• 26 interpellations après le braquage du siècle

    Il aura fallu à peine plus de six mois aux enquêteurs de la brigade de répression du banditisme (BRB) de la PJ de Paris pour remonter la piste des auteurs présumés du casse du siècle en France. Un braquage spectaculaire, commis le 4 décembre dernier par quatre hommes dont deux grimés en femme , chez le joaillier de luxe Harry Winston, avenue Montaigne. <btn_noimpr> </btn_noimpr>

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    Le préjudice estimé avait atteint la somme record de 85 millions d’euros…
    Vingt-six personnes, âgées de 22 ans à 67 ans, se trouvaient hier en garde à vue après un vaste coup de filet déclenché dès dimanche dans le XVI e arrondissement de Paris et qui s’est poursuivi hier matin. « Cette série d’interpellations a été décidée alors que plusieurs receleurs présumés, originaires d’Israël, allaient négocier une partie du butin dérobé chez Harry Winston, confie une source proche de l’affaire. Ils ont été arrêtés sur la voie publique dans le XVI e arrondissement à Paris. Toutes les autres personnes ciblées dans ce dossier ont ensuite été interpellées en région parisienne et notamment, pour les principaux instigateurs, aux Pavillons-sous-Bois, à Montreuil et à Noisy-le-Sec en Seine-Saint-Denis. Un vigile a aussi été arrêté. »
    Ce dernier semble avoir joué un rôle non négligeable dans la préparation du braquage. « Les malfaiteurs étaient très bien renseignés sur les noms de famille, les domiciles des employés de la bijouterie et les emplacements des coffres secrets de la boutique, explique un proche de l’affaire. Ils ont bénéficié d’une complicité interne. Les auditions en cours permettront d’y voir plus clair sur les rôles de chacun des protagonistes. »

    « Des pierres déjà desserties ont été saisies dans les différents domiciles des suspects »

    Le 4 décembre, quatre hommes avaient fait irruption chez le célèbre joaillier . En l’espace d’un quart d’heure, les voleurs s’étaient emparés de multiples bagues, colliers, boucles d’oreille et montres de luxe.
    Au cours des perquisitions, les enquêteurs de la BRB ont découvert une quantité importante de bijoux provenant du vol à main armée perpétré dans les salons feutrés de la luxueuse boutique parisienne du bijoutier américain.
    « Deux paires de boucles d’oreille d’une valeur de plusieurs centaines de milliers d’euros, de nombreuses pièces et des pierres déjà desserties ont été saisies dans les différents domiciles des suspects, ajoute la même source. Près de 1,25 million d’euros ont également été récupérés, ainsi que plusieurs armes de poing. »
    Hier, la juge d’instruction en charge de cette affaire, Corinne Goetzmann, s’est rendue dans les locaux de la BRB pour suivre au plus près les auditions menées par les enquêteurs. « C’est une enquête exceptionnelle qui est en train d’aboutir, relate un haut fonctionnaire. Les personnes soupçonnées d’avoir participé à ce braquage sont connues des services de police et appartiennent, pour certaines, au grand banditisme parisien. »
    Selon les premiers éléments, plusieurs bijoux ont déjà été revendus au cours de « deux ou trois » transactions avec des receleurs installés à l’étranger. Des investigations sont en cours pour tenter de déterminer l’éventuel lien des suspects présumés du braquage du mois de décembre avec un premier vol à main armée perpétré chez Harry Winston au mois d’octobre 2007. A l’époque, plusieurs malfrats avaient réussi à mettre la main sur plusieurs dizaines de bijoux d’une valeur estimée à 20 millions d’euros. « Il s’agit peut-être de la même équipe, poursuit la même source. Des vérifications vont être effectuées. »

     

    source : le parisien


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  • Braquage à Nivelles: une balle dans le pied et dans le ventre

    Les deux propriétaires de la bijouterie "La Griffe d'Or", située rue de Namur à Nivelles, ont été blessés par balles, samedi matin, lors d'un braquage

    NIVELLES Deux personnes ont été blessées par balle dans l'attaque à main armée de leur bijouterie samedi matin à Nivelles. Il s'agit des gérants de la bijouterie La Griffe d'Or, située rue de Namur. Le voleur a ensuite pris la fuite à pied. Il n'avait pas été retrouvé vers 13h30, malgré la venue sur place d'un hélicoptère de la police fédérale et d'un maitre-chien. Le montant du butin n'a pas été communiqué. L'attaque à main armée a eu lieu peu après 10h30, selon les premiers éléments communiqués. Les voisins immédiats dans cette rue commerçante de la ville ont entendu des coups de feu et un appel au secours. Ils ont aperçu l'agresseur qui prenait la fuite à pied, certains affirmant qu'il tenait une arme de poing.

    L'homme a ensuite disparu dans une ruelle donnant sur un complexe de logements et un parking. Il s'agit d'un individu qui portait des dreadlocks. On ne sait pas s'il était attendu par d'éventuels complices.
    Les bijoutiers de la Griffe d'Or, un couple, ont tous les deux été blessés par balle: la femme au bas-ventre, et le gérant au pied. Celui-ci a également reçu des coups au visage et avait la tête ensanglantée quand les voisins lui ont porté secours.

    Les victimes ont été emmenées aux hôpitaux de Braine-l'Alleud et Nivelles. En fin de matinée, l'état de la femme, qui était la plus sérieusement touchée, était stable et une opération était envisagée dans le courant de l'après-midi à l'hôpital de Nivelles.

    Une fois l'alerte donnée, des équipes des zones de police de Nivelles-Genappe, Mazerine et Ouest Brabant wallon sont descendues sur les lieux. La police fédérale de Nivelles est également sur place, et des spécialistes de la police scientifique ont passé le magasin au peigne fin à la recherche d'indices. Un hélicoptère de la police fédérale a également été envoyé en renfort pour quadriller les lieux à la recherche de l'auteur. Un maître chien est également au travail dans le voisinage. Mais vers 13h30, cette chasse à l'homme n'avait toujours pas donné de résultats.

    Le montant du butin emporté par l'auteur n'a pas été communiqué. Le bourgmestre de Nivelles, Pierre Huart, s'est rendu sur les lieux. Un périmètre de sécurité a été instauré et la portion concernée de la rue de Namur est interdite à la circulation pendant les devoirs judiciaires.

     

    source : La Dernière Heure 2009


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  • Le décret «anti-cagoules» entre en vigueur

     

    Il est désormais interdit de dissimuler son visage lors d'une manifestation. Le décret «anti-cagoules» du Premier ministre a été publié samedi au Journal officiel.

    Le texte punit d'une amende de 1500 euros au plus «le fait pour une personne, au sein ou aux abords immédiats d'une manifestation sur la voie publique, de dissimuler volontairement son visage afin de ne pas être identifiée dans des circonstances faisant craindre des atteintes à l'ordre public».

    En cas de récidive, l'amende peut être portée à 3000 euros.

    Des exceptions sont prévues pour les «manifestations conformes aux usages locaux ou lorsque la dissimulation du visage est justifiée par un motif légitime».

    Des violences en marge du sommet de l'Otan à Strasbourg

    La publication du décret intervient alors que la proposition de loi du député UMP Christian Estrosi pour créer notamment un délit de «participation à une bande violente», aggravé en cas de dissimulation du visage, a été adopté le 10 juin par la commission des Lois. Cette proposition de loi doit être examinée à partir de mardi à l'Assemblée nationale.

    La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie avait annoncé son intention d'étudier l'interdiction des cagoules quelques jours après des violences en marge du sommet de l'Otan à Strasbourg, début avril.

    Un décret avait été transmis par le ministère de l'Intérieur au Premier ministre François Fillon.

     

    source: leparisien


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  • Un blessé grave dans une bagarre au Blanc Mesnil

     

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    Une rixe entre jeunes de deux cités sensibles du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) a fait deux blessés dont un très grave, touché par arme à feu à la tête, dans la nuit de samedi à dimanche, selon le dernier bilan de la préfecture. Une source policière avait fait état dans un premier temps d'un mort et deux blessés dont un grave. <btn_noimpr> </btn_noimpr>

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    Un jeune homme de 19 ans a été touché par balle à la tête et a été hospitalisé dans un état très grave. Un autre jeune, de 18 ans a été touché au dos. Le maire du Blanc-Mesnil, Didier Mignot, a précisé sur place que le jeune homme très sérieusement touché à la tête avait été transporté à l'hôpital Henri Mondor de Créteil et s'est dit «consterné» par ces violences.

    La préfecture a par ailleurs indiqué que onze personnes avaient été interpellées à la suite de cette bagarre qui a éclaté vers 0H30, rue Guillaume Appolinaire, non loin de l'aéroport du Bourget, entre des jeunes des cités des Tilleuls et des 212, pour une raison encore indéterminée.

     

    source: leparisien


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  • Le professeur de sport confondu par ses élèves

    Au début de l'affaire, une simple clé USB. Elle avait été trouvée au sol par des élèves du collège public Pierre-Joannon de Saint-Chamond, dans la Loire, à proximité du gymnase. Mais sur cette clé figuraient des contenus fort peu innocents : des photos et des vidéos à caractère pédo-pornographique.

    Alertée par le principal du collège, la police a identifié le propriétaire de la clé, rapidement confondu car les mêmes fichiers figuraient sur un ordinateur de son domicile : il s'agissait d'un professeur d'éducation physique du collège, âgé de 54 ans.

    Des photos et vidéos téléchargées depuis internet ?

    Mis en examen, le professeur a été remis en liberté sous contrôle judiciaire jeudi soir, avec interdiction d'entrer en contact avec des mineurs, et donc d'exercer sa profession d'enseignant. Le mis en cause a précisé que les photos et vidéos qui figuraient sur sa clé USB avaient été téléchargées depuis internet.

    Une commission rogatoire devrait toutefois être délivrée aux enquêteurs pour vérifier que des élèves du collège saint-chamonais ne figurent pas sur les images retrouvées.

    source : le parisien

     


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