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Par lesprittordu le 2 Novembre 2007 à 19:55
Une poissonnière, un vrai gendarme et un faux flic, viennent d'être mis en examen pour tentative d'escroquerie. Egalement poursuivies pour association de malfaiteurs, ils ont tous trois été placées sous contrôle judiciaire, a précisé le parquet de Paris. Ils sont soupçonnés d'avoir proposé contre rémunération de donner à l'avocat Me Karim Achoui, blessé par balles en juin, le nom de policiers qui auraient voulu sa mort.
L'affaire remonte à une quinzaine de jours. Karim Achoui a été "approché par une femme, une ancienne cliente" qui lui propose de rencontrer un gendarme susceptible de lui fournir des renseignements sur les policiers qui auraient voulu sa mort, raconte-t-il à l'AFP. En juin, cet avocat de plusieurs figures du grand banditisme avait été blessé par balles par un inconnu en sortant de son cabinet parisien. Il accuse depuis des policiers d'en être les commanditaires.
150 000 euros pour donner les noms des policiersCe garde républicain est un "intermédiaire" qui présente l'avocat à un "policier très haut placé" à l'accent corse devant un bar du Ve arrondissement, a-t-il poursuivi. "Cet homme me dit qu'il a les renseignements nécessaires contre de l'argent", a ajouté l'avocat, précisant qu'on lui réclamait un premier versement de 50.000 euros puis un autre de 100.000 euros.
Karim Achoui prévient alors les policiers de la brigade criminelle qui projettent de le doter d'un micro et de les arrêter en flagrant délit, selon son avocat, Me Jean-Yves Liénard. Mais vendredi, alors qu'un nouveau rendez-vous doit avoir lieu sous surveillance policière, il est annulé "quelques minutes avant. Ils ont été renseignés", selon Maître Achoui. Le gendarme, l'homme à l'accent corse et l'ancienne cliente sont interpellés au cours du week-end notamment "sur la base d'écoutes téléphoniques et de SMS qu'ils s'étaient échangés", selon une source proche du dossier.
Le juge d'instruction Jean-Louis Périès, déjà chargé de l'enquête sur la tentative d'homicide à l'encontre de Karim Achoui, a vu sa saisine élargie aux faits présumés de tentative d'escroquerie. Avocat du braqueur multirécidiviste Antonio Ferrera, Me Achoui a été mis en examen en novembre 2005 pour complicité - qu'il nie - dans la spectaculaire évasion de son client de la prison de Fresnes (Val-de-Marne) en 2003.
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Par lesprittordu le 2 Novembre 2007 à 15:57
Trois individus armés ont attaqué un Colruyt à Herstal et un Écomarché à Jupille
LIÈGE Depuis le mois de septembre, une bande de malfrats sévissait en région liégeoise.
Utilisant une voiture volée, ils prenaient pour cibles des supermarchés et autres commerces. Mercredi, ils sont à nouveau sortis de leur tanière.
Cette fois, ils ont jeté leur dévolu sur un Colruyt à Herstal et un Écomarché à Jupille. Une demi-douzaine de hold-up sont à mettre à leur actif.
Vers 14 h 40, le premier magasin, situé sur le boulevard Zénobe Gramme, a été attaqué. Trois malfrats armés, encagoulés et gantés, ont menacé le personnel.
L'un d'eux était armé d'une mitraillette. Ils ont emporté de l'argent puis sont partis à bord de la BMW break en direction du second magasin de la rue de Fléron à Jupille.
Même scénario là-bas puisqu'ils ont également braqué le personnel et ont mis la main sur l'argent des caisses. Les forces de police ayant été très vite mises en alerte, la BMW a aussitôt été prise en chasse dans les rues liégeoises.
Tous les véhicules du 101 de Liège, des commissariats de Jupille, Grivegnée et Chênée ainsi que le PAB (peloton antibanditisme) se sont lancés aux trousses des malfrats.
À un moment donné, ceux-ci ont été repérés sur le parking de la clinique des Bruyères à Chênée. Et comme ils refusaient de se plier aux sommations des policiers, ceux-ci ont tiré une petite dizaine de fois dans leur direction afin de les stopper. C'est ainsi que le passager arrière de la BMW a été blessé au flanc. Mais la BMW est parvenue à contourner les véhicules de police. Un peu plus bas, se retrouvant dans une impasse, les malfrats n'ont eu d'autre choix que d'abandonner la BMW.
Ils ont pris la fuite à pied sans avoir eu le temps de l'incendier, seul un bidon d'essence y avait été déversé. Très vite, le malfrat blessé au flanc a été intercepté. Quant aux deux autres, ils courent toujours.
L'intéressé a été placé jeudi sous mandat d'arrêt. Il s'agit d'un habitant d'Olne de 24 ans qui n'était connu que pour des faits de stupéfiants. Il est passé aux aveux mais a refusé de livrer ses deux complices.
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Par lesprittordu le 2 Novembre 2007 à 15:50
Un jeune homme de 23 ans est décédé vendredi au centre hospitalier d'Angers après avoir été grièvement blessé par balle à la tête en jouant à la roulette russe, selon la gendarmerie. L'accident s'est produit mercredi soir dans le village de Champ-Saint-Père, au sud de la Roche-sur-Yon, en Vendée. Les gendarmes ont d'abord cru à une tentative de suicide.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait en fait d'un jeu de roulette russe par fanfaronnade qui s'est mal terminé. La roulette russe consiste à faire tourner le barillet d'un revolver chargé et de tirer au hasard.Les deux témoins du drame, la petite amie du jeune homme et un collègue de travail, ont été entendus par les enquêteurs. L'enquête doit encore déterminer comment la victime est entrée en possession du revolver datant de la fin du 19e siècle, et si elle savait que celui-ci était chargé.
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Par lesprittordu le 2 Novembre 2007 à 14:02
Une dispute entre deux tablées d'un restaurant du 8e arrondissement de Paris a dégénéré dans la nuit de jeudi à vendredi en fusillade faisant un mort et un blessé.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame s'est déroulé rue Marbeuf dans le restaurant "La Maison de l'Aubrac". Vers 3 h 40 du matin, une simple anicroche entre deux tablées, sans doute égayées par des libations, et qui apparemment ne se connaissaient pas, déclenche les hostilités. Le ton monte et les clients indélicats sont priés de s'expliquer dehors par la direction de l'établissement, a expliqué une source proche de l'enquête.La voiture retrouvée
Sur le trottoir, la discussion tourne à la fusillade : un homme de 27 ans, qui était connu très défavorablement des services de police, est tué par balle à bout portant dans la bouche, a indiqué à LCI.fr une source policière. Un autre âgé de 25 ans a pris une balle dans le bras et une autre dans l'avant-bras.
Le ou les auteurs des coups de feu ont pris la fuite à bord d'une Austin. La voiture a été retrouvée rue Alsace-Lorraine à Boulogne- Billancourt. Elle n'est pas signalée comme volée ce qui pourrait rendre plus facile le travail des enquêteurs. La brigade criminelle a été saisie. L'autopsie de la personne décédée devrait avoir lieu vendredi.Un homme tué dans un bar par un client en colère
Un homme de 35 ans a été tué d'un coup de fusil mercredi soir dans un bar de Cagnes-sur-mer, dans les Alpes-Maritimes par un client pris d'un coup colère. Le meurtrier présumé, dont l'identité a été établie, est recherché par les services de police qui ont placé en garde à vue un homme soupçonné de l'avoir accompagné en voiture le soir du drame. Selon le parquet de Grasse, la victime, un père de famille et l'auteur du coup de feu ne se connaissaient pas. Selon les premiers témoignages, rapportés par le quotidien Nice-Matin, le client irascible aurait pris à partie les consommateurs du bar prétendant qu'on lui avait volé la somme de 2.700 euros. C'est en intervenant pour apaiser la situation que Fabien Koscianski aurait été tué d'une balle dans la tête. Les enquêteurs du commissariat de Cagnes-sur-mer et de la sûreté départementale tentent de vérifier s'il n'existait pas de conflit pré-existant entres les deux hommes. Ils s'attachent également à déterminer de quelle façon le fusil ayant servi au meurtre a été introduit dans le bar. (D'après AFP)
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Par lesprittordu le 1 Novembre 2007 à 17:29
L'individu arrêté mercredi après une poursuite liée à deux hold ups commis dans la région liégeoise a été placé jeudi sous mandat d'arrêt
LIEGE Le juge d'instruction Dominique Lizin l'a inculpé de vols avec violence avec la circonstance aggravante qu'il y avait des co-auteurs et que des armes ont été utilisées.
Le truand appréhendé, Eric Savo, 24 ans, domicilié à Olne, n'était connu de la justice que pour des faits de drogue, jugé en 2006 par le tribunal correctionnnel de Neufchâteau.
En ce qui concerne les hold ups de mercredi au Colruyt de Herstal et à l'Intermarché de Jupille, Eric Savo est en aveux. Mais il a refusé de divulguer les noms de ses deux complices. Ceux-ci sont donc en fuite, vraisemblablement avec le butin des deux braquages car aucune somme d'argent n'a été retrouvée dans la voiture utilisée.
Ce véhicule, un break BMW, avait été volé le 14 septembre à Soumagne.
Eric Savo, qui avait été blessé par balle par des policiers lors de son arrestation, a été atteint à un flanc. La balle a été retirée après une intervention chirurgicale à l'hôpital de la Citadelle à Liège.
Le braqueur arrêté ne court plus aucun danger du fait de sa blessure. Il a été écroué à la prison de Lantin, a-t-on ajouté de source judiciaire.
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Par lesprittordu le 1 Novembre 2007 à 16:55
Deux hommes ont été tués et trois autres blessés au cours d'une fusillade à Grenoble dans la soirée de mercredi, a-t-on appris jeudi matin de source policière. Vers 20 heures 30 mercredi, trois hommes armés ont tiré à feu nourri sur un groupe de personnes place des Géants, dans le quartier dit sensible de la Villeneuve, avant de s'enfuir et de disparaître, a-t-on ajouté de même source.
Les trois hommes étaient armés au moins d'un pistolet automatique et d'un fusil de calibre 12, a précisé jeudi le quotidien Le Dauphiné Libéré. Selon des témoins, les trois hommes étaient habillés de noir, a précisé la police. Les trois hommes sont arrivés à pied dans le quartier, à ce moment très fréquenté en cette soirée d'Halloween, et ont fait feu aussitôt sur un groupe de personnes dont faisait partie les victimes, bien connues pour certaines par les services de police, selon la même source.Règlement de comptes
L'enquête a été confiée à l'antenne grenobloise de la Direction interrégionale de police judiciaire (DIPJ) de Lyon. Les trois agresseurs étaient activement recherchés et aucune interpellation n'avait eu lieu jeudi matin, a ajouté la source policière, précisant qu'il pourrait s'agir d'un règlement de comptes.
Les deux hommes tués, un oncle et son neveu, étaient âgés de 35 et 30 ans. Le plus âgé des deux, bien connu des services de police, faisait partie d'un groupe de personnes dont l'un des membres avait été abattu en juillet en banlieue de Grenoble lors d'un règlement de comptes entre bandes rivales. Les trois blessés, dont deux graves et un léger, touché à la main, ont été transportés au CHU de Grenoble, selon la même source.
Plusieurs règlements de comptes dans le milieu des trafiquants de drogue à Grenoble et dans ses environs ont fait au total, avec la fusillade de mercredi soir, huit morts depuis le début de l'année.
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Par lesprittordu le 1 Novembre 2007 à 16:53
"Ce fut une jolie rencontre. Je la garde belle dans mon cur. (...) Nos chemins se séparent là pour l'instant." Ce sont quelques mots tendres qui se retrouvent au centre d'une affaire de crime. Ils sont de Marie-Christine Van Kempen à l'attention de Katia Lherbier.
Trois ans, jour pour jour après l'assassinat de Géraldine Giraud et de sa compagne Katia Lherbier, cette lettre, publiée dans Le Figaro de jeudi, est considérée comme une pièce essentielle du dossier. Et pour cause, elle établirait, selon l'accusation, le mobile : le dépit amoureux. Trompée par Katia qui lui aurait préféré sa nièce Géraldine, la tante Marie-Christine Van Kempen, se serait vengée. Et de faire exécuter les deux jeunes femmes en recourant aux services d'un homme de main. Ce dernier, Jean-Pierre Treiber, un garde chasse, est le seul à être écroué dans cette affaire. Les corps des deux jeunes femmes ont été retrouvés dans son jardin.
Un sosie qui sème le trouble
Marie-Christine Van Kempen est mise en examen pour complicité d'assassinat. Les enquêteurs sont convaincus que les deux jeunes femmes ont été tuées dans sa cave. Du chloroforme, un dérivé de la chloropicrine, le gaz utilisé pour tuer les deux amies, y a été retrouvé.
Sa mise en examen repose sur les souvenirs de l'ancienne gérante d'un bar de Fontainebleau qui affirme l'avoir vue dans son établissement en compagnie de Jean-Pierre Treiber et de son amie. Cette rencontre donnait corps à l'hypothèse d'un crime passionnel. Or, comme le révèle Le Parisien de jeudi, une autre, femme, Jordane, une voyante, qui ressemble beaucoup à Marie-Christine Van Kempen, s'est depuis manifestée dans le dossier car elle fréquentait régulièrement ce bar. Y a-t-il eu une méprise entre ces deux femmes ? L'ancienne gérante maintient ses accusations, la tante de Géraldine Giraud clame son innocence. Le juge d'instruction se prononcera prochainement ces prochains mois sur le renvoi ou non de Marie-Christine Van Kempen devant une cour d'assises.
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Par lesprittordu le 31 Octobre 2007 à 14:33
Ce n'est qu'une fois emmené au poste après un braquage que la police a relevé qu'il s'agissait de l'homme le plus recherché
LA HAYE Il n'aura même pas tenu 48 heures. Nordin Benallal est peut-être le roi de la cavale, mais pas celui de la planque. L'ennemi public n°1 a à nouveau pu être rapidement rattrapé. Cette fois, il a réussi à quitter le territoire. C'est aux Pays-Bas que l'évadé de la prison d'Ittre a été retrouvé hier après-midi. À La Haye précisément. La police hollandaise a pu mettre la main sur lui lors d'un braquage. Nordin Benallal se trouvait accompagné d'un complice. Ils ont pu voler une moto. Le hold-up a été commis au Pletterijkade.
La police néerlandaise a alors entamé une course-poursuite et est parvenue à les bloquer sur un terrain industriel. Nordin et son complice ont ensuite pris la fuite à pied. Ils ont été interpellés dans la Binckhorstlaan, après l'attaque. Des coups de feu ont été tirés en l'air par la police fédérale. Ce n'est qu'au bureau de police que les policiers ont relevé qu'il s'agissait du détenu en cavale et ce, grâce aux empreintes digitales de Benallal. Quant à son complice, la police néerlandaise ignorait son identité hier soir.
Hier soir, le parquet de Nivelles confirmait l'arrestation de Benallal. Il faudra à présent que l'évadé soit rapatrié chez nous. "Il faut pour cela un mandat d'arrêt européen. Si les Pays-Bas ne s'y opposent pas, il sera ramené en Belgique dans quelques jours tout au plus", précisait hier soir le porte-parole du parquet de Nivelles, Bernard Goethals.
Pour rappel, Nordin Benallal s'est échappé de la prison d'Ittre dimanche soir avec des complices. Le détenu condamné à 67 années de prison a reçu l'aide de complices à bord d'un hélicoptère. Ils ont pris en otage le pilote et se sont posés dans la cour de la prison pour faire évader Benallal. Mais là, d'autres prisonniers présents dans la cour où s'est posé l'engin ont tenté de s'accrocher à l'hélicoptère, qui s'est alors crashé. Benallal a ensuite profité de l'agitation des gardiens pour prendre la fuite à bord d'une golf bleue qui l'attendait à l'entrée de la prison.
Depuis, l'homme était en fuite. Mais son évasion n'aura pas duré. Comme c'était d'ailleurs le cas lors de ces précédentes cavales. Nordin Benallal est en effet toujours rapidement repéré. Cette fois, il avait choisi le chemin des Pays-Bas.
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Par lesprittordu le 31 Octobre 2007 à 14:29
Une rixe opposant deux bandes rivales a fait trois blessés mardi soir à Neuilly-Plaisance, en Seine-Saint-Denis. Un jeune, touché par balles, et deux policiers. L'origine de la dispute est encore inconnue, mais vers 20h40, selon nos informations, une patrouille de police est intervenue sur une bagarre en cours rue Renouillères, dans la cité des Cahouets, entre des jeunes du quartiers et d'autres jeunes venus de la cité du Prégentis, dans la ville voisine de Rosny-sous-Bois.
"Lorsque la patrouille est arrivée, elle a entendu une détonation et a reçu des projectiles", explique à LCI.fr une source policière. Lorsqu'ils ont vu qu'un individu était à terre avec plusieurs types qui s'acharnaient dessus, ils ont appelé les renforts". "Le jeune homme a reçu une balle qui lui aurait sectionné la colonne vertébrale", poursuit la même source. Il a été conduit dans un hôpital parisien. Deux des policiers arrivés les premiers sur place ont également été légèrement blessés, l'un par une "bouteille de champagne reçue sur la tête" lui valant trois jours d'arrêt de travail, l'autre par un "coup de barre de fer dans la nuque" nécessitant au moins un jour d'arrêt.
Autour du jeune homme à terre, les forces de l'ordre ont retrouvé "plusieurs armes blanches, notamment des couteaux, ainsi qu'un pistolet 9 mm et des étuis de cartouches de fusil à pompe". Trois individus, âgés de 17 à 25 ans, ont été interpellés. Selon nos informations, les affrontements entre les deux bandes avaient démarré en août à Rosny. Fin septembre, la bande de Rosny était déjà venu à Neuilly-Plaisance pour casser quelques véhicules.
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Par lesprittordu le 23 Octobre 2007 à 16:55
La chasse aux bijoux est ouverte, et la méthode est originale. Une petite annonce publiée mardi dans Le Parisien promet une récompense de 500.000 dollars, soit 352.000 euros, à la première personne qui permettra de retrouver les bijoux volés lors d'un vol à main armée le 6 octobre, dans une bijouterie de luxe de l'avenue Montaigne à Paris.
L'annonce est accompagnée des photos de quatre des montres volées, de deux paires de boucles d'oreilles et de trois bagues. Elle précise que la récompense sera calculée au prorata de la valeur des biens retrouvés.10 millions d'euros de bijoux
Le 6 octobre, trois ou quatre personnes encagoulées et armées étaient entrées dans la bijouterie Harry Winston, sur la prestigieuse avenue Montaigne, et après avoir neutralisé le personnel s'étaient fait ouvrir les coffres emportant des bijoux et des montres pour une valeur de plus de 10 millions d'euros. La brigade de répression du banditisme de la police judiciaire parisienne est chargée de l'enquête.Il faut remonter au 27 septembre 2004 pour trouver un montant du même ordre dans un vol de bijoux. Ce jour-là, deux diamants - d'une valeur de 11,5 millions d'euros - avaient été volés à la Biennale des antiquaires du Louvre à Paris, un butin considéré comme l'un des plus élevés depuis 25 ans.
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Par lesprittordu le 23 Octobre 2007 à 16:53
Un infirmier, soupçonné d'attouchements sur une jeune femme alors que celle-ci se trouvait en salle de réveil après une opération chirurgicale, a été mis en examen à Rouen pour agression sexuelle aggravée.
L'homme, âgé d'une trentaine d'années, a été laissé libre sous contrôle judiciaire. Il avait été placé en garde à vue après avoir été interpellé vendredi à la clinique privée de l'Europe à Rouen.
La jeune femme, âgée de 23 ans, s'est plainte d'avoir, alors qu'elle était intubée et encore en demi-sommeil après une opération de l'appendicite, subi des attouchements à la poitrine de la part de l'infirmier, qui se serait ensuite masturbé avec une main de la patiente, a indiqué son avocat Me Mehana Mouhou.
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Par lesprittordu le 23 Octobre 2007 à 16:51
Un policier a fait usage vendredi après-midi de son pistolet à impulsions électriques (PIE) Taser pour maîtriser un SDF d'une cinquantaine d'années qui tentait de mettre fin à ses jours avec un couteau, sous la Tour Eiffel à Paris (VIIe).
Vers 17 heures, l'homme, installé sous le pilier est de la Tour Eiffel et armé d'un couteau, s'était déjà entaillé un poignet et menaçait de poursuivre son geste pour se suicider provoquant l'intervention du policier. Une fois neutralisé, il a été conduit à l'hôpital pour y recevoir des soins selon la police.
Le Taser X-26, qui équipe déjà trois milliers de gendarmes et de policiers, envoie jusqu'à dix mètres deux dards sur la personne à maîtriser, lui administrant une décharge de 50.000 volts agissant sur son système nerveux et le tétanisant quelques secondes, le temps de lui passer les menottes.
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Par lesprittordu le 22 Octobre 2007 à 16:13Un jeune garçon a miraculeusement échappé à une tentative d'enlèvement il y une semaine dans un bois de Biches, dans la Nièvre. Dimanche dernier, l'agresseur s'était jeté sur le garçon qui faisait du vélo et l'avait traîné jusqu'à sa voiture. Pendant que l'homme faisait le tour du véhicule pour se mettre au volant, l'enfant a eu le temps de sortir et de se cacher dans les bois, pour échapper à son agresseur.
L'homme a été mis en examen pour tentative d'enlèvement sur un mineur en vue de permettre ou de faciliter la commission d'un délit ou d'un crime. Selon le Journal du Centre, l'homme a reconnu pendant sa garde-à-vue son intention d'agresser sexuellement ou de violer l'enfant.
C'est grâce au signalement donné par le garçon et à divers témoignages de personnes ayant remarqué un homme suspect rôdant en Opel Astra dans les parages que l'agresseur a pu être arrêté vendredi. L'homme habite Moulins-Engilbert, un village distant d'une dizaine de kilomètres de l'endroit de l'agression, et un lieu encore traumatisé par l'enlèvement, le viol et le meurtre du petit Mathias, 4 ans, en mai 2006, crimes pour lesquels un homme de 56 ans, habitant lui-même le village, a été arrêté et mis en examen dix jours après la découverte du corps.
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Par lesprittordu le 21 Octobre 2007 à 20:40
L'ancien compagnon de Céline, la femme mise en examen vendredi à Cherbourg pour avoir tué six de ses nouveau-nés à la naissance, a également été mis en examen vendredi, pour "pour non-dénonciation de crimes et recel de cadavres, délits passibles d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à trois ans". L'homme, avec lequel Céline a un fils aujourd'hui âgé de onze ans, a été laissé libre sous contrôle judiciaire.
Selon les déclarations de la jeune femme, cinq des nouveau-nés seraient les enfants de ce précédent compagnon, avec lequel elle a vécu une quinzaine d'années avant de s'en séparer au printemps 2006. Cet homme "avait parfaitement connaissance" de la situation, selon le procureur de la République. Le sixième bébé serait l'enfant du nouveau concubin avec lequel Céline s'était installée fin 2006. "Aucune charge n'a été retenue" à l'encontre de cet homme, remis en liberté vendredi après une vingtaine d'heures de garde à vue. Céline a elle été mise en examen "pour avoir volontairement donné la mort à six nouveau-nés, homicide volontaire sur mineurs passible de la réclusion criminelle à perpétuité". Elle a été placée sous mandat de dépôt et écrouée dans un établissement pénitentiaire pour femmes.
Les corps des six bébés, nés entre 2000 et 2007, avaient été placés dans des sacs plastiques découverts par hasard mercredi soir par l'actuel compagnon de Céline dans la cave de leur immeuble. La mère a expliqué aux enquêteurs avoir à chaque fois accouché seule, puis étouffé ou étranglé les nouveau-nés.
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Par lesprittordu le 21 Octobre 2007 à 20:38
Les braqueurs ont attaqué à l'heure de la fermeture : trois individus cagoulés et gantés s'en sont pris vendredi soir à un supermarché de Provins, en Seine-et-Marne, emportant un butin impressionnant de plus de 400.000 euros.
Les trois individus, "armés ou faisant semblant d'être armés" selon une source judiciaire, sont entrés dans le magasin Leclerc vers 20h50 par la sortie des employés, puis ont menacé les cinq personnes présentes, le directeur, un vigile et trois employés.
Ils ont obtenu sous la menace l'ouverture des deux coffres et se sont fait remettre leur contenu d'argent liquide. L'enquête a été confiée au Service régional de la police judiciaire de Versailles.
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Par lesprittordu le 19 Octobre 2007 à 17:43
Elle cachait son bébé avec du ciment
(19/10/2007)
Une Japonaise a dissimulé le cadavre de son bébé de 18 mois dans du ciment pensant qu'il était mort, a rapporté vendredi la police
Kyoto Yuko Hamano, 30 ans, déjà mère de deux filles, et son compagnon Masakatsu Takagi, 48 ans, ont tous deux été arrêtés par la police de Kyoto, pour dissimulation de corps, en attendant de connaître les causes exactes du décès de l'enfant.
"Hamano a dit à la police que le bébé avait brusquement perdu connaissance en mars l'an dernier et que pensant qu'il était mort, elle l'avait mis dans un placard", a déclaré un policier.
Au bout de 3 jours, l'odeur devant insupportable, elle a placé le corps dans une boîte en plastique et a versé du ciment dessus, a rapporté la police, citée par la presse.
Les enquêteurs ignorent pourquoi la mère n'a pas immédiatement conduit le bébé à l'hôpital et ont ordonné une autopsie.
Son compagnon est soupçonné d'avoir aidé Hamano à cacher le bloc de ciment dans l'appartement d'une de ses connaissances.
La police a lancé l'enquête après avoir été informé par des voisins que l'enfant n'était plus apparu depuis plusieurs mois.
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Par lesprittordu le 19 Octobre 2007 à 17:42
Il était 16 heures, jeudi, quand des coups de feu ont été entendus devant l'école primaire François-Villon de Sevran, en Seine-Saint-Denis. Une des balles est allée se loger dans un mur après avoir traversé une salle de classe dans laquelle se trouvaient des élèves et leur institutrice. Sans faire de blessés."J'allais chercher mon fils de 9 ans à l'école lorsque j'ai vu des gens courir partout, on a entendu des tirs, je ne pensais qu'à une chose, récupérer mon fils", témoigne un père de famille dans Le Parisien daté de ce vendredi. Les enfants se sont couchés sous les tables et la sortie a été retardée jusqu'à 17 heures", précise-t-il.
Une personne a été interpellée peu après les faits. D'après Le Parisien, il s'agirait d'un adolescent de 15 ans qui circulait sur un scooter. Il est actuellement en garde à vue. La police judiciaire de Seine-Saint-Denis a été chargée de l'enquête. L'inspecteur d'Académie se rendra sur place ce vendredi à 13 heures.
Pour le maire communiste de Sevran, Stéphane Gatignon, ces coups de feu sont la conséquence d'un "règlement de comptes entre trafiquants". "Depuis le mois de juillet, de tels faits se multiplient dans votre quartier", écrit l'élu dans un communiqué adressé vendredi aux habitants. "Les auteurs souhaitent intimider la population, établir leur loi sur un territoire qu'ils veulent s'approprier. C'est inacceptable", poursuit l'élu qui rappelle avoir demandé au préfet que la police ait les moyens d'enquêter et de "rétablir le calme et la tranquillité dans le quartier".
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Par lesprittordu le 18 Octobre 2007 à 19:23
Un couple en garde à vue après la découverte de cinq foetus dans leur cave
(18/10/2007)
© PIRARD
Un homme en garde à vue aurait découvert les foetus dans des sacs poubelles dans son immeuble
PARIS Un couple était en garde à vue jeudi après la découverte de cinq foetus dans la cave d'un immeuble de Valognes dans la Manche, a-t-on appris de sources concordantes. Le parquet de Cherbourg devait donner une conférence de presse en fin d'après-midi.
Dans la journée, le couple, dissimulé sous des couvertures, a été emmené par les gendarmes dans l'immeuble, a-t-on constaté sur place. Les forces de l'ordre avaient barré la rue.
Selon des sources condordantes, l'homme en garde à vue aurait découvert mercredi soir les foetus dans des sacs poubelles dans la cave d'un immeuble de deux étages où résidait le couple. Des perquisitions étaient en cours à leur domicile ainsi qu'au domicile précédent de la femme, précisait-on de mêmes sources.
D'après les témoignages de voisins, le couple serait âgé d'une trentaine d'années et la femme était déjà mère d'un petit garçon d'une dizaine d'années, issu d'une première union.
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Par lesprittordu le 17 Octobre 2007 à 19:16
Un engin explosif, composé d'un à un kilo et demi de plastic, a été découvert mardi dans un ancien centre de rétention administrative de Toulouse, peu avant la visite du préfet de Région, a indiqué ce dernier, Jean-François Carenco. La découverte a été faite à la mi-journée dans la cour du centre où elle avait été lancée, a précisé le préfet ajoutant que c'était "une vraie bombe, juste chaude".
"Je me suis rendu au centre de rétention car j'envisage d'aménager ces locaux en centre d'hébergement pour les SDF" en vue de la période hivernale", a déclaré le représentant de l'Etat. Il a souligné qu'il ne faisait "pas de lien entre (son) passage et la bombe", qualifiée d'"artisanale mais professionnelle". Il a poursuivi en déclarant qu'il ne faisait pas non plus "d'amalgame" avec la question des sans-papiers. Le préfet a décrit l'engin en révélant qu'il "y avait ce qu'il fallait en pains de nitrate, le cordon et le détonateur, avec de la ferraille autour. Selon lui, la mèche s'est éteinte quand la bombe a été lancée dans la cour où elle a été vue par plusieurs personnes.
Le centre de rétention administrative, aujourd'hui désaffecté et situé près du canal latéral de la Garonne, a été remplacé depuis juin 2006 par un centre de rétention à Cornebarrieu, près de Toulouse. Depuis mars 2007, deux autres engins ont été découverts et neutralisés à Toulouse. Un premier engin incendiaire, constitué de plusieurs litres d'un produit visiblement inflammable reliés à un système de mise à feu électrique, avait été découvert devant le bâtiment administratif abritant le service des impôts. Au mois de juin suivant, une bombe artisanale avait été neutralisée par les services de déminage sous une voiture-école garée devant une auto-école sur l'un des grands boulevards de la ville.
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Par lesprittordu le 17 Octobre 2007 à 19:15Une dizaine de voitures ont été percutées lors d'une course-poursuite, qui n'a pas fait de blessés, mardi matin sur la nationale 20 dans l'Essonne, après qu'une voiture volée eut forcé un barrage des douanes, selon une source policière. Deux douaniers à moto effectuaient un contrôle sur la N20 à hauteur d'Avrainville, lorsqu'une BMW volée quatre jours plus tôt dans le Loir-et-Cher a forcé le passage.
Les occupants de la voiture, trois Tziganes, ont vidé puis lancé un extincteur en direction des douaniers en uniforme qui les poursuivaient, sans toutefois les atteindre. Les fuyards ont percuté une dizaine de véhicules, mais sans faire de blessé, lors de la course-poursuite.
Celle-ci s'est achevée quelques kilomètres plus loin, près d'Arpajon. Les trois occupants de la BMW ont abandonné la voiture accidentée, et ont pris la fuite à pied, après que l'une des douaniers, se sentant menacé, eut tiré un coup de feu en l'air.
Du matériel pouvant servir pour des cambriolages, dont une meuleuse, a été retrouvée dans la voiture. Un hélicoptère de la gendarmerie avait notamment été employé afin de tenter de retrouver les trois individus. L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale.
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