•                                                    Un «futur prêtre» arrêté avec 6,5 kg de cocaïne

    Il voulait porter la soutane mais il a été arrêté en possession de 6,5 kg cocaïne. C'est l'histoire de ce Mexicain de 33 ans, affirmant vouloir devenir prêtre. Arrivé de Mexico City via Paris, le «futur» prêtre a été surpris par la police des frontières à l'aéroport de Rome-Fiumicino, a indiqué mercredi l'agence d'informations aéroportuaires Telenews.

     

    Il transportait un grand sac de voyage contenant 25 disques, rangés dans des pochettes en carton où était dissimulée la drogue emballée sous vide.

    La police italienne a également arrêté un Espagnol qui voulait effectuer un voyage en train à travers l'Europe et dont le matelas pneumatique, qui devait lui permettre de passer des nuits confortables, contenait 5 kg de cocaïne, selon la même source. L'agence d'informations aéroportuaires n'a pas précisé la date exacte de ces arrestations.

    Au total, la drogue saisie aurait rapporté, une fois coupée et revendue au détail, environ 10 millions d'euros, selon Telenews.

     

    source: le parisen


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  • Les trafiquants avaient acheminé 3,2 tonnes de cocaïne

     

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    Un vieux cargo panaméen transportant 3,2 tonnes de cocaïne produite en Colombie et arraisonné aux larges des côtes guinéennes, des trafiquants grecs, des marins sierra-léonais et l'intervention de la marine de guerre française... Voilà, en résumé, le cadre d'un vaste réseau de trafiquants de cocaïne démantelé par les policiers de l'office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS). <btn_noimpr> </btn_noimpr>

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[// <![CDATA[ sas_pageid='2358/16838'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_faitsdivers sas_formatid=1278; // Format : rectangle 2 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); // ]]></script> <script src="http://www.smartadserver.com/call/pubj/2358/16838/1278/S/3123943039/?"></script>
    </btn_p> Le 2 juin, Georgios G., un ressortissant grec présenté comme l'un des principaux commanditaires de ce trafic a été interpellé dans un bar à Dakar (Sénégal) par les policiers de la sûreté urbaine. L'homme a été trouvé porteur d'un laisser-passer délivré par l'ex-président de la République de Guinée-Conakry...
    «Il a été placé en détention en attendant son extradition vers la France, indique une source proche de l'affaire. Deux autres de ses compatriotes avaient été interpellés en mars et en avril au Mali et en Guinée-Conakry. Un de ces deux suspects a déjà été ramené en France avant d'être mis en examen par un juge d'instruction de la juridiction interrégionale spécialisée de Rennes (Ille-et-Vilaine). La drogue saisie devait alimenter le marché européen. La valeur de la marchandise saisie a été estimée à près de 96 millions d'euros.»
    Tout commence, le 7 février 2008 lorsque le bâtiment de projection et de commandement de la marine française, «Le Tonnerre» intercepte un cargo battant pavillon panaméen, «Le Junior» à 300 kilomètres des côtes de la Guinée-Conakry. Les membres de l'équipage du bateau suspecté de transporter une grosse quantité de drogue tentent de se débarrasser de leur précieuse marchandise avant l'arrivée des commandos-marines. En vain. Les militaires saisissent finalement 3,144 tonnes de cocaïne avant d'escorter les trafiquants et leur drogue jusqu'au port de Brest (Finistère). Les investigations des policiers français permettent de mettre au jour un important trafic dirigé par plusieurs ressortissants grecs installés en Afrique de l'Ouest. Parmi eux figure André T., gérant d'une société d'import-export. Soupçonné d'être le financier de cette importation massive de cocaïne colombienne, il est interpellé, le 26 mars dernier à Bamako (Mali), en possession d'un faux passeport de Guinée-Bissau. Deux semaines plus tard, c'est au tour de Loannis Z. d'être arrêté à Conakry (Guinée-Conakry). «Ces trois hommes sont les principaux instigateurs de ce trafic, confie un enquêteur. Depuis plusieurs années, certains pays d'Afrique de l'Ouest servent de base de livraison pour les trafiquants occidentaux de cocaïne. La drogue, acheminée par bateau depuis le continent sud-américain, est ensuite transportée par voie terrestre vers l'Europe. L'ancien régime au pouvoir en Guinée-Conakry s'est notamment montré très complaisant avec les narcotrafiquants.»

    *L'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants

     

    source : le parisien
     


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  • 108 kilos de cannabis découverts dans un mobil-home

     

    Revenant d'un voyage au Marco, les 2 hommes avaient caché la drogue dans 12 batteries qui servaient à fournir du courant aux appareils électriques du mobil-home


    BRUXELLES La Police judiciaire fédérale de Bruxelles a découvert le 1er septembre dernier 108 kilos de cannabis dans un mobil-home, a-t-on appris vendredi au parquet de Bruxelles. La drogue était cachée à l'intérieur de 12 batteries. Quatre personnes ont été interpellées et placées sous mandat d'arrêt.

    Dans le cadre d'une enquête en cours, les membres de la Police judiciaire fédérale ont intercepté le 1er septembre une camionnette Fiat Ducato au boulevard Emile Bockstael à Laeken. Ce véhicule avait été aménagé en mobil-home. Quatre personnes, dont 2 enfants, étaient à bord du véhicule.

    Ces personnes revenaient d'un voyage au Maroc. Il est apparu des premières auditions que ce voyage avait été organisé dans le cadre d'un trafic de stupéfiants.

    Après un contrôle approfondi du véhicule, les enquêteurs de la Police judiciaire fédérale de Bruxelles ont découvert 108 kilos de cannabis dissimulés dans des batteries. Celles-ci servaient à fournir du courant aux appareils électriques du mobil-home. Le chauffeur et un passager ont été placés par un juge d'instruction sous mandat d'arrêt.

    L'enquête a permis de révéler que le transport de la drogue avait été effectué à la demande de tiers. Le 2 septembre, deux autres suspects ont été interpellés et placés sous mandat d'arrêt.

    source : dh


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  • La "mule" transportait 1 kilo de coke

     

    La cocaïne était dispatchée dans 96 ovules. Au total, un kilo de drogue. Un Nigérian de 19 ans, qui transportait cette marchandise dans le ventre a été condamné à 15 mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Chambéry.
     
    Ernest Okeke, qui était jugé mercredi en comparution immédiate, avait été interpellé samedi par les agents des douanes au péage autoroutier de La Motte-Servolex (Savoie) dans un car assurant la liaison entre Lyon et Turin, précise le Dauphiné libéré.
     
    Une radiographie a révélé qu'il transportait exactement 1,042 kg, a précisé son avocate, Me Angélique Kiehn. Ernst Okeke, contre qui le parquet avait requis 24 mois ferme, a également été condamné à 400.000 euros d'amende douanière.
     
    "Plus tu avaleras d'ovules, plus tu gagneras d'argent"
     
    Ce Nigérian, qui bénéficiait du statut de réfugié politique en Italie depuis le mois de juillet, avait été recruté à Padoue, en Italie, par un gros trafiquant de stupéfiants, qui lui promettait "entre 1500 et 2000 euros" pour un "service" dont la teneur exacte n'avait alors pas été précisée.
     
    Le jeune homme a expliqué avoir accepté ce travail pour payer l'hospitalisation au Nigeria de sa mère souffrant d'hypertension. Envoyé à Amsterdam, le Nigérian a raconté qu'il avait été "séquestré pendant trois jours dans un appartement" où des personnes lui ont apporté "un saut rempli d'ovules" de cocaïne en lui faisant la promesse suivante: "plus tu avaleras d'ovules, plus tu gagneras d'argent", selon Me Kiehn.
     
    Il s'est ensuite rendu à Valence puis à Lyon, d'où il devait rejoindre l'Italie avant d'être interpellé. Me Kiehn s'est déclarée "très déçue" par la décision du tribunal. "Il faut qu'on arrête de juger les 'mules' comme si c'était eux les trafiquants de drogue, alors qu'en réalité ce ne sont que des proies", a-t-elle expliqué à la Cour. "Les 'mules' ne transportent pas de la drogue pour leur plaisir mais au risque de leur vie. 2.000 euros c'était une somme incommensurable pour mon client qui aurait pu entretenir sa famille pendant plusieurs années, les trafiquants le savent", a-t-elle souligné.
     

    source : lci


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  • La police saisit 20 kg d'héroïne à Metz




    Si les douanes sont habituées à faire de telles prises, pour les services de la Sécurité publique, c'est plutôt inhabituel. Après un long travail de surveillance, qui les a condui de Metz jusqu'en Hollande, les policiers de la sécurité départementale de la Moselle et du groupe d'intervention régionale de la Lorraine ont procédé cette semaine à la saisie de 20 kg d'héroïne à Metz. Le début de l'affaire remonte à la fin juin."Nous avons été avisés qu'un individu, déjà connu par nos services pour trafic de drogue et sorti depuis peu de prison, avait repris son activité délictuelle pour semble-t-il s'acquitter d'une dette", explique-on à l'état-major de la Direction départementale de la Sécurité publique (DDSP).
     
    La mise en place d'une surveillance rapprochée permet d'établir rapidement que l'individu entretient des contacts fréquents avec le gérant d'une entreprise locale d'enseignes publicitaires et un de ses employés. "Le 8 septembre, nous avons eu la certitude que notre suspect principal allait partir s'approvisionner en Hollande, poursuit la DDSP. Vingt fonctionnaires ont été mobilisés jour et nuit entre la frontière luxembourgeoise et Metz".

    Jusqu'au  9 septembre, jour de l'interpellation du suspect. "Il a été arrêté alors qu'il sortait un sac bleu de son coffre de voiture pour le transférer dans le coffre d'une autre voiture, un break, conduit par le gérant de l'entreprise". A l'intérieur du sac, les policiers découvrent 40 pains de 500 gr d'héroïne, soit 20 kg. Dans la foulée, ils perquisitionnent l'entreprise où ils découvrent également 8 pains de 50 gr de résine de cannabis et 70 grammes d'héroïne cachés dans un faux-plafond. Les trois individus, le suspect principal, le gérant et son employé, tous de nationalité ou d'origine turque, devaient être présentés cet après-midi, à l'issue de leur garde à vue, à un juge d'instruction du palais de justice de Metz en vue de leur mise en examen.


    source : lci


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  • La maison d'une dame de 86 ans envahie de cannabis

     

    Sachant l'octogénaire à l'hôpital, le trafiquant en a profité pour faire pousser sa drogue partout

    BRUXELLES Quelque 1.544 plants de cannabis presque à maturité... Dit comme ça, c'est une notion un peu abstraite. Mais si on calcule la valeur de revente de cette drogue, ça fait directement plus d'effet : 130.622,40 euros. Et ça, ce n'est qu'une récolte.

    Sachant que ces plants pouvaient en produire quatre sur l'année, on imagine assez facilement le pactole ramassé par les trafiquants !

    Ces milliers de plants ont été découverts par la police de la zone Nord dans une maison située place Emile Bockstael, 22, à Laeken. La maison appartient à une dame de 86 ans hospitalisée depuis deux ans. L'octogénaire n'a évidemment rien à voir dans ce trafic de drogue.

    Par contre, C., un homme âgé de 58 ans, qui gère ses biens, est, lui, directement impliqué. "C'est lui qui a sous-loué la maison à un Marocain", explique la police. Et c'est ce dernier qui a eu l'idée de faire pousser des plants de cannabis partout dans la maison.

    "Les pièces avaient été spécialement aménagées pour l'occasion. Une autre chambre avait été transformée en chambre noire. C'est là que la croissance des boutures était accentuée."

    Dès les plants à maturité retirés, ils étaient remplacés par d'autres et ainsi de suite.

    Le trafiquant a été interpellé... tout comme son fils. "Une perquisition a été faite à son domicile de Dilbeek", explique la police. "À notre arrivée sur place, il était en nage... Il venait en réalité d'enlever quelque 90 plants de cannabis qu'il faisait pousser dans son grenier."

    Les trois suspects ont été mis à la disposition du parquet et placés sous mandat d'arrêt. Quant à la propriétaire des lieux, elle n'a évidemment pas été inquiétée.


    source ; dhnet


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  • Trafic de drogue entre Liège et la France


    Quatre suspects ont été placés sous mandat d'arrêt.


    LIEGE Une enquête menée par les services anti-drogue des polices belge et française a conduit au démantèlement d'un important trafic entre la région liégeoise et le sud de la France. Trois personnes ont été appréhendées lundi et un quatrième individu mercredi.

    Il y a quelques semaines, un habitant de la région liégeoise avait été interpellé à Nice (sud-est de la France) alors qu'il venait livrer deux kilos de marijuana. La drogue a été saisie par les policiers français qui ont averti leurs homologues liégeois. L'enquête entamée à Liège a débouché sur l'arrestation des quatre individus.

    En début de semaine, des perquisitions ont eu lieu dans un entrepôt à Bressoux ainsi qu'aux domiciles des quatre suspects. Au cours de ces perquisitions, la police a saisi 2,9 kilos de marijuana qui étaient destinés à la France. La drogue, achetée aux Pays-Bas, transitait par Bressoux.

    Les quatre personnes, qui ont reconnu leur leur participation à ce trafic, ont été placées sous mandat d'arrêt et écrouées à la prison de Lantin.

    source : La Dernière Heure



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  • Des plantations de cannabis découvertes à Forest


    500 plants de cannabis et "un labo" saisis chez un particulier bruxellois


    BRUXELLES La police judiciaire fédérale de Bruxelles a découvert le 8 mai des plantations de cannabis dans une habitation située à Forest, a communiqué mercredi la police fédérale.

    Environ 500 plants de cannabis ont été saisis par la police. Ils étaient répartis dans trois chambres ainsi que dans le hall d'entrée de l'habitation.

    La police a trouvé également sur place du matériel servant à la culture de cannabis (matériel électrique, transformateurs, appareils de ventilation) ainsi que quinze sacs de terreau et des restes de cannabis.

    Deux suspects ont été interpellés par la police et mis à la disposition du parquet de Bruxelles. Ils ont été relaxés après audition. L'enquête se poursuit, a indiqué la police fédérale.

    source : DH

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  • Une personne qui transportait un sac contenant un kilo de cocaïne a été interpellée mercredi soir dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Les policiers ont retrouvé un autre kilo lors d'une perquisition à son domicile.

    Une personne qui transportait un sac contenant un kilo de cocaïne a été interpellée mercredi soir dans le XVIIIe arrondissement de Paris, les policiers retrouvant un autre kilo lors d'une perquisition à son domicile, a-t-on appris vendredi de source policière.

    Agissant sur un renseignement, les policiers de la 2e division de police judiciaire (2e DPJ) ont repéré mercredi soir deux individus en pourparlers, dont l'un entrait dans un immeuble et en ressortait avec un sac, selon la même source. Les policiers interpellaient le porteur du sac alors que son complice présumé avait le temps de prendre la fuite.

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    Le sac contenait un kg de cocaïne et les policiers découvraient la même quantité de drogue à son domicile du XVIIIe arrondissement.

    L'homme, âgé de 60 ans, devait être déféré vendredi soir au parquet de Paris. Selon une source proche de l'enquête, la valeur marchande de la drogue saisie se situe entre 25.000 et 35.000 euros le kg.

    source : le parisien


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  • Filière démantelée à Charleroi : 12 arrestations et cinq kg de stups saisis


    CHARLEROI Il aura suffi d'un seul numéro de GSM à la police fédérale de Charleroi pour démanteler entièrement un vaste trafic de stupéfiants. En février dernier, les enquêteurs obtenaient le numéro de téléphone d'un homme apparemment chargé de placer en rue des dealers en séjour illégal. Petit à petit, grâce aux écoutes et aux techniques particulières d'observation, les limiers carolos ont pu remonter la filière pour arriver aux gros poissons, à savoir trois frères hollandais.

    Comme le confirment les écoutes, ces big boss de la drogue négociaient par kilo avec leurs trois grossistes basés à Charleroi qui, de leur côté, marchandaient avec des sous-dealers en centaines de grammes. En fin de chaîne, les dealers de rue obtenaient des pacsons.

    Bref, les caïds hollandais se croyaient bien à l'abri tout en haut de leur stupéfiante pyramide, réalisant deux ou trois fois par semaine un transfert de plusieurs kilos de drogue vers Charleroi.

    Et pourtant, ce mardi, la PJF de Charleroi a déployé 53 inspecteurs et trois chiens drogue pour passer à l'action. Les pandores ont tout d'abord intercepté un coursier non loin de la gare de Charleroi-Sud. Dans son bloc-moteur était dissimulé 1,5 kg de shit, et 2,5 kg de cocaïne et d'héroïne ont été retrouvés.

    Forts de cette découverte, les policiers ont mené une série de perquisitions, essentiellement à Marchienne-au-Pont. Un kilo supplémentaire de stupéfiants a encore été saisi, de même que 80.000 € déjà conditionnés en liasses de billets pour être évacués, sans doute vers les Pays-Bas.

    Au total, les forces de l'ordre ont interpellé 19 personnes. Douze d'entre elles ont été placées sous mandat d'arrêt pour trafic de drogue avec la circonstance aggravante de participation à une association de malfaiteurs. Parmi ces hommes, figurent deux des trois frères hollandais

     

    source / DH


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  • Trafic de drogue en ile de France

    Deux hommes âgés de 23 et 24 ans, soupçonnés d'être «des maillons importants» du trafic de drogue en région parisienne ont été mis en examen et écroués samedi à Fleury-Mérogis (Essonne).

    Les deux personnes faisaient l'objet d'une information judiciaire après avoir «été pris en flagrant délit» mercredi par les enquêteurs de la police judiciaire, alors qu'ils effectuaient une transaction portant sur «9 kilos de résine de canabis», a indiqué le parquet de Melun.

    Ils sont soupçonnés d'être «des maillons importants dans la revente et l'acheminement de résine de canabis en région parisienne», a-t-on expliqué de même source.

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    Ils auraient également écoulé de la cocaïne et de l'ecstasy


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  • Quatorze tonnes de haschisch ont été saisies et 33 personnes interpellées lors d'opérations de police menées en avril dans la baie de Cadix (sud), face aux côtes du Maroc, a annoncé samedi le ministère espagnol de l'Intérieur.

    Huit embarcations et un camion ont été saisis lors de ces opérations des Groupes de réponse spéciale au crime organisé (Greco), selon un communiqué de ce ministère, qui fait état d'un «déplacement» des opérations des trafiquants de résine de cannabis vers Cadix, Huelva (sud) et le Portugal.

    «On constate aussi une légère augmentation de l'utilisation de petits avions, un moyen plus sûr et plus rapide pour les trafiquants, bien qu'il implique de réduire la quantité de drogue transportée à chaque voyage, à environ 500 kg», souligne la police espagnole.

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    L'Espagne est la principale porte d'entrée en Europe du haschisch produit dans les montagnes marocaines du Rif (nord), ainsi que de la cocaïne d'Amérique latine.

    Depuis le début de l'année, les autorités espagnoles ont saisi plus de 90 tonnes de haschisch, soit trois fois la quantité saisie l'an dernier pendant la même période, selon un récent communiqué des services douaniers

     

    source : le parisien


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  • Les polices française et espagnole ont démantelé cette semaine un réseau de trafiquants de drogue qui distribuaient du haschisch en France après une escale en Espagne.

    «Des agents de la police nationale (espagnole), en collaboration avec la police judiciaire de Marseille et de Pais, ont mené cette semaine l'opération +Mar Sur+ au cours de laquelle, pour l'instant, 9 personnes ont été arrêtées et 3,5 tonnes de haschisch saisies», selon un communiqué.

    Les trafiquants, français et espagnols, importaient la drogue d'Afrique du nord, la stockaient à Palma de Majorque, dans l'archipel espagnol des Baléares, en mer Méditerranée, avant de la faire repartir vers Marseille et Paris.

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    L'opération n'est pas terminée et des «arrestations en France» sont encore possibles, a précisé la police.

    Trois personnes ont été arrêtées en Espagne (2 à Barcelone, dans le nord-est, et une à Majorque), et six en France.

    Lors d'une visite à Madrid le 24 avril, la ministre française de la Justice Rachida Dati a annoncé que les deux pays allaient créer des groupes de liaison communs dédiés à la lutte contre le trafic de drogue et le blanchiment d'argent.

    L'Espagne est une des portes d'entrée européenne de la drogue en Europe, qu'il s'agisse de haschisch d'Afrique du nord, ou de cocaïne d'Amérique latine.

    source : le parisien


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  • Sur les "277 tonnes de cannabis consommées (en métropole), la production domestique est estimée à 32 tonnes", représentant "entre 950.000 et 1,3 million de plants de cannabis récoltés", estime une étude publiée par la MILDT.

    (Sipa)

    Plus de 11% de la consommation française de cannabis est produite dans l'Hexagone, où environ un million de plants sont récoltés. C'est ce que révèle une étude de l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), rendue publique mercredi 23 avril.
    Avec "1,2 million de consommateurs réguliers", le cannabis est "le produit illicite le plus consommé par la population française, en particulier chez les jeunes", note l'étude publiée par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT).
    Sur les "277 tonnes de cannabis consommées (en métropole), la production domestique est estimée à 32 tonnes", représentant "entre 950.000 et 1,3 million de plants de cannabis récoltés".
    La production nationale avoisine ainsi "11,55% de la consommation totale de cannabis, soit un joint sur neuf fumés".

    200.000 consommateurs producteurs


    Sur les "550.000 consommateurs quotidiens âgés de 12 à 75 ans" qu'avait recensé pour 2005 (dernières données connues) l'OFDT, l'étude estime à 200.000 le nombre de consommateurs ayant recours à la culture individuelle, "dont 140.000 cannabiculteurs ayant exclusivement recours à cet approvisionnement cultivent chacun entre 6,8 et 9,3 plants".
    Cela représente "une production comprise entre 28 et 36 tonnes d'herbe" en tenant compte d'un rendement compris entre 25,1 et 33,7 grammes par plant", énonce l'étude de l'Observatoire qui a retenu la moyenne de 32 tonnes.

    Faible teneur en THC

    Quant à la valeur marchande de chaque production individuelle, elle est "estimée à 1.143 euros (ce qui se rapproche de la dépense annuelle estimée pour un consommateur quotidien), soit une valeur marchande totale de 160 millions d'euros pour un prix au gramme d'herbe de cannabis de 5 euros".
    Sur un plan "qualitatif", l'herbe de cannabis cultivé en Métropole est de faible teneur en THC (tétra hydro cannabinol, le principe actif de cannabis), avec un taux de "7,9%"
    Si environ 20% des "cannabiculteurs" de métropole ignore l'origine des graines qu'ils utilisent, les autres déclarent qu'outre d'Afghanistan, de Colombie ou d'Inde pour une faible part, elles proviennent "principalement de Hollande et de France.
    Les premières produisent de l'herbe à 8,5% de THC co
     
    source : nouvel obs

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  • Quelque 350 policiers ont été déployés dans le quartier des Beaudottes à Sevran (Seine-Saint-Denis) ce mercredi soir.

    Quelque 350 policiers intervenaient mercredi soir dans le quartier des Beaudottes à Sevran (Seine-Saint-Denis), récemment décrit dans une note des Renseignements généraux (RG) comme étant «sous la coupe réglée» de trafiquants de drogue.

    L'opération menée par des policiers de la sécurité publique, de la police judiciaire du 93 et de Paris, et le Groupe d'intervention régional (GIR), a donné lieu à «plusieurs interpellations».

    Le quartier a été entièrement bouclé, ses accès filtrés pendant que des policiers pénètrent dans «une vingtaine de cages d'escaliers» de cette cité connue depuis des années pour être une plaque tournante du trafic de drogue de l'Est-parisien, et qui était en 2008 dans une «situation explosive», selon les RG.

    L'objectif des policiers est notamment de prendre le contrôle des appartements utilisés comme cache ou laboratoire de drogue.


    L'opération, qui se déroule en présence du préfet et du procureur de la République de Bobigny, «est le résultat des enquêtes menées depuis des mois» dans le cadre du Groupe local de traitement de la délinquance (GLTD) antidrogue, opérationnel depuis septembre 2007 à Sevran, a expliqué la source.

    Une note des Renseignements généraux (RG) datée du 1er avril avait décrit ce quartier HLM rénové de 10.000 habitants, classé en zone urbaine sensible, «sous la coupe réglée» d'une «minorité de délinquants». Elle avait été rédigée après le départ fin mars des onze gardiens et trois employés de l'unique bailleur des Beaudottes, Immobilière 3F (1.200 logements aux Beaudottes), trop exposés. Le bailleur avait recensé 18 agressions physiques sur ses personnels depuis août 2006.

    La préfecture avait convoqué le 9 avril une réunion d'urgence sur le quartier, au cours de laquelle le principe d'un système de vidéosurveillance avait été arrêté et une série de moyens renforcés. Le bailleur estime à «au moins 4» les appartements squattés par des dealers, qui se conduisent en maîtres dans certaines parties communes et «pourrissent la vie de toute la cité».

    source : le parisien


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  • Quatre Français soupçonnés de trafic de drogue entre l'Espagne et la France ont été arrêtés à Estepona en Andalousie (sud), a annoncé lundi la police espagnole.

    Ces quatre hommes étaient déjà visés par une enquête de la gendarmerie de Lyon (est de la France) concernant un chargement de 825 kg de haschisch provenant d'Espagne, a indiqué la police espagnole dans un communiqué.

    Ces quatre Français d'origine algérienne ont été arrêtés le 16 avril dans le port d'Estepona, près de Marbella (Costa del Sol), dans le cadre d'une opération conjointe entre les police espagnole et française.

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    Au moment de leur arrestation, les enquêteurs ont saisi deux voitures de luxe, 820.400 euros en liquide ainsi que de faux papiers d'identité. Ils ont été placés à la disposition de l'Audience nationale, la plus haute instance pénale espagnole.

    source : le parisien

    photo : E.T


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  • Une opération policière menée à Péruwelz a débouché sur le démantèlement d'un gang de dealers

    TOURNAI Chaque week-end, d'importantes quantités d'XTC, d'amphétamines et de GHB étaient revendues dans plusieurs dancings du Tournaisis et en France. Quatre mandats d'arrêt ont été délivrés. D'autres interpellations vont suivre.

    Patrick Darras, un habitant de Hall âgé de 43 ans; Michèle Beuserie, une Tournaisienne âgée de 31 ans; Benjamin Roland, un habitant de Mons âgé de 28 ans, et Carine Mahieu, une Française âgée de 27 ans, ont été placés ce week-end sous mandat d'arrêt à Tournai par la juge d'instruction Mme Bastin, a-t-on appris lundi auprès du 1er substitut du procureur du roi de Tournai Jean-Bernard Cambier.

    Sous l'inculpation de vente de produits stupéfiants, avec la circonstance aggravante qu'il y a association de malfaiteurs, ces quatre dealers ont été écroués dans les prisons de Tournai et de Mons.
    Dans le cadre du plan d'action intégré, une enquête lancée fin de l'année 2007 a débouché vendredi soir sur l'organisation d'une opération policière sur un parking de la région de Péruwelz. Epaulés par une section judiciaire de la police de la route, quelque 25 policiers fédéraux et de la zone de police du Tournaisis ont participé à ce contrôle.

    "Nous étions sur les traces de 'Clubbers' opérant dans la région de Tournai. Plusieurs personnes ont été interpellées et quatre mandats ont été délivrés. La bande interceptée avait deux activités principales: fournir de la drogue à une filière française et fournir au détail de la drogue dans des discothèques de la région, notamment au Cube à Blaton, au H20 à Pecq et à la Bush à Esquelmes. Chaque week-end, cette bande vendait un millier de pilules d'XTC, entre 250 et 500 amphétamines et de un à trois litres de GHB. Le GHB était conditionné dans des fioles de 5ml. Le speed et la cocaïne étaient destinés à la France tandis que l'XTC et le GHB à la région tournaisienne", a précisé le 1er substitut Cambier.

    La drogue était conditionnée dans un appartement à Tournai, loué par une des personnes inculpées, Michèle Beuserie. La bande avait visiblement un train de vie assez élevé. Un des inculpés a reconnu qu'il dépensait en boîte chaque w-e quelque 800 euros. Outre les quatre personnes placées sous mandat d'arrêt, d'autres individus ont été interpellés, entendus et laissés en liberté avec ou sans conditions. Selon le parquet de Tournai, d'autres interpellations devraient avoir lieu dans les jours qui suivent.

    source : dhnet.be


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  • Plus de 750 kilos de cannabis ( environ 2 000 000 d'euros ) ont été saisis dans la Loire où 72 personnes ont été placées en garde-à-vue dans le cadre du démantèlement d'un réseau de trafiquants.
    Environ 400 policiers et gendarmes ont été mobilisés ce matin pour réaliser cette opération menée avec le groupe d'intervention régional (GIR) de Lyon, sur commission rogatoire de deux juges d'instruction de Saint-Etienne et de Montbrison.
    Lors des interpellations dans la région stéphanoise et dans la Plaine du Forez, de nombreuses armes ont été saisies (kalachnikov, fusils à pompe, pistolets et revolvers, grenades), ainsi que quelque 70.000 euros en liquide.
    Une conférence de presse sera organisée à 17 h 00 au commissariat central de Saint-Etienne concernant cette vaste opération déclenchée après six mois d'enquête.

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  • Dix-sept trafiquants présumés, résidant pour la plupart en Ile-de-France, sont en garde à vue.

    Quarante-neuf kilos de cocaïne ont été saisis mardi par la gendarmerie à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle et 17 personnes placées depuis en garde à vue.

    Les gendarmes de la section de recherches (SR) de Versailles ont interpellé mardi un présumé couple de passeurs transportant dans ses valises 49 kilos de cocaïne. Ces suspects, qualifiés de «mules» par la source, étaient en provenance des Antilles.

    Deux personnes venues prendre livraison de cette drogue ont ensuite été interpellées dans le hall d'accueil des voyageurs de l'aéroport.

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    Ces interpellations ont alors été le «point de départ d'une vaste opération de police judiciaire menée en région parisienne et en Savoie», a ajouté la DGGN, qui a mobilisé 200 gendarmes.

    Ces «investigations ont permis l'interpellation de treize autres membres importants du réseau», a-t-elle ajouté. L'opération a été menée sur commission rogatoire d'un juge d'instruction du tribunal de grande instance de Créteil (Val-de-Marne), et l'enquête a permis «de mettre au jour un trafic international de stupéfiants en provenance d'Amérique du sud».

    Les principaux membres du réseau résidaient en région parisienne. Au total, selon la DGGN, 17 personnes ont été placées en garde à vue dans les locaux de la SR de Versailles et l'étaient encore vendredi. La garde à vue, en matière de stupéfiants, peut durer jusqu'à quatre jours. La drogue saisie, conditionnée en vingt-deux ballots, représente une valeur marchande de 3 millions d'euros «à la vente au détail», a précisé la DGGN.


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  • 15.000 cachets d'ecstasy ont été saisis dans la région lyonnaise et montpelliéraine lors du démantèlement d'un réseau de stupéfiants et huit personnes ont été interpellées, a-t-on appris lundi auprès des gendarmes de Lyon.

    Originaires de la banlieue lyonnaise, ces huit personnes, âgées de 20 à 30 ans, devaient être présentées dans la soirée au parquet de Lyon. La saisie des cachets, d'origine étrangère et d'une valeur marchande estimée à 150.000 euros, a été effectuée la semaine dernière dans la banlieue lyonaise et à Montpellier, lors de perquisitions chez une trentaine de suspects par les hommes du groupement de gendarmerie du Rhône et du groupe d'intervention régional (GIR) de Lyon, selon la même source.

    Les militaires, opérant sur commission rogatoire d'un juge d'instruction lyonnais pour «trafic de stupéfiants», ont également trouvé en moindre quantité, de la cocaïne, du cannabis, des amphétamines et vraisemblablement du GHB ou la «drogue du violeur», a-t-on ajouté.

    «L'enquête a démarré l'été dernier.

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    Le trafic alimentait les boîtes de nuit de la région lyonnaise et montpelliéraine, où se trouvait le noyau dur du réseau», a indiqué à l'AFP le colonel Patrick Valentini, se félicitant de la «collaboration» de certaines discothèques concernées.


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