier de 16 m, le « Carré d’As IV », a été intercepté avant-hier à 18 heures locales (15 heures à Paris) par des assaillants dans le secteur du golfe d’Aden. À son bord : deux marins professionnels français. <BTN_NOIMPR>

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    </BTN_NOIMPR>La Somalie, pays de l’Afrique de l’Est, est depuis plusieurs mois le théâtre d’assauts fréquents de pirates contre des bateaux, dans le but de les voler ou de réclamer des rançons.

    «Nous avons reçu des informations crédibles rapportant qu’un bateau français avait été intercepté dans la zone du golfe d’Aden », a déclaré Hassan Alore, ministre des Ressources naturelles du Puntland, une région semi-autonome du nord-est de la Somalie. A Paris, le Quai d’Orsay a rapidement confirmé les faits, dénonçant fermement « cet acte de piraterie » et appelant et « à la libération immédiate des personnes retenues sur ce voilier ». Le « Carré d’As IV », voilier de type Super-Maramu 2000, appartient à un couple de retraités français, Jean-Marie et Pierrette, qui se partagent entre la région parisienne et le Venezuela. Ces passionnés de navigation, habitués à écumer les mers du monde, possèdent deux bateaux et avaient décidé de se séparer du plus ancien, le « Carré d’As », qu’ils ont laissé en Australie. Le couple a confié la vente à une société de courtage, AYC International Yachtbrokers, de La Roche-sur-Yon (Vendée).

    Cette dernière a chargé deux convoyeurs de ramener le voilier d’Australie jusqu’à La Rochelle. Au moment où il a été intercepté, le navire se trouvait en convoyage vers la France. « Un skipper et un équipier français se trouvent à bord », indique Christian Picard, directeur général d’AYC et lui-même navigateur. Complètement automatisé, le « Carré d’As IV » est du reste conçu pour accueillir un équipage réduit. Les pirates ne détiendraient donc que deux otages. Selon le ministre du Puntland, le bateau se trouve dans la zone de Calula, à 200 km de Bosasso, capitale économique du Puntland, et se dirigerait vers le village côtier d’Eyl. Ce dernier, situé à 400 km au sud-est de Bosasso, est fréquemment utilisé comme repaire par les pirates pour y garder des embarcations détournées. « Ils retiennent déjà dans ce village sept autres navires saisis au large de la côte », ajoute le ministre.

    Six mois après le « Ponant »

    Cette attaque intervient quelques mois seulement après la retentissante affaire du « Ponant ». Début avril, un commando armé avait abordé ce voilier de luxe français et retenu prisonniers pendant sept jours les membres de l’équipage qui comptait 22 Français, 6 Philippins, 1 Ukrainienne et 1 Camerounais. Les brigands avaient réclamé une rançon de 2 millions de dollars. Le 11 avril, les militaires des forces spéciales françaises avaient réussi à libérer les otages sains et saufs, récupérant une partie de l’argent versé et capturant plusieurs pirates.

    Face aux actes croissants de pirateries dans la région, le Conseil de sécurité de l’ONU a pris le 2 juin la résolution 1816 qui autorise les navires de guerre à entrer dans les eaux territoriales somaliennes pour traquer les pirates. « Une bonne décision, mais sans effet pour l’instant, commente Olivier Halloui, directeur du Ponant, la situation a même empiré. La piraterie est devenue une industrie. Il y a quelques jours, les Malaisiens ont dû verser 8 millions de dollars pour libérer deux navires. » Selon ce spécialiste, les bateaux navigant dans cette région ne doivent jamais s’approcher à plus de 360 km des côtes. Mais au fil du temps, les pirates, équipés d’embarcations rapides, s’aventurent de plus en loin de leurs bases.

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    source : Le Parisien


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  • Enfant trouvé seul : la "mère" a-t-elle menti ?

     

    Rebondissement dans l'enquête sur l'enfant de deux ans et demi découvert le 5 août sur une esplanade de la cité de Fonscolombes, dans le IIIe arrondissement de Marseille : la femme qui disait être sa mère ne l'est pas. En tous cas pas biologiquement. Elle a été mise en examen mercredi pour simulation d'enfant, des expertises ADN ayant révélé qu'elle n'était pas sa mère biologique, selon une source judiciaire. La "mère" se défend en évoquant une adoption qui aurait été validée par un magistrat algérien. Elle déclare aussi avoir eu peur qu'on lui enlève le garçonnet qu'elle dit avoir pris en charge peu après sa naissance en 2006.

    Placée en garde à vue une première fois à son retour d'Algérie le 20 août pour être aussitôt entendue sur l'affaire, la mère supposée du petit Mohamed, âgée de 34 ans, de nationalité algérienne et résidente régulière en France, l'a été de nouveau à l'issue des expertises ADN. Au terme de cette garde à vue, elle a été présentée mercredi à un juge d'instruction qui l'a mise en examen également pour aide au séjour irrégulier et faux en écriture publique. Elle a été remise en liberté et placée sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter le territoire national.

    La nounou toujours recherchée

    Elle était rentrée d'Algérie, pour "expliquer aux policiers qu'elle était partie le 9 juillet dernier en Algérie au chevet de sa mère malade, mais qu'elle n'avait pu prendre son petit dernier, né en Algérie, pour une question de passeport", avait relayé le procureur de Marseille. Elle avait raconté avoir confié son "fils" à une personne de confiance, une amie longue de 5 ans, et avoir été prévenue de la situation de son fils, seulement 13 jours après sa découverte, par une amie "qui aurait vu la photo de Mohamed dans le journal". Fatma est mère de cinq enfants mineurs de trois pères différents. Elle était jusqu'à présent inconnue des services de police.

    Les enquêteurs étaient partis sur la piste d'une femme sans papiers qui n'aurait pas osé se rendre à la police quand elle avait perdu le petit garçon. La "mère" n'avait donné que le prénom de cette femme. Le chef d'aide au séjour irrégulier concerne principalement cette nounou, toujours recherchée par la police qui espère en savoir plus avec elle. Et l'identité de l'enfant reste inconnue...

    source : lci


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  • Etats-Unis : il tue six personnes dont un shérif

     

    Un homme apparemment atteint d'une «maladie mentale» a tué six personnes dont un shérif adjoint et en a blessé deux autres avant d'être arrêté à l'issue d'une course-poursuite avec la police dans l'Etat de Washington, a indiqué le journal Seattle Times.

    L'homme a été arrêté après s'être rendu aux autorités de Mont Vernon, dans cet Etat du nord-ouest des Etats-Unis, a précisé ce journal régional sur son site internet mercredi, en citant le policier Keith Leary. <BTN_NOIMPR>

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    Le suspect y est décrit comme «quelqu'un avec une maladie mentale».

    Il a tiré sur ses victimes dans plusieurs endroits, à partir de 2 heures locales. L'adjoint au shérif du comté de Skagit a été l'un des premiers à être abattu, près de la ville d'Alger, où il avait été appelé pour intervenir. Une autre victime a été tuée à Alger et deux ouvriers de la construction dans les environs. Un autre corps a été retrouvé à quelques maisons de là, selon M. Leary.

    Un motocycliste a été tué sur une route nationale par le suspect qui fuyait alors vers le sud. Il a été pris en chasse par la police qui l'a rattrapé et la placé en garde à vue, deux heures et demi après le début de son équipée meurtrière.

    Ses motivations ne sont pas éclaircies: «cela va prendre du temps de savoir ce qui s'est passé», a indiqué le policier Leary.

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    Leparisien.fr avec AFP


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  • Codétenu de Fourniret visé

    La justice s'intéresse à un SMS qu'aurait envoyé Estelle Mouzin, une fillette de 9 ans, disparue le 9 janvier 2003

    BRUXELLES Voilà une bien étrange affaire... Comme nous vous le révélions en exclusivité sur notre site Internet hier matin, la police judiciaire fédérale a mené en matinée une série de perquisitions à la prison d'Ittre dans le cadre d'une instruction sensible. L'enquête concerne en effet Estelle Mouzin, une fillette de 9 ans, disparue en France le 9 janvier 2003.

    Les policiers fédéraux se sont intéressés plus particulièrement à la cellule de Dominique F., un codétenu de Michel Fourniret... justement suspecté dans la disparition de la jeune fille !

    Dominique F., bien connu de la justice pour braquages entre autre, avait été arrêté suite à une longue cavale en 2003. Il fut le codétenu de Fourniret à la prison de Dinant à cette période.

    La justice s'intéresse à ce détenu depuis qu'un étrange SMS est arrivé à la rédaction de RTL. L'auteur du message disait s'appeler Estelle Mouzin ! En quelques mots, elle criait au secours pour elle mais aussi pour trois autres jeunes qui ont disparu (dont Fourniret est également le suspect principal). Elle demandait d'avertir son papa et la police française.

    Voici le texte précis : "Nous sommes à quatre. Aidez-nous, on veut nous tuer. Appelez mon papa. Contacter la police", indiquait le message qui mentionnait une adresse en Seine et Marne, le département où avait justement disparu la fillette.

    Les enquêteurs se sont intéressés de plus près au message. Ils ont découvert qu'il avait été envoyé depuis la Belgique. Ils ont également découvert que Dominique F. avait eu des contacts avec ce numéro de GSM.

    Le but des perquisitions menées hier matin à la prison est donc simple : tenter de comprendre pourquoi ce message a été envoyé cinq ans après la disparition de la petite française disparue alors qu'elle rentrait chez elle après une journée d'école.

    Deux autres perquisitions ont été menées aux domiciles de deux autres suspects, un homme et une femme, dont le rôle ne nous a pas été précisé.


    source : dhnet


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  • Un convoyeur de fond gravement blessé à Noisy-le-Grand

    L'agression s'est produite en début d'après-midi dans la gare du Mont-d'Est (RER A). Un convoyeur de fond de 23 ans a été gravement blessé, lundi à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis, agressé par trois hommes. L'information, révélée par Le Parisien, a été confirmée mardi de sources policières.
     
    Frappé d'"un seul coup" à la tête avec une batte de base-ball, le convoyeur a été transporté dans un état grave à l'hôpital de Montfermeil. Ses jours ne sont pas en danger. Son collègue, du même âge, qui portait une mallette contenant 70.000 euros, a été frappé aux jambes. La mallette était sécurisée pour que son contenu soit endommagé en cas d'ouverture par des malfaiteurs, selon une source policière.

    Les trois agresseurs ont agi "masqués" et "par derrière". Ils se sont enfuis vers la cité des Fédérés, selon le journal. La police judiciaire de Seine-Saint-Denis est chargée de l'enquête

     

    source : lci


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