• Tableaux volés à Nice : 12 gardes à vue

     

    Douze personnes dont l'une a été arrêtée aux Etats-Unis, ont été mises en garde à vue à Marseille dans l'enquête sur le vol il y a dix mois de quatre tableaux au musée des Beaux-Arts de Nice, retrouvés mercredi à Marseille, a indiqué jeudi le procureur de la République Jacques Dallest.

    «On va tenter d'identifier les auteurs du vol à main armée, les receleurs et les commanditaires», a déclaré M. Dallest, soulignant le travail de coopération entre les différents services d'enquête, la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) et des membres du FBI aux Etats-Unis où les tableaux, un Monet, un Sisley et deux Bruegel, étaient susceptibles d'être revendus.

    <script type=text/javascript> sas_pageid='2358/16838'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_faitsdivers sas_formatid=1278; // Format : rectangle 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); </script> <script src="http://www.smartadserver.com/call/pubj/2358/16838/1278/S/9052818757/?"></script>



    Les gardes à vue peuvent durer jusqu'à quatre jours. Selon le directeur adjoint de la Direction centrale de la police judiciaire à Paris, Gilles Leclair, certaines des personnes interpellées mercredi à Marseille, dans le Var et les Alpes-Maritimes, «sont bien connues de la justice», avec à leur actif des vols à main armée.

    «Quelques-uns sont originaires de la région marseillaise. Il y a parmi eux des gens chevronnés, armés et dangereux», a ajouté Christian Lothion, chef de la Division interrégionale de la police judiciaire à Marseille.

    Les tableaux ont été retrouvés mercredi en fin de matinée dans une camionnette garée dans une rue proche des plages du Prado après l'interpellation des personnes qui tentaient de les vendre. «Les toiles sont dans un bon état. Elles étaient emballées», a souligné le chef de l'office central des biens culturels, Pierre Tabel.

    Elles avaient été volées le dimanche 5 août 2007 au musée des Beaux-arts Jules Chéret de Nice. Un commando de cinq hommes masqués et armés s'était présenté à l'entrée du musée, dans le centre-ville, puis avait menacé au moins quatre employés, avant d'emporter deux huiles sur toile, l'une de Claude Monet (1840-1926) «Falaises près de Dieppe» de 1897 (65cmx87cm), une autre d'Alfred Sisley (1839-1899), «Allée de peupliers de Moret», de 65cmx81cm, peinte en 1890, ainsi que deux oeuvres signées Jan Bruegel dit «De Velours» (1568-1625), «Allégorie de l'eau» et «Allégorie de la terre».

     

    source ; le parisien


    1 commentaire
  • Un stock d'armes découvert à Gagny

     

    Son propriétaire, qui se dit passionné, avait été repéré sur internet, en consultant des sites de fabrication d'explosifs.

    Un stock d'armes, principalement de poing, a été découvert hier au domicile d'un homme d'une cinquantaine d'années à Gagny (Seine-Saint-Denis) qui a été placé en garde à vue.

    Ce passionné d'armes, qui possédait une vingtaine d'armes de poing (pistolets et revolvers) de divers calibres, deux carabines et un stock de munitions, avait été repéré il y a quelques jours sur internet par des gendarmes spécialisés dans la cybercriminalité alors qu'il consultait des sites fournissant des recettes de confection d'explosifs ou de bombes.

    Un signalement avait été fait au parquet de Bobigny et mercredi les policiers du service départemental de la police judiciaire de Seine-Saint Denis se sont rendus à son domicile et ont découvert l'arsenal.

    <script type=text/javascript> sas_pageid='2358/16838'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_faitsdivers sas_formatid=1278; // Format : rectangle 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); </script> <script src="http://www.smartadserver.com/call/pubj/2358/16838/1278/S/2869226284/?"></script>

    Placé en garde à vue, l'individu a reconnu les faits, indiquant qu'il était collectionneur et passionné d'armes. Il devait être déféré jeudi soir au parquet de Bobigny.

    source : le parisien


    votre commentaire
  • Affrontements avec la police à Montreuil

     

    Des affrontements se sont produits mercredi soir à Montreuil (Seine-Saint-Denis) entre la police et des manifestants qui exigeaient la libération d'un sans-papiers interpellé dans la journée.

    Huit personnes ont été arrêtées. Trois d'entre elles étaient en garde à vue jeudi soir.

    <script type=text/javascript> sas_pageid='2358/16838'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_faitsdivers sas_formatid=1278; // Format : rectangle 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); </script> <script src="http://www.smartadserver.com/call/pubj/2358/16838/1278/S/460825089/?"></script>

    Ces personnes sont suspectées de «violences volontaires» sur des policiers, ainsi que de «dégradations» pour deux d'entre elles.

    Les manifestants et des témoins dénonçaient hier «une riposte disproportionnée» des forces de l'ordre de l'ordre. La police explique qu'il y a eu tentative d'envahissement du commissariat, et des agressions commises contre les fonctionnaires.

     

    sorce : le parisien


    votre commentaire
  • Marcel Campion, le «roi des forains», s'embrouille avec les policiers

     

    Le «roi des forains», Marcel Campion, a été placé en garde à vue jeudi, en compagnie de son fils, après des incidents avec des policiers à l'issue d'une bagarre généralisée dans le Xe arrondissement de Paris. Rue du Faubourg-Saint-martin, des policiers sont intervenus, peu après 2H00 jeudi, après qu'une bagarre eut éclaté dans un bar, opposant Marcel Campion et son fils Chris à un groupe de jeunes gens.

    M.

    <script type=text/javascript> sas_pageid='2358/16838'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_faitsdivers sas_formatid=1278; // Format : rectangle 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); </script> <script src="http://www.smartadserver.com/call/pubj/2358/16838/1278/S/8816002856/?"></script>

    Campion a eu des «mots très vifs» avec les policiers et, selon les premiers éléments de l'enquête, frappé une policière à l'épaule qui a été très légèrement blessée.

    Il a été placé en garde à vue à la police urbaine de proximité (PUP) de cet arrondissement en compagnie de son fils.

    Surnommé le «roi des forains», Marcel Campion a entamé en avril dernier une croisade contre les «barbares» ayant agressé son frère dans sa maison de La Chapelle-aux-Pots, près de Beauvais (Oise), en février 2008. Il a pris la tête d'un collectif qui propose une prime de 100.000 euros pour toute information sur les agresseurs présumés de son frère tout en niant vouloir «créer des milices» ou «être dans un western».

    source : le prisien


    votre commentaire
  • Un policier fauché par une voiture près de Menton

    Un policier de la Brigade anti-criminalité (BAC) de Menton est décédé mercredi soir après avoir été fauché par une voiture alors qu'il était en train de sécuriser un accident de la route sur la commune de Beausoleil (Alpes-Maritimes).
     
     La victime, âgée d'une trentaine d'année, a été renversée vers 23 heures 15 par une voiture arrivée "à vive allure" sur les lieux où une équipe de policiers était en train d'intervenir après un premier accident de la route, selon une porte-parole de la préfecture. La voiture qui a renversé le policier a été stoppée par l'impact. L'agent est mort sur le coup. "Choqué", le conducteur du véhicule a été hospitalisé à Monaco. Il s'agit d'un homme de nationalité italienne qui se trouvait seul à l'intérieur du véhicule. Il a été placé en garde à vue jeudi.
     
    Des examens toxicologiques seront pratiqués sur le conducteur une fois qu'il aura reçu les soins nécessaires. "Il est trop tôt pour déterminer la vitesse de la voiture mais il semble qu'elle était excessive", a indiqué le directeur départemental de la sécurité publique qui s'est rendu sur les lieux aux côtés du préfet. Tous deux ont fait part de leur "très grande émotion" après le décès du policier.
     
    Ce dernier s'était rendu, avec trois autres collègues, sur la zone où venait de se produire un premier accident matériel impliquant une voiture. Sur la route départementale rendue glissante par la pluie, un conducteur avait perdu la maîtrise de son véhicule. L'équipe de la BAC devait sécuriser l'endroit. Voyant venir un scooter sans lumière, le policier tué s'était dirigé vers lui pour l'arrêter lorsque le second véhicule a surgi et l'a renversé.

     

    source : lci


    1 commentaire