• La police a procédé à une seconde arrestation. Michel a été massacré par ceux qu'il aidait

    HERSTAL Ce sont les enquêteurs de la BJ de Herstal qui sont à l'origine du rebondissement survenu dans le dossier relatif à la mort de Michel Reggers, un Herstalien de 51 ans. L'homme avait été massacré à coups de marteau, le 7 avril dernier.

    Ces coups avaient été portés par Michaël Willemaerts, 36 ans, résidant rue de Visé, à Cheratte. Il avait été interpellé deux jours plus tard, était passé aux aveux et avait été écroué à Lantin pour meurtre.

    Mardi matin, le juge d'instruction Dominique Lizin a également placé sous mandat d'arrêt Catherine De Kepelaere (26 ans), la compagne de Willemaerts. Elle aurait aidé son ami à tendre un piège à Michel avant de participer activement à la dissimulation du cadavre.

    Dans une première version, elle avait expliqué être absente au moment du meurtre. Une version d'ailleurs corroborée par Willemaerts. Mais les limiers herstaliens ne s'en sont pas laissés compter...

    Flash-back. Il y a quelques mois, Michel a rencontré le couple, dont la femme a un enfant en bas âge. Il était loin de se douter que cette nouvelle relation allait le mener à sa perte. S'étant pris d'amitié pour ces jeunes gens, Michel les aidait régulièrement et même financièrement. Mais ce n'était pas assez.

    C'est que Willemaerts et De Kepelaere sont toxicomanes. Aussi le 7 avril dernier, les tourtereaux ont décidé de tendre un piège à Michel. Ils l'ont attiré chez eux pour, semble-t-il l'assommer et lui voler ses cartes bancaires.

    Ainsi, lorsque Michel est arrivé, il était convenu qu'on lui serve une tasse de café. Puis, selon Willemaerts, il devait faire un signe des yeux à sa copine, lui indiquant ainsi qu'il allait passer à l'action. Deux signes plus tard, la jeune femme a quitté le salon pour se rendre, avec son bébé, dans la salle de bain.

    C'est à ce moment que Willemaerts s'est jeté sur sa victime. Mais, au lieu de l'assommer, il l'a littéralement massacré. Aidé de sa compagne, Willemaerts a tenté de placer le corps sans vie de Michel dans un petit container. Comme les jambes dépassaient, la jeune femme a alors demandé à son compagnon de prendre une scie... Heureusement, il n'y en avait pas...

    Le couple a alors traîné Michel jusqu'à la cour de l'habitation. Il l'a ensuite fait glisser dans une citerne d'eau souterraine en le faisant passer par le cylindre d'entrée large de 70 cm. Willemaerts et De Kepelaere y ont également mis les vêtements ensanglantés, le marteau et les essuies qui ont permis de nettoyer les lieux...

    La femme a alors pris la carte bancaire et a opéré un retrait de 500 €. Le lendemain matin, elle faisait ses courses pour 100 €.

    La famille de Michel s'est inquiétée et a donné l'alerte, expliquant d'ailleurs avoir vu la voiture de Michel à Cheratte. La BJ de Herstal s'est alors rendue chez Michaël qui ne résistera pas longtemps aux questions. Catherine est également en aveux.

    source : dhnet.be


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  • Le corps de la jeune femme avait été trouvé samedi matin en forêt de Chantilly, dans l'Oise, par un promeneur. Il gisait au bord d'un chemin situé entre Senlis et Chantilly. Ce mardi, elle a peut-être été identifiée : il s'agirait d'une Suédoise vivant à Paris. Cette étudiante de 19 ans avait été vue pour la dernière fois vendredi soir à la sortie d'une boîte de nuit parisienne.

    Selon le tabloïd suédois Aftonbladet, la jeune Suédoise disparue étudiait le français à l'université de la Sorbonne à Paris. Elle avait travaillé dans un pub irlandais et était actuellement serveuse dans un café. Elle partageait un appartement dans le centre de Paris. L'ambassade de Suède à Paris a précisé que les parents de cette jeune suédoise disparue avaient fait le déplacement à Paris pour identifier le corps.

    De nombreuses traces de coups

    Lors de sa découverte, la victime était "sur le ventre, habillée, en partie brûlée et les mains menottées derrière le dos", selon le substitut du procureur de Senlis Etienne Legarigue de Survilliers. La jeune femme, qui n'avait aucun document sur elle, portait de nombreuses traces de coups, dont un mortel au thorax donné avec un couteau, selon les premiers résultats de l'autopsie pratiquée lundi. Aucune trace de violence sexuelle n'a été relevée. Selon le substitut, le corps avait été en partie brûlé vraisemblablement pour faire disparaître des indices.

    Le magistrat a indiqué mardi que le parquet de Senlis était dessaisi de l'enquête au profit du parquet de Paris. L'enquête, avait dans un premier temps été confiée à la gendarmerie de Senlis, avant que la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne ne soit saisie.

    C'est - il l'oeuvre d'un tueur multi récidiviste ? la question est ouverte ...

     

    source: lci


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  • La police des polices (autrement dit l'IGS, l'Inspection générale des services) a été saisie ce week-end d'une enquête sur un possible racket de prostituées qui mettrait en cause un faux policier... mais aussi deux membres authentiques des forces de l'ordre.

    Le premier suspect dans cette affaire est un agent hospitalier : soupçonné de racketter des prostituées du bois de Vincennes en se faisant passer pour policier auprès de celles-ci, il a été interpellé vendredi. Les enquêteurs s'intéressent désormais également à deux vrais policiers qui auraient détourné des informations issues du système de traitement des infractions constatées (Stic) et des papiers d'identité, selon les tout premiers éléments de l'enquête.

    De "vrais-faux" papiers découverts lors des perquisitions

    Selon une source proche de l'enquête, l'agent hospitalier a argué de sa qualité de policier quand il a été arrêté. Lors des perquisitions, les enquêteurs ont retrouvé des éléments glanés dans le Stic ainsi que de "vrais-faux" papiers, telles des cartes grises, et de nombreuses cartes de visite de vrais policiers.

    La personnalité du suspect et ses présumées relations dans la police, ainsi que la "qualité" des documents trouvés en sa possession, "intriguent" les enquêteurs de l'IGS. Ceux-ci sont ont identifié un capitaine de police et un gardien de la paix en poste dans la capitale "qui pourraient être rapidement entendus dans ce dossier".

    source : lci


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  • L'un des malfaiteurs a été tué dans la fusillade qui a suivi


    VIENNE Un délinquant roumain a été tué et deux de ses complices blessés et arrêtés par la police autrichienne dans la nuit de vendredi à samedi près de Vienne alors que, se faisant passer pour des policiers, ils ont voulu escroquer de vrais policiers en civil, selon l'agence de presse APA.

    Trois gangsters, présentant de fausses cartes de police et arguant d'un "contrôle de papiers" auprès des deux occupants d'une voiture sur une aire de stationnement du boulevard périphérique de la ville, ont eu la malchance de tomber sur deux inspecteurs de la police judiciaire en embuscade, a expliqué le colonel Franz Polzer, de la police judiciaire de Basse-Autriche, à l'APA.

    Ils ont tenté de dérober l'argent, les cartes de crédit et les téléphones portables des agents.
    Quand ces derniers ont révélé leur fonction et voulu appréhender les trois hommes, l'un d'entre eux a ouvert le feu.

    Au cours de la fusillade qui s'en est suivi, l'un des trois agresseurs a été tué et les deux autres blessés et arrêtés.

    Depuis la mi-mars, une nette recrudescence de vols et d'agressions commis par de faux policiers sur les aires de stationnement du boulevard périphérique avait été constatée, a indiqué le responsable de la police judiciaire.

    Les deux inspecteurs en civil avaient été placés en embuscade sur le parking, plusieurs de leurs collègues se tenant prêts à intervenir non loin de là.

    source : dhnet.be


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  • Un employé du cabinet de la ministre de la Culture a été trouvé mort, vraisemblablement d'une crise cardiaque, au domicile parisien du PDG de TF1 International. La découverte de drogue sur les lieux a entraîné une enquête sur les causes de ce décès.

    LES POLICIERS de la 2 e division de la PJ parisienne ont multiplié les investigations, hier, tout au long de la journée après la découverte, jeudi matin, d'un cadavre au domicile d'un haut responsable de TF 1. Les enquêteurs ont tenté de déterminer les circonstances exactes du décès de la victime, âgée de 39 ans, employée au ministère de la Culture et de la Communication en tant que chef du bureau du cabinet. « L'annonce de son décès est une très triste nouvelle, confie Christine Albanel, ministre de la Culture, contactée hier.

    C'était un agent administratif, chargé de l'intendance et notamment de la gestion des déplacements et du matériel. Il était affecté au Louvre, au service du personnel, je crois, avant son arrivée au ministère. » « C'était un homme brillant, dévoué, rigoureux, très travailleur et ponctuel. Nous sommes très affectés par sa disparition », ajoute un proche du ministre.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme aurait succombé à un arrêt cardiaque survenu après une overdose. Son corps a été découvert par Patrick Binet, 55 ans, responsable de TF 1 International, filiale d'acquisition et de distribution de droits audiovisuels du groupe. La veille, ce dernier avait organisé une soirée privée à son domicile et invité deux personnes dont la victime.

    « Le patron de cette filiale de TF 1 a donné rendez-vous, mercredi soir, à ces deux hommes à son domicile situé dans le XI e arrondissement de Paris, précise une source proche de l'affaire. Il s'agissait d'une soirée privée. Des produits stupéfiants et notamment de la cocaïne et du GHB (la drogue du violeur) ont été consommés par plusieurs protagonistes. Le lendemain matin, le propriétaire des lieux a découvert le corps sans vie avant de prévenir la police. »

    « Il n'avait pas l'habitude de recevoir beaucoup de monde ou d'organiser de grosses fêtes »

    Chargés de l'enquête, les hommes de la 2 e DPJ ont procédé aux premières constatations tandis que Patrick Binet était placé en garde à vue.

    « Les deux invités ont dormi au domicile de leur hôte dans une chambre d'ami, ajoute la même source. Quand ce dernier s'est réveillé, il a constaté le décès de la victime et la disparition de la troisième personne. » Rapidement identifié cet homme, prénommé Laurent, âgé de 35 ans et sans profession, s'est livré à la police avant d'être finalement placé, à son tour, en garde à vue. Hier soir une quatrième personne qui aurait pris part au tragique huis clos était toujours recherchée. « Les deux prévenus ont reconnu avoir pris, en compagnie de la victime, divers produits dont de la cocaïne et du GHB au cours de cette soirée », confie un proche de ce dossier qualifié de « très sensible » et révélé par le site Internet du « Point ». « L'autopsie du corps de la victime a eu lieu, ajoute la même source. Une première lecture des résultats laisse apparaître la présence de drogue dans son sang. Une deuxième lecture, plus affinée, est en cours. »

    Depuis près d'une quinzaine d'années, Patrick Binet, responsable d'un des pôles phares de la première chaîne privée occupe un vaste loft d'environ 200 m dans un ancien bâtiment industriel. Un logement qu'il partage avec un autre locataire, absent au moment des faits. D'allure distinguée, le patron de TF 1 International véhicule auprès de son voisinage l'image d'un homme « discret » et « peu chaleureux ». « C'est quelqu'un qui travaille beaucoup et qui n'est pas très expansif », confie un riverain. « Il n'avait pas l'habitude de recevoir beaucoup de monde ou d'organiser de grosses fêtes », détaille-t-on encore dans l'immeuble. Hier soir, Patrick Binet était toujours entendu par les enquêteurs.

    source : le parisien

    photo : le parisien


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  • Guérilla ethnique à Toulouse, Véritable arsenal de gangs mafieux, l'on y trouve du simple flingue au fusil d'assaut, fusil à pompe en passant par le fusil à canon scié. La racaille allogène fait sa petite guerre à Toulouse, depuis maintenant 1 mois. Coups de feu à répétition dans les "quartiers sensibles" (doux euphémisme désignant des territoire occupés), des tirs sont entendus aux abords de Bellefontaine, Reynerie et La Faourette. Il semble bien que la racaille passe au cran supérieur dans sa guérilla urbaine. Deux blessés dans la nuit de mercredi à jeudi 17 avril évacués à l'hôpital Purpan, touchés par du plomb Passage Pergaud, à Bellefontaine, tout ceci sur fond de deal, de vol de scooter, ou de simples rivalités. Des murs et entrées d'immeubles, des voitures, où sont relevées des impacts de tirs en rafale, et l'on retrouve deux hommes étendus touchés-dosés. Les habitants n'ont jamais vu la situation dégénérer et se dégrader à ce point.

     

    source : le billet des faits divers

     


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  • Quatre hommes, soupçonnés d'être impliqués dans l'agression par balles de l'avocat Karim Achoui ( l'ex avocat de Ferrara ) en juin 2007, ont été mis en examen par un juge parisien pour «tentative d'assassinat en bande organisée.

    Parmi eux, figure le tireur présumé, Ruddy Terranova, 30 ans. L'homme a été identifié en garde à vue par l'avocat derrière une glace sans tain à la brigade criminelle, au quai des Orfèvres.

     


    Connu des services de police, il a notamment été condamné en 2005 à trois ans de prison pour avoir roué de coups en 2002 le président du Conseil des démocrates musulmans (CDMF) à la sortie de la mosquée Omar, dans le XIe arrondissement de Paris.

    Selon une source proche du dossier, cet homme de main, qui a côtoyé le milieu islamiste, rêvait d'être admis dans celui du grand banditisme. M. Terranova a contesté les faits qui lui sont reprochés devant le juge. Trois autres personnes soupçonnées d'être impliquées dans la tentative d'assassinat de M. Achoui, ont été mis en examen par le juge Jean-Louis Périès, de la Juridiction interrégionale spécialisée dans la criminalité organisée (JIRS). Les quatre mis en examen doivent être présentés dans la soirée devant un juge des libertés et de la détention (JLD) qui doit statuer sur leur éventuel placement en détention provisoire. Me Achoui, blessé par balles par un inconnu en sortant de son cabinet à Paris le 22 juin 2007, a été l'avocat des frères Hornec, considérés par les policiers comme des parrains du milieu parisien et aujourd'hui écroués.

    source : le parisien

    photo : france soir


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  • Deux policiers âgés de 24 et 29 ans, qui se rendaient au travail sur la même moto, ont été tués en percutant un poids lourd, dont le chauffeur conduisait en état d'ébriété, tôt vendredi matin à Vienne (Isère).

    Les deux gardiens de la paix en civil, qui devaient prendre leur service à 05H00 au commissariat de Vénissieux (Rhône) près de Lyon, roulaient dans un secteur limité à 50 km/h, à l'entrée de Vienne et s'apprêtaient à prendre l'autoroute A7, vers 04H30, lorsque l'accident s'est produit.

    «La moto sur laquelle se trouvaient le conducteur et son passager a percuté un camion de 19 tonnes qui ne respectait pas une interdiction de tourner à gauche et dont le conducteur avait une alcoolémie de 0,42 mg» par litre d'air expiré, a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Vienne, Franck Rastoul, soulignant que cela correspondait «à peu près à 0,80 g» d'alcool par litre de sang.

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    Le taux d'alcoolémie légal autorisé est de 0,25 mg par litre d'air expiré, soit 0,5 g par litre de sang.

    «Le choc a été très violent et les deux motards éjectés ont été tués», a ajouté le magistrat.

    Les deux victimes sont Sylvain Courbon, 24 ans, vivant en union libre, et Mikael Jomard, 29 ans, marié et père de trois enfants, tous deux domiciliés en Ardèche.

    «Le secteur est limité à 50 km/h et l'enquête devra déterminer à quelle vitesse roulait la moto et si la moto n'était pas éventuellement en excès de vitesse», a souligné le procureur.

    Le chauffeur du semi-remorque, un Français de 38 ans qui n'a pas été blessé dans l'accident, a été placé en garde à vue dans les locaux de la CRS de l'autoroute A7.

    La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie se rendra au commissariat de Vénissieux vendredi à 14H30, a annoncé son ministère. Dans un communiqué, la ministre a exprimé sa «profonde émotion» et assuré que «toute la lumière sera faite sur les circonstances du drame».

    «C'est un accident de circulation dramatique et dans le même temps relativement classique, à savoir le choc entre un véhicule très fragile, une moto, et un camion avec en plus un non respect de la signalisation», a expliqué le procureur de la République.

    Le préfet du Rhône, Jacques Gérault, et le député-maire de Vénissieux, André Gerin (PCF), se sont rendus dans la matinée au commissariat de Vénissieux, où une cellule psychologique a été mise en place.

    «Leurs collègues étaient effondrés car c'était des jeunes très sympathiques», a déclaré M. Gerin qui a exprimé son «émotion devant ce drame abominable».

    «Nous sommes consternés et abattus, j'en ai fait des centaines de collègues blessés par balles ou tués, mais dans ces circonstances, c'est dramatique», a souligné pour sa part Jean-Paul Borelly, secrétaire régional du syndicat policier Alliance, joint par l'AFP.

    L'enquête en flagrance a été confiée à la CRS Rhône-Alpes-Auvergne basée à Chassieu (Rhône), sous la direction du parquet de Vienne

    source : le parisien


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  • Un haut dirigeant de TF1 international a été placé en garde à vue jeudi après la découverte du corps sans vie d'un homme à son domicile du XIe arrondissement de Paris, a-t-on appris vendredi de sources proches du dossier confirmant une information du Point.fr.

    Ce dirigeant de la chaîne de télévision privée été placé en garde à vue jeudi dans les locaux de la 2e division de police judiciaire (2e DPJ) après la découverte du corps sans vie d'un homme dans la nuit de mercredi à jeudi dans son appartement de la rue de la Folie-Méricourt (XIe).

    Il se trouvait toujours en garde à vue vendredi matin et son interrogatoire se poursuivait, a-t-on ajouté de même source, sans autre précision.

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    Selon une source proche de l'enquête, la victime, âgée d'une quarantaine d'années, aurait succombé à une crise cardiaque au cours d'une «partie fine» organisée dans l'appartement et au cours de laquelle divers produits illicites auraient été consommés.

    source : le parisien


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  • Deux jeunes pirates de la route, qui s'en prenaient à des personnes âgées sur des petites routes d'Isère, ont été interpellés et mis en examen, selon la gendarmerie. Ces deux frères, âgés de 22 et 26 ans, repéraient leur victime de "préférence dans un lieu isolé", la dépassaient "à bord d'une voiture de location" puis "freinaient subitement pour la bloquer", précise Le Dauphiné libéré. Ils prétendaient avoir été accrochés par leur victime, se montraient très vindicatifs et exigeaient d'être dédommagés.
     
    2000 euros
     
    Une demi-douzaine de septuagénaires ont été ainsi abusés ou ont cédé sous la pression de ces jeunes agresseurs qui opéraient entre Vinay et Voreppe, en Isère. L'une des victimes a ainsi été contrainte d'effectuer un retrait de 2.000 euros au profit de ses agresseurs.
     
    Le plus jeune délinquant a été interpellé le 10 février à Romans-sur-Isère (Drôme). En cavale depuis mai 2007, il n'avait pas réintégré sa cellule de la maison d'arrêt de Tarascon (Bouches-du-Rhône) à l'issue d'une permission de sortie, précise Le Dauphiné. Le deuxième a été interpellé mardi en Ardèche par la brigade de recherches de Saint-Marcellin (Isère). Tous deux ont été mis en examen pour "escroqueries et extorsion de fonds sur personnes vulnérables" par un juge d'instruction de Grenoble et placés sous mandat de dépôt.


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  • Cinq policiers, appartenant à la brigade anti-criminalité (BAC), dont un commissaire, ont été placés en garde à vue à l'Inspection générale des services (IGS, la "police des polices") jeudi puis remis en liberté, après des incidents survenus dans un centre de rétention pour étrangers en instance d'expulsion à Vincennes le 11 février, selon une source policière. La remise en liberté des cinq policiers ne préjuge en rien des conclusions de l'enquête, qui se poursuit, selon cette source. En attendant, aucune charge n'a été retenue contre eux après leur interrogatoire à l'Inspection générale des services, la "police des polices". Au total, dix policiers ont été entendus dans cette affaire.

    Une enquête préliminaire avait été ouverte par le parquet de Paris en raison d'allégations de violences. Des personnes retenues avaient été hospitalisées à la suite de ces incidents. Elles avaient refusé de réintégrer leurs chambres le soir à l'extinction des feux et des téléviseurs. Il avait fallu une intervention des policiers pour qu'ils regagnent leurs chambres. Vers 2h15, certains d'entre eux avaient tenté de mettre le feu à des matelas et à des couvertures dans trois chambres. Les témoignages recueillis par la Cimade, seule association autorisée à entrer dans les CRA, ont fait état d'une intervention "musclée" de la police.

    Intervention filmée 

    Les policiers avaient fait usage de pistolets Taser, des armes à impulsion électrique, ce que la préfecture de police de Paris, qui a autorité sur le CRA de Vincennes, avait confirmé au moins pour un policier. L'intervention de la Brigade anti-criminalité (BAC) avait été filmée par des caméras de surveillance. L'intervention des policiers faisait suite à des échauffourées dans plusieurs centres de rétention.

    Le jour suivant les heurts, la Cimade avait adressé un courrier à l'Inspection générale des services (IGS, la "police des polices"). Deux enquêtes avaient été ouvertes par l'IGS, l'une administrative et l'autre judiciaire. L'IGS a décidé d'entendre jeudi les responsables de la BAC et les gardiens de la paix "afin de faire toute la lumière sur ces incidents". Certains d'entre eux pourraient être remis en liberté jeudi, d'autres pouvant être déférés devant la justice, a encore dit la source sans autre précision.

    Les organisations de défense des étrangers assurent que ces échauffourées sont liées à l'intensification des opérations d'expulsion d'étrangers en situation irrégulière. Les centres de rétention seraient surpeuplés et la tension y serait de plus en plus vive, selon elles. Des objectifs chiffrés annuels d'expulsions ont été fixés à l'initiative du président Nicolas Sarkozy.


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  • Ils sont suspectés d'avoir fait irruption à la salle "La Passerelle" lors d'une fête


    LIEGE La police a appréhendé mardi quatre individus âgés d'une vingtaine d'années suspectés d'être les auteurs d'une attaque à main armée qui a eu lieu, dans la nuit du 27 au 28 mars dernier, lors d'une fête à la salle "La Passerelle", à Bassenge.

    Trois individus, cagoulés et armés, avaient avaient fait irruption dans la salle et menacé toutes les personnes présentes. Les malfaiteurs avaient quitté les lieux en emportant l'ordinateur du DJ. Ils étaient monté à bord d'une voiture où un complice les attendait.

    Le 28 mars au matin, les même quatre individus s'étaient cachés près de la poste de Bassenge afin d'attaquer le percepteur à son arrivée. Mais, c'est d'abord un facteur qui s'est présenté et les malfaiteurs, après l'avoir menacé, avaient pris la fuite à bord du même véhicule qu'ils avaient utilisé la veille. La voiture avait été retrouvé plus tard à Lierse.

    Les quatre hommes, qui sont en aveux, ont été placés sous mandat d'arrêt et écroués à la prison de Lantin.

    source : dhnet.be


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  • KARIM ACHOUI est convoqué aujourd'hui au 36, quai des Orfèvres. Le célèbre avocat devrait être confronté, dans les locaux de la brigade criminelle, à ceux qui ont tenté de l'assassiner l'été dernier. Hier matin, les enquêteurs ont interpellé six hommes soupçonnés d'avoir commandité ou participé au commando.


    Les faits remontent au 22 juin 2007. Il est près de 22 h 15, Karim Achoui sort de son cabinet situé boulevard Raspail, à Paris. Le passager d'un scooter descend, une arme à la main, l'avocat crie « Non, non ! » et court. Son poursuivant fait feu et le touche à deux reprises au « 11,43 », du gros calibre, signature habituelle du milieu. Karim Achoui est hospitalisé. Sorti d'affaire, le pénaliste met en cause la police. « Pour certains flics (...), j'étais l'homme à abattre. », déclarera-t-il. L'enquête est confiée à la crim qui s'oriente vers une autre piste, celle qui mène au grand banditisme. Karim Achoui a la réputation, qu'il conteste vivement, d'être l'avocat du milieu.

    « Le visage de celui qui m'a tiré dessus, je ne l'oublierai jamais »

    Parmi les six personnes placées hier en garde à vue se trouve un frère d'Hamid Hakkar. Ce dernier, surnommé « Julio » parce qu'il aime écouter le chanteur Julio Iglesias, purge actuellement une peine de quinze ans de réclusion criminelle pour l'assassinat d'un membre de son réseau de trafic de stupéfiants. Il attend également d'être jugé, en octobre, devant la cour d'assises pour « association de malfaiteurs » lors de la cavale du braqueur Antonio Ferrara. Hamid Hakkar avait en effet été interpellé, le 10 juillet 2003, en même temps que le Roi de la belle qui venait de s'évader de Fresnes. A l'époque, Antonio Ferrara était lui-même défendu par Karim Achoui. Ce qui vaut d'ailleurs à l'avocat de devoir comparaître lui aussi devant la cour d'assises aux côtés de Ferrara et Hakkar. Il est soupçonné de « complicité d'évasion », accusation que M e Achoui a toujours niée.

    Contacté, hier après-midi, Karim Achoui assure ne pas avoir de lien avec les proches d'Hakkar. « Je ne l'ai jamais défendu. De toute façon, il faut rester prudent et respecter la présomption d'innocence. » Selon deux sources proches du dossier, les gardes à vue pourraient durer jusqu'à quatre-vingt-seize heures, une possibilité prévue par la loi en matière de grand banditisme, et, selon ces mêmes sources, leur issue serait « incertaine ». En revanche, M e Achoui, qui se félicite que « les enquêteurs et le juge d'instruction montrent de l'intérêt pour cette affaire », a une certitude : « Le visage de celui qui m'a tiré dessus, je ne l'oublierai jamais. »

    source : le parisien


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  • Le responsable d'un stand de tir a été grièvement blessé à coups de kalachnikov, samedi vers minuit à Courcelles


    CHARLEROI En raison de la gravité de son état, il n'avait pas encore pu être interrogé dimanche en début de soirée et le - ou les - auteurs étaient toujours recherchés.

    Les faits se sont passés rue Sécheron, à Courcelles, au moment où la victime, Emile Stevens, 52 ans, regagnait son domicile en compagnie de son épouse. Celle-ci était descendue de voiture, et M. Stevens allait ranger le véhicule dans un box de garage proche, quand il a été victime d'une rafale de coups de feu qui l'ont grièvement blessé. C'est un voisin qui, entendant les coups de feu, a fait appel aux services de secours et à la police. Le blessé était, dimanche après-midi, entre la vie et la mort.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, c'est une kalachnikov qui été utilisée pour tirer sur la victime. M. Stevens est depuis six ans le responsable du stand de tir de Marcinelle, où la police s'entraîne habituellement.
    On a retrouvé sur les lieux de la fusillade le portefeuille du blessé. Sa voiture a subi plusieurs impacts de balle. M. Stevens détenait une arme de poing, mais elle n'a pas été retrouvée sur place: c'est un automobiliste qui l'a découverte, quelques heures plus tard, dans une rue de Roux. On ignore si le blessé a eu le temps de s'en servir. L'arme a été confiée aux services balistiques.

    Le dossier a été mis à l'instruction chez la juge Martine Michel

    source : dhnet.be ( site d'information belge )


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  • En un an, ils ont déjà dévalisé huit magasins hard discount en région bruxelloise. À chaque fois très tôt le matin

    BRUXELLES Ils sont rapides, sûrs d'eux et extrêmement bien préparés. Ils, ce sont des membres d'une bande spécialisée dans les braquages de magasins Aldi et Lidl. En un an, ils ont déjà commis huit hold-up en région bruxelloise. À chaque fois, ce petit groupe de trois ou quatre hommes agit de manière précise et déterminée. Il faut dire que la configuration des lieux est toujours la même dans chaque magasin.

    Armés, encagoulés et gantés, ils arrivent en même temps que le gérant. Vers 6 h 45. Qu'importe le nombre d'employés présent, ils agissent de manière très structurée. Ils sécurisent les lieux, s'assurent de pouvoir agir selon leur plan et repartent avec le butin quelques minutes plus tard. Et si un livreur arrive en même temps qu'eux, qu'importe, ils le maîtrisent également et s'adaptent aussitôt.

    Parfois, hélas, ils n'hésitent pas à faire usage d'une violence inouïe pour parvenir à leurs fins : dérober les fonds de caisse des magasins. Et lorsque l'on dit les caisses, c'est effectivement le cas puisqu'ils emportent toutes les caisses métalliques qui se trouvent dans les magasins cambriolés.

    Évidemment, prendre la fuite avec ces pièces lourdes n'est pas évident. Souvent, ils n'hésitent pas à mettre les butins dans des poubelles en plastique ou dans des sacs, plus facilement transportables. À ce jour, aucune des caisses, soit entre 30 et 40 pièces, n'a été retrouvée.

    Le gang a une particularité : les membres de la bande sont interchangeables ! Ici, un des hommes semble être dans tous les casses. Les témoins le décrivent tous de la même manière : un grand mince...

    Au fil des braquages, les malfrats ont modifié quelque peu leur façon d'agir. Parfois, ils arrivent à bord d'une voiture et repartent logiquement dans cette dernière. Parfois par contre, ils dérobent le véhicule d'un des membres du personne.

    Quasiment lors de chaque attaque, les auteurs se sont emparés des GSM de leurs victimes et ont surtout veillé à neutraliser les moyens de communication vers l'extérieur.

    Les montants des butins sont loin d'être faramineux. Il est souvent de 2.000 ou 3.000 euros. Exception faite d'un braquage lors duquel ils sont repartis avec 14.000 euros.

    Les malfrats sont déterminés et pour l'instant impunis, mais la police fédérale, section hold-up, est tout aussi têtue... Si vous avez des informations à communiquer sur ces attaques, n'hésitez pas à composer le 0800/91119.


    source : dhnet.be

    Photo : site internet d'aldi


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  • Un adolescent de 15 ans a été retrouvé nu, inconscient dans une rue de Corbeil-Essonnes (Essonne), vers 1 h 50 ce matin, par un médecin rentrant à son domicile. La victime, qui a reçu plusieurs coups, a été transportée à l'hôpital de la commune dans un état grave. Inconscient, l'adolescent n'a pas pu être entendu par les policiers du commissariat de Corbeil-Essonnes, chargés de l'enquête.

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  • L'AFFAIRE secoue les Dom-Tom depuis quelque temps. Marc Dehi, surnommé « le pasteur des pauvres» par ses supporteurs, a été mis en examen pour « escroquerie en bande organisée» et « exercice illégal de la profession de banquier » par un juge d'instruction de Fort-de-France (Martinique). L'homme et une de ses proches collaboratrices ont été placés en détention provisoire pendant six mois avant de recouvrer la liberté au début du mois de janvier dernier.

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    Marc Dehi a versé une caution de 150 000 € avant de sortir de prison.

    La justice lui reproche d'avoir mis sur pied un système de financement pyramidal : en échange d'un dépôt de 1 500 €, le souscripteur était sensé toucher, au bout de quatre mois, 400 € tous les mois pendant deux ans, soit 9 600 €. Le taux d'intérêt de l'investissement frisant les 600 % ! Mais beaucoup n'ont jamais récupéré leur mise...

    « En Guyane, ce sont des gens très pauvres qui se sont laissé séduire »

    « C'est du jamais-vu ! ironise un proche de l'affaire. Aucun établissement financier au monde ne peut proposer un tel retour sur investissement. Dans ce type d'escroquerie, les premiers clients sont payés avec l'argent des derniers souscripteurs. Cela s'appelle de la cavalerie. Pour l'heure, un peu plus d'un millier de victimes ont été recensées principalement en Guadeloupe, en Guyane et en Martinique. Mais le système s'est étendu à l'île de Saint-Martin, à la Réunion, au Surinam et en métropole, notamment en région parisienne et dans la banlieue de Lyon. »

    Marc Dehi, citoyen américain, d'origine ivoirienne, pasteur au sein de l'Eglise évangélique de la Pentecôte basée aux Etats-Unis, est parvenu à ses fins après avoir mis en place un vaste réseau de « commerciaux ». Les victimes étaient séduites lors de conférences organisées dans de grands hôtels. « Certaines personnes ont souscrit plusieurs plans de 1 500 €. Un client a même été jusqu'à débourser 150 000 €. Beaucoup se sont endettés. En Guyane, ce sont des gens très pauvres qui se sont laissé séduire. En revanche, en Guadeloupe, des fonctionnaires, des chefs d'entreprise et même des banquiers sont tombés dans le panneau. »

    Au cours de leurs investigations, les policiers de la PJ des Antilles ont identifié deux sociétés, Omega Consulting et Neurotones, chargées de collecter les fonds. « Omega Consulting voulait promouvoir son système de souscription en sponsorisant le Tour cycliste de Guadeloupe, relate un enquêteur. Ses dirigeants avaient prévu 11 000 € pour faire de la pub sur le parcours du tour. »

    En épluchant les dossiers de la société Neurotones, les policiers ont également découvert l'existence de cinq plans de souscription baptisés « amélioration de la vie », « préretraite », « retraite », « accession à la propriété » et « spécial étudiants ».

    « En août 2007, des commerciaux ont été repérés en train de démarcher des étudiants sur le campus de l'université de Pointe-à-Pitre, relate un policier. Marc Dehi a été interpellé dans la foulée. Il s'est défendu en expliquant que son système était parfaitement viable. Il prétend se substituer aux banques en investissant l'argent récolté dans des achats divers en Afrique et en Europe. »

    Plusieurs commissions rogatoires internationales ont été délivrées par la justice afin de faire toute la lumière sur de nombreux transferts de fonds

    source : le parisien


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  • Jugé en appel pour une série d'agressions sexuelles sur des enfants et condamné en première instance à quinze ans de prison, un Algérien de 36 ans s'est échappé de l'hôpital de Corbeil-Essonnes (Essonne) où il avait été admis après un malaise à l'audience

    LES PORTES de la salle des assises sont restées closes, hier matin au tribunal d'Evry (Essonne). Là aurait dû s'achever le procès en appel d'Halim Taguine, 36 ans, condamné en première instance en 2006 à quinze ans de réclusion criminelle pour une série d'agressions sexuelles sur des enfants.

    L'homme n'a pas attendu de connaître ce second verdict.

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    Dans la nuit de jeudi à vendredi, il s'est évadé de l'hôpital Gilles de Corbeil- Essonnes , où il avait été admis après un malaise mercredi en cours d'audience. Une enquête interne a été diligentée. D'ores et déjà, il semblerait qu'Halim Taguine ait profité de la relève du service de garde pour s'évanouir dans la nature. Il était environ 2 heures du matin. Dans la chambre 3047, au sein du service de cardiologie, le détenu s'est défait de sa perfusion. Son escorte, deux hommes restés à l'extérieur, ne se rend alors compte de rien.

    Les victimes craignent pour leur sécurité

    Si la fenêtre de la chambre est condamnée de l'intérieur, elle n'est pas garnie de barreaux. Halim Taguine parvient à la forcer. Bien que située au troisième étage, sa chambre donne sur une coursive qui fait le tour du bâtiment. Simplement muni de sa blouse blanche de malade et d'une paire de baskets noires, il n'a plus qu'à rejoindre l'escalier de secours et à prendre le large. Une évasion express, qui était hier dans beaucoup de conversations. « On a appris la nouvelle en prenant notre service, raconte une aide-soignante. Nos collègues de la nuit ont passé leur temps à le chercher. » Sans succès.

    « Ces fenêtres sont très faciles à ouvrir, détaille Stéphane Ournac, délégué CGT du centre hospitalier sud-francilien. Mais ce qui m'étonne, c'est qu'il n'ait pas été transféré à l'hôpital de Courcouronnes, où il y a des chambres sécurisées. Que le Samu l'oriente dans un premier temps vers la cardiologie à Corbeil, rien de plus logique. Mais s'il est avéré que les médecins ne lui prescrivaient que du repos, il n'aurait jamais dû rester là. » En 1998, le braqueur Antonio Ferrara, s'était évadé de ce même hôpital de Corbeil- Essonnes , au cours d'un transfert et grâce à des complices armés. Halim Taguine a-t-il lui aussi été aidé dans sa fuite ? C'est ce que pensent les avocats des parties civiles.

    Dès hier matin, l'identité judiciaire s'est intéressée de près à un gobelet de café apporté par sa femme à Halim Taguine, mercredi lors d'une suspension d'audience, quelques minutes avant qu'il ne soit pris de violentes suées. « Pour mes clients, il est évident que, dès le départ, ce malaise a été simulé, s'agace Martine Azam, avocate de trois familles de victimes. Tout le monde a fait un lien avec le café. »

    Au total, dix victimes étaient parties civiles au cours de ce procès. Dix enfants ou leurs familles, tous agressés sexuellement en 2001 et 2002 sur la commune d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). « Aujourd'hui, le sentiment qui prédomine chez eux, c'est la peur, martèle Nathalie Kilo, qui défend trois jeunes gens, deux garçons et une fille, agressés à l'âge de 9 ans , dont un en sortant de l'école . La jeune fille que je représente habite Aulnay, comme l'accusé. Elle m'a dit ce matin : Il peut venir à la maison. »

    Sans papiers d'identité sur lui, Halim Taguine, Algérien arrivé en France à 24 ans, ne bénéficie en théorie que de peu de soutiens. En France, il ne dispose que de sa femme et de sa soeur. En tout état de cause, il n'aura pas de seconde chance. Hier, la présidente de la cour d'assises a pris une décision dite de « caducité ». En clair : l'appel est annulé, et les quinze ans de prison prononcés par la cour d'assises de Seine-Saint-Denis sont désormais définitifs. Sans présumer d'une éventuelle condamnation pour évasion s'il se faisait reprendre.

    source : le parisien

    photo : le parisien


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  • Un homme de 45 ans soupçonné d'avoir agressé sexuellement une jeune femme dans le métro parisien a été interpellé mercredi à son domicile du Chesnay (Yvelines) après avoir été confondu par son ADN, a-t-on appris vendredi de source policière.
     
    La jeune femme, qu'il est soupçonné d'avoir tenté de violer à la station de métro Pont-de-Neuilly (Hauts-de-Seine) avant de la projeter à terre et de prendre la fuite avait déposé plainte. Ses vêtements avaient été placés sous scellés pour analyses et l'enquête confiée au service régional de la police des transports de la police urbaine de proximité parisienne.
     
    Une trace ADN retrouvée sur ses vêtements correspondait à celui d'un homme répertorié dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG). Après son interpellation l'homme a été placé en garde à vue où il a reconnu les faits et a été identifié par la jeune femme, a-t-on précisé de source policière.

     

    Source: LCI

    Photo: LCI
     


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  • Six mois après la découverte de restes humains au parc Duden à Forest, nouvelles révélations

    BRUXELLES Immédiatement près des restes humains du parc Duden, un bas-ventre et deux cuisses découverts par des promeneurs le 28 septembre 2007 dans le haut d'un parc de Forest, les policiers avaient constaté la présence de deux feuillets sur lesquels était écrit, en lettres capitales, Watashi wa Kira dess , qui veut dire : "Je suis Kira ", la première phrase d'un manga (bandes dessinées nippone) d'une série culte, Death Note , déjà douze volumes parus au Japon, dont huit traduits en français. Six mois après, les restes ne sont pas identifiés. Selon nos infos, ceux-ci ne correspondent à aucun ADN judiciaire connu de l'Institut national criminalistique.

    À ce stade, l'homme auquel appartenaient les morceaux est un Caucasien (Européen) dont on connaît très approximativement l'âge et la taille, et qui était en vie quelques jours au plus avant le 28 septembre.

    L'idée d'un cadavre provenant d'un frigo n'est plus privilégiée. En revanche, des éléments qui n'avaient pas été révélés sont à présent divulgués par les policiers, qui confirment encore mieux l'incroyable mais très macabre jeu de piste.

    En effet, au départ de l'endroit - très visible, ils ne cherchaient vraiment pas à les cacher - où ils ont déposé les cuisses et le demi-tronc inférieur, le ou les auteurs ont tracé une piste, de 45 mètres, qui grimpe vers le talus du parc touchant à l'avenue Gabriel Fauré. Pour ce faire, ils ont utilisé - on reste au Japon ! - du... riz.

    Au bout de la piste, ils ont tracé, dans l'herbe et la boue, un dessin, qui a pu être reconstitué. À la police, certains y voient l'esquisse stylisée de l'entrée d'un temple.

    D'autres y voient plutôt un idéogramme d'écriture japonaise, et c'est l'interprétation actuelle de la police judiciaire fédérale. Selon celle-ci, l'idéogramme pourrait signifier higuchi atsuko, ce qui, en français, se traduirait par "combattant, soldat" .

    L'affaire est sans précédent en Belgique, sans doute même sur la planète, comme nous le confirme notre confrère Koya Ozeki, du Yomiuri Shimbun, le quotidien le plus diffusé au monde (14,2 millions d'exemplaires !). Un témoignage ? Toute information peut être communiquée au 0800/91.119 de la Polfed. Selon la police, les morceaux de cadavre les plus lourds pesaient plus de 20 kilos : il fallait un véhicule. Les éléments ont manqué au légiste pour déterminer la cause du décès - pas forcément criminelle. Après six mois, aucun lien n'a pu être fait avec une personne entre-temps signalée disparue. On ne s'est pas servi du reste, tête, bras, jambes... pour la suite du puzzle. Les morceaux du parc Duden étaient glabres, dépourvus de pilosité, y compris la partie sexuelle intacte. Pas de vêtement. Aucun signe distinctif (tatouages, etc.).

    Des indices peut-être trompeurs font en tout cas penser à l'intervention de deux personnes. Deux feuilles de papier ont été trouvées, du même format A4 mais issues de blocs différents. Ensuite, les scripteurs ont utilisé deux feutres et les graphologues n'excluent pas des écritures différentes, ainsi dans la façon d'écrire le R en lettre capitale.

    La piste des grains de riz conduit à cet idéogramme où les policiers, en le simplifiant à l'extrême, n'ont retenu que quatre traits (pour arriver à la signification higuchi atsuko = combattant, guerrier ), alors qu'une analyse plus fine fait apparaître au moins deux boucles que les policiers pourraient avoir négligées, et conduisent à un autre idéogramme et à une autre signification.

    Spécialiste manga de la DH, Laurent Bothy suggère l'idéogramme (à 7 traits et 62 clés) "kai" dont la signification : "admonester", "réprimander" suggère l'idée de "vengeance" , très présente dans la série manga Death Note .

    Le mystère est entier. L'enquête se poursuit activement.


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