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Trois kilos d'explosifs dans un appartement de Villeneuve-la-Garenne
Un quartier de Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine) est bouclé depuis ce matin à la suite de la découverte de trois kilos d'explosifs. C'est dans un appartement du quai d'Asnières que des policiers qui perquisitionnaient dans le cadre d'une enquête sur un trafic de stupéfiants ont découvert les trois kilos de TATP.
Cette substance explosive particulièrement instable, utilisée notamment lors des attentats de Londres, est à l'origine de l'explosion mercredi matin d'un appartement de Clichy-la-Garenne. On ignore pour l'heure si la découverte de ce matin a un lien avec l'affaire du postier grièvement blessé mercredi, à Clichy, dans le même département.
Les services de déminage et la sous-direction anti-terroriste sont toujours sur les lieux de la découverte des explosifs, à Villeneuve-la-Garennesource : le parisen
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Le 1er filet antiévasion en Belgique
BRUXELLES Si certains détenus s'imaginaient pouvoir copier le roi de la cavale, Nordin Benallal, ou encore ce Français qui s'était échappé de la prison de Lantin il y a un an, en élaborant un plan d'évasion par hélicoptère venant se poser dans le préau des prisons, ces idées ne seront bientôt plus qu'illusions à la prison de Bruges. D'ici deux semaines, un filet antiévasion sera posé sur la cour de la nouvelle section haute sécurité de l'établissement pénitentiaire. "Les travaux sont en cours", nous précise le directeur de la prison de Bruges. Ce qui vient confirmer ce que nous vous avions annoncé le 14 février dernier. À cette date-là, le cabinet du ministre de la Justice, Jo Vandeurzen, nous annonçait qu'au 1er juin 2008, les quartiers pour détenus dangereux des établissements de Lantin et Bruges seraient équipés de ces filets antiévasion.
La section haute sécurité de Lantin bientôt prête aussi
Nous avons donc vérifié si ces projets étaient menés à terme. Le système de pose de câbles métalliques au-dessus des préaux sera prêt à Bruges dans les jours à venir, les travaux ayant commencé sur le site.
Du côté de la prison de Lantin, la réouverture de la section haute sécurité est également prévue pour ce mois de juin. "Le personnel devrait terminer sa formation à cet effet d'ici quelques jours", nous confirme le directeur de la prison de Lantin, Francis Dejon.
Les deux blocs haute sécurité accueilleront donc des détenus placés sous régime de haute sécurité et qui doivent donc notamment être placés individuellement en cellule. Pour ce qui est de la pose du filet antiévasion à Lantin, elle est également prévue, nous précise Laurent Sempot, attaché à la direction générale des établissements pénitentiaires :"L'objectif est que les deux préaux soient couverts de ces filets", indique Laurent Sempot.
Les conclusions d'un rapport sur le placement des filets, présenté à l'époque par l'ancienne ministre de la Justice, prévoyaient d'installer ce dispositif antiévasion dans cinq prisons abritant des détenus dangereux, à savoir : les établissements de Hasselt, Bruges, Lantin, Ittre et Andenne.
Voilà qui va être le cas dans les prochains jours à Bruges. Lantin suivra. Pour ce qui est des autres établissements, des études ont été lancées sur l'opportunité ou non d'y installer également un tel système.
source : DH
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Trois jeunes blessés par balles par des policiers hors service<O:P></O:P>
Le scénario de la fusillade, selon des témoins
Y a-t-il eu bavure dans le Xe arrondissement de Paris dans la nuit de mercredi à jeudi ? Petit à petit, une première version des faits émerge, en attendant le résultat de l'enquête de l'IGS, la police des polices. Interrogés par LCI et LCI.fr, des témoins sur place, pour certains proches des victimes des tirs, ont raconté la scène lors de laquelle trois jeunes gens ont été blessés par balle par deux policiers qui sortaient d'une soirée arrosée.
Si une source policière parle d'une altercation avec une dizaine de jeunes dans la rue, un témoin direct interrogé par LCI et LCI.fr explique qu'ils se trouvait avec un des jeunes touchés, dans une voiture, rue du Faubourg Saint-Denis, devant l'entrée de la cour des Petites Ecuries, quand "deux policiers éméchés ont frappé à la vitre de notre voiture", "la confondant peut être avec celle d'amis". Il les accuse de les avoir alors "menacés avec une arme à feu, tout en les insultant".
"Il s'est alors réfugié dans le hall"
Pris de panique, les occupants de la voiture, "ont alors pris la fuite par la portière opposée". L'un rampant à terre, ce qui lui aurait permis d'éviter les balles, l'autre, fuyant en courant. C'est là "qu'il a pris une balle en plein dos qui l'a traversé au niveau du rein. Il s'est alors réfugié dans le hall d'un immeuble où un habitant l'a trouvé et a appelé les secours".Une source policière confirme que le jeune homme a été blessé "dans la région du dos". Il est hospitalisé dans un état jugé "sérieux". On ignore encore si les deux autres jeunes gens, - blessé pour l'un aux chevilles pour l'autre sans doute au bas du dos -, étaient encore hospitalisés jeudi soir, mais leur état inspirait "moins d'inquiétudes". Selon un témoin, l'un d'eux était un "jeune qui était descendu fumer dans la rue pour ne pas que ses parents le voient". Un policier a également été blessé durant l'altercation, selon la source policière. Selon un autre témoin, il y a eu "entre 6 et 8 balles qui ont été tirées".
Mais certains éléments restaient confus jeudi soir, des témoins démentant qu'un policier ait été touché sur le moment, d'autres décrivant un des policiers, "celui qui n'a pas tiré", totalement hébété, assis dans le caniveau et dans un état d'alcoolémie avancé juste après la fusillade. Plusieurs témoins affirment ne pas avoir compris que le tireur était un policier, certains croyant même dans un premier temps "à un marginal ou à un clochard". Selon le grand frère du jeune homme le plus sévèrement touché, des perquisitions ont été menées chez ses parents et dans les familles des autres victimes pendant la journée de jeudi.
Ils sont allés "dans deux bars" avant la fusillade
Selon un riverain qui précise que les jeunes sont "du quartier et n'ont pas mauvaise réputation", les deux policiers "avaient passé la soirée dans un premier bar. Puis lorsqu'il a fermé, ils sont allés dans un second bar, à deux pas de là où s'est déroulée la fusillade". Selon les premiers éléments de l'enquête en effet, les deux policiers en poste au service régional des transports (SRPT) chargé de la sécurité dans les transports en commun en région parisienne et dépendant de la préfecture de police de Paris (PP), auraient "bu plus que de raison". Le policier qui a tiré avec son arme de fonction a "été ceinturé par des témoins", toujours selon un riverain interrogé par LCI et LCI.fr.
La ministre de l'Intérieur a aussitôt annoncé que les deux policiers, qui n'étaient pas en service au moment du drame, avaient été "suspendus" de leurs fonctions "à titre conservatoire en l'attente des conclusions et des résultats de l'enquête". L'enquête devait "s'attacher à vérifier si le second policier a tiré des coups de feu également", a fait valoir la source policière.source : lci
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Draguignan : le gendarme remis en liberté
La justice a décidé mercredi de remettre en liberté le gendarme mis en examen pour «coups mortels», après la mort d'un homme qui s'évadait menotté vendredi de la gendarmerie de Draguignan (Var).
Le juge des libertés et de la détention, auquel il était présenté, a également décidé de le placer sous contrôle judiciaire, conformément aux réquisitions du procureur de la République, Christian Girard.
Peu avant 18Hh0, le gendarme se trouvait toujours dans les locaux du palais de justice.<script type=text/javascript> sas_pageid='2358/16838'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_faitsdivers sas_formatid=1278; // Format : rectangle 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); </script> <script src="http://www.smartadserver.com/call/pubj/2358/16838/1278/S/6535127245/?"></script>
Il est accusé d'avoir tué vendredi soir un homme de 27 ans, Joseph Guerdner, qui s'enfuyait menotté de la gendarmerie de Draguignan où il était gardé à vue dans une affaire d'agression à main armée et de séquestration d'un chauffeur-routier.
L'incarcération du gendarme avait provoqué l'indignation de ses collègues. A la suite de l'intervention du patron de la gendarmerie nationale, le général Guy Parayre, les gendarmes avait finalement renoncé à une manifestation intitialement prévue mercredi au Luc (Var).source : le parisien
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La police et le Parquet dAnvers sont à la recherche dune bande de voleurs dEurope de lEst qui en 6 mois ont fait au moins 16 victimes, à chaque fois des touristes étrangers.
le blog grand banditisme et faits divers
Aucune violence nest utilisée, les voleurs se font passer pour des membres de la police, exhibent rapidement une carte ou un badge, et après une fouille sommaire, sen vont avec largent liquide de leur victime. Ils utilisent des voitures de location et agissent à partir de Bruxelles où ils peuvent se loger dans lanonymat dans des hôtels bon marché.
Il existe deux modes opératoires:
1) Tout dabord les auteurs se cachent dans les environs du marché aux voitures à Wilrijk. Ils suivent alors des personnes qui reviennent du marché et qui disposent dargent liquide.
Ils se présentent comme étant des policiers à la recherche de drogue et débutent un contrôle de leur victime et de leur véhicule. Ils sont en fait à la recherche dargent cash et sen vont une fois quils lont trouvé.
La Police a déjà reçu 7 plaintes pour des faits similaires..
Cette bande se compose de 3 ou 4 voleurs sexprimant dans un anglais approximatif.. Pour leur dernier méfait, les auteurs circulaient à bord dune Renault Laguna munie de plaques françaises .
2) La police soupçonne cette même bande dêtre également active dans le centre dAnvers, plus précisément dans le quartier des diamants.
Les victimes sont alors abordées par une personne qui demande son chemin. Soudainement, 2 ou 3 hommes font leur apparition. Ils se légitimisent dune carte et ordonnent un contrôle. Ici aussi, les auteurs sont à la recherche dargent cash.
A ce jour, 9 faits similaires ont été répertoriés par la police.
Lors dun de ses agissements, un des voleurs a perdu sa veste contenant son GSM et des papiers personnels. Ainsi, la police est parvenue à identifier deux voleurs de la bande.
Il sagit de deux roumains .
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