Murat Kaplan dit le roi de lévasion né le 25 mai 1962.Murat Kaplan est un criminel belge dorigine albanaise. Il doit son surnom au fait qu il a réussi à séchapper six fois de prison. Il a affaire a la justice une première fois a 18 ans ( en 1980 ) après une bagarre qui tourne mal il y aura un mort et un blessé.
Le 2 juin 1983, il s'évadait de la prison de Forest (Bruxelles)
Au cours des années 80 il était le chauffeur de la bande Haemers dont Patrick Hamers était le chef. Cette bande est responsable de nombreux braquages ainsi que de lenlèvement de lancien Premier ministre belge Paul Vanden Boeymants du 14 janvier 1989 au 13 février 1989.
Murat est aussi connu à cette époque en tant que spécialiste en vol de voiture de sport et de lingerie fine qu il offrait à ces conquêtes.
Le 14 octobre 1987, il en faisait autant de son domicile bruxellois, alors qu'il y était détenu au cours d'une perquisition; tout juste un an après, il parvenait à se faire la belle, alors qu'il occupait une cellule de la gendarmerie de Bruxelles (et à s'emparer dans la foulée d'une voiture de l'ancienne BSR); le 29 septembre 1991 encore, il profitait de travaux en cours près du mur d'enceinte de la prison de Verviers.<o:p></o:p>
Le 5 mai 1993, Murat sévade de la prison de Saint-Gilles avec ces compagnons de la bande Haemers (Basri Bajrami et Philippe Lacroix Patrick Haemers na pas pu participer à cette évasion, il se suicidera le 14 mai 1993 ) <o:p></o:p>
Le trio armé d armes de poing et de grenades était parvenu à quitter la prison a bord dune BMW les trois hommes avaient contraint l'inspecteur général des prisons (Harry Van Oers, qui s'était courageusement offert pour remplacer des gardiens pris en otage) à s'arrimer, tête en bas, dans le toit ouvrant du véhicule, les jambes déposées sur le pare-brise. Un bouclier humain qui rendait toute intervention impossible. Les forces de l'ordre avaient été à surprises par la tactique et personne n'avait ouvert le feu. Quant à une poursuite, ce n'était pas gagné. Murat Kaplan a en effet le sens du pilotage. Et a toujours été habitué aux puissantes voitures. Il en avait, à l'époque, déjà volé quelque 150. <o:p></o:p>
Il sera à nouveau appréhendé quelques jours plus tard lors d un contrôle routier. <o:p></o:p>
Le 29 avril 2005 alors qu était en liberté conditionnelle il avait été pris en flagrant délit de tentative de vol dans un commerce de bois. Les policiers avaient fait feu en direction de Kaplan, le blessant à la mâchoire. Sa liberté conditionnelle a donc été suspendue. <o:p></o:p>
Le 16 juillet 2006 alors qu il était en permission Murat Kaplan ne revient pas au pénitencier. Peu de temps après une patrouille de police le repère et le prend en chasse sur l autoroute il sen suit une folle course poursuite Kaplan percute une voiture. <o:p></o:p>
Il abandonne son véhicule prêt d un magasin Brico, la police encercle le bâtiment puis ils échangent des coups de feu avec la police Murat est alors blessé par balle a la tête.<o:p></o:p>
Mais il arrive à séchapper avant que les policiers entrent dans le magasin. <o:p></o:p>
Le 28 juillet 2006 vers 19 heures, Murat est appréhendé à Dilbeek. Murat avait essayé en vain de fuir l'unité spéciale de police à bord d'une moto de marque Honda. Précédemment au cours de cette journée, sa compagne a été arrêtée et de nombreuses perquisitions ont été effectuées.
Voici une interview de lui fait par la RTBF :
<o:p> </o:p>La RTBF a obtenu la première interview de Kapllan Murat, qui parle depuis la prison de Nivelles
BRUXELLES "Je regrette pratiquement tous les choix que j'ai faits. On ne peut pas faire autrement lorsqu'on a fait 20 ans de prison..."
L'homme qui s'exprime en ces termes n'est autre que Kapllan Murat, le roi de l'évasion, dont la dernière cavale, en juillet 2006, qui s'était soldée par une invraisemblable course-poursuite en voiture, est restée dans toutes les mémoires. À 45 ans, le bonhomme a passé près de la moitié de sa vie derrière les barreaux. Mais qui est-il vraiment ? Le magazine Histoires vraies a réussi à obtenir sa toute première interview.
C'est donc depuis la prison de Nivelles que Kapllan Murat se livre. "Je n'avais jamais parlé jusqu'ici. C'est ma femme qui m'a convaincu. J'avais envie de dire qui je suis." Son histoire, finalement, c'est celle d'un petit truand, dont les méfaits sont loin de relever du grand banditisme, mais qui doit avant tout sa notoriété à ses évasions à chaque fois plus spectaculaires. "Je n'ai jamais fait de braquage ou de vol avec violence. Je n'ai pas de sang sur les mains. Il m'est arrivé d'utiliser des armes pour m'évader, mais jamais pour voler."
Kapllan Murat a en fait débuté dans le vol de voitures. "On fait d'abord ce genre de vol pour se déplacer. On se retrouve alors en prison et là, on fait des rencontres." Puis arrive la première évasion. "Une bêtise. J'étais en prison pour des faits mineurs et l'occasion de s'évader s'est présentée. Je l'ai fait. C'était une erreur. Et ça a été l'escalade. J'ai été repris. C'était alors pour moi le régime strict. Pas de TV, pas de radio... Et lorsqu'on vous enferme dans un endroit où vous n'avez plus rien, vous ne pensez plus qu'à vous évader. C'est la perspective d'une évasion qui me permettait de tenir." Pourtant, il le reconnaît, la cavale, ce n'est pas le paradis non plus. "On n'a aucune possibilité de se reposer. On n'a confiance en personne. Mais on est libre. "
En 2003, il rencontre l'amour de sa vie : Virginie Barré. "Quand j'ai rencontré ma femme, j'ai vraiment voulu tourner la page." Notre homme est en liberté, il veut refaire sa vie, fonder une famille. Mais, le 19 avril 2005, tout bascule. Pour aider un copain, il accepte de faire un vol... de planches en bois. Une connerie, mais la police l'intercepte et lui tire une balle en pleine figure. Retour en prison. Virginie le soutient toujours. Et puis, il y a ce jour de juillet 2006 : alors qu'il est en congé pénitentiaire, Kapllan Murat ne regagne pas la prison. Il avait appris qu'il ne bénéficierait sans doute plus de congé pénitentiaire et que sa liberté conditionnelle lui serait refusée. Il craque. C'est son ultime cavale, la plus spectaculaire. "Après une nuit chez des amis, ceux-ci m'avaient convaincu de rentrer. Mais, à Chaumont-Gistoux, la police m'a pris en chasse. J'ai fait le con et j'ai démarré. J'avais peur de ce qui allait m'arriver."
Cette histoire est dans le fond totalement triste a l'image de son visage sur la photo ( voir en haut de la page ) .
Meme si son nom est présent dans la rubrique grand banditisme ce n'est pas vraiment un grand bandit comme on en connait en France , c'est plutot un mec qui a fait une erreur un jour et qui n'a pas pu arrété tout ca . Triste .