• L'agression a été très violence. Le bijoutier, un Tunisien de 65 ans spécialisé dans la vente de bijoux orientaux en or,  a été retrouvé dans son magasin boulevard de la Chapelle à la mi-journée par un voisine. Il aurait été victime "d'un vol à main armé qui a mal tourné", selon une source policière. L'homme était "menotté sur une chaise, la cage thoracique enfoncée, des marques au visage et en train de suffoquer quand les secours sont arrivés". "Il a succombé à ses blessures ou à un arrêt cardiaque", précise-t-on. L'autopsie du corps aura lieu mercredi pour déterminer la cause exacte du décès. Toujours selon une source policière, "il n'y aurait pas de témoins directs du crime" et des "bijoux ont été volés". La brigade de répression du banditisme BRB de la police judiciaire parisienne a été chargée de l'enquête.

     

     

    source: lci


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  • L'histoire se termine bien, mais aurait pu virer au bain de sang. Un mari trompé, qui avait donné rendez-vous à l'amant de sa femme, a été interpellé lundi à Balzac, en Charente, avec en sa possession 30 kilos de dynamite, 30 litres d'essence, des détonateurs, des cordons détonants et une arme de poing de gros calibre.

    La saisie de l'arsenal d'origine indéterminée a eu lieu sur le lieu du rendez-vous, une aire de repos au nord d'Angoulême, après que l'homme de 59 ans eut été interpellé sans opposer de résistance. C'est le rival, "paniqué", qui a alerté les autorités, a précisé lundi soir la gendarmerie.
     
    La gendarmerie avance deux hypothèses : soit le mari attendait l'amant pour le faire sauter avec lui, soit le mari voulait se suicider devant l'amant. L'enquête devra déterminer les circonstances exactes de l'affaire. Lors de leur intervention, les gendarmes ont mis en place un périmètre de  sécurité, dévié la route départementale 737 pendant près de quatre heures et fait appel au service de déminage de La Rochelle pour prévenir tout risque d'explosion.

     

    source : le parisien


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  • Bruno Cholet, le meurtrier présumé de la jeune Suédoise, retrouvée morte le corps en partie calciné, a été mis en examen et écroué hier soir. La justice dispose à l'encontre de ce maniaque sexuel de nombreux indices.

    L'ENQUETE éclair sur le meurtre de Sussanna Zetterberg, menée par les enquêteurs de la brigade criminelle de la PJ parisienne, s'est soldée, hier soir, par l'incarcération du principal suspect. Le corps de la jeune Suédoise avait été découvert le 19 avril dans un bois de Chantilly (Oise) . Interpellé vendredi à Bougival (Yvelines), Bruno Cholet, 51 ans, employé dans une société de transport de personnes, a été mis en examen, hier, par un juge d'instruction pour « enlèvement et séquestration suivis de la mort de la victime », « vol de cartes bancaires », « escroqueries et tentative d'escroquerie ».

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    Les enquêteurs semblent avoir réuni suffisamment d'indices pour confondre cet homme qui a déjà passé une vingtaine d'années en prison pour des vols et des viols, parfois accompagnés d'enlèvement. « Même s'il n'a rien lâché en garde à vue, avec tous les éléments accumulés contre lui, il ne pourra pas échapper à la prison, se félicite un policier. Ce qu'il y a contre lui, c'est béton ! »

    Un sac au nom de la victime dans sa voiture. La fouille du véhicule de Bruno Cholet, une Ford monospace Galaxy blanche, a permis la découverte d'un sac portant l'inscription « Sussanna 777 ». A l'intérieur, les policiers ont retrouvé un pistolet semi-automatique de calibre 22 long rifle. La victime, tuée d'un coup de couteau au thorax, a ensuite reçu quatre balles tirées en pleine tête. L'arme à feu - un Walther P 22 - découverte dans le sac correspond au calibre du pistolet utilisé par le tueur. Des analyses balistiques, pour déterminer s'il s'agit bien de l'arme du crime, sont en cours. Des balles, trois paires de menottes et un silencieux ont également été saisis dans le même sac.

    Deux témoins à charge. Un chauffeur de taxi a apporté un témoignage déterminant. Ce dernier assure avoir refusé de prendre en charge Sussanna, dans la nuit du 18 au 19 avril, après sa sortie de la discothèque la Scala, située rue de Rivoli à Paris. Ce même homme a également expliqué avoir vu ensuite la jeune Suédoise monter dans un monospace blanc. Un automobiliste a aussi confié aux enquêteurs avoir aperçu, la même nuit, un véhicule du même modèle, coffre ouvert, à proximité du lieu de découverte du cadavre calciné de la jeune femme dans un bois de Chantilly.

    Un comportement troublant. Interrogé au cours de sa garde à vue, Bruno Cholet a reconnu avoir coupé son téléphone portable la nuit des faits. « Il a expliqué que, ce soir-là, il était en train de travailler, confie un proche de l'affaire. Il a également reconnu s'être trouvé, le samedi 19 dans l'après-midi, dans un hôtel où il a été filmé. » Par ailleurs, les policiers ont acquis la certitude que Bruno Cholet a changé intégralement les housses de son véhicule - qui appartient, en réalité, à son employeur - après la date du meurtre.

    Une vidéo du suspect en train d'utiliser une carte bancaire de la victime. Un enregistrement vidéo d'un homme à la corpulence et à l'allure de Bruno Cholet, en train de tenter de retirer de l'argent à un distributeur avec une carte bancaire de la victime, a été réalisé à Senlis (Oise), vers 6 heures, le 19 avril. Cette séquence a été soumise à la compagne du prévenu, une femme de 35 ans. Cette dernière aurait identifié son compagnon.

    Deux cartes bancaires ont été volées à Sussanna Zetterberg et deux retraits d'argent pour un montant de 400 € ont été effectués, toujours à Senlis. « Le prévenu est un maniaque sexuel qui agit aussi parfois pour un motif crapuleux, comme en témoigne sa condamnation devant la cour d'assises des Yvelines en 1989 pour deux viols et pour utilisation frauduleuse de chèques », précise une source proche du parquet de Paris. Les deux cartes dérobées à la victime n'ont pas été retrouvées.

    source : le parisien


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  • Les faits se sont déroulés dimanche, près de la plage La Palmyre en Charente-Maritime. La fillette, accompagnée de sa soeur de 10 ans et d'un garçon de 13 ans, marchait devant ses parents et un autre couple, hors de leur vue, vers 15h15. Un individu s'est arrêté près d'eux, est descendu de son véhicule, porteur d'un masque de protection, et a menacé les enfants d'un pistolet de paintball, selon le chef d'escadron de la gendarmerie Vincent Bereziat. Après avoir ordonné au garçon de se coucher au sol, il s'est saisi de la  fillette et l'a embarquée dans sa voiture. Les  deux autres enfants ont couru prévenir les parents et ont pu donner la description de la voiture, un véhicule de couleur blanche de type Clio ou 205. Le plan Epervier a été déclenché.

    Saine et sauve

    Les militaires de la communauté de brigade de La Tremblade renforcés par des unités limitrophes et du peloton de surveillance et d'intervention de Rochefort  ont quadrillé le secteur. Un véhicule correspondant au signalement a été repéré peu après les faits  sur la route côtière. Se sentant traqué, le conducteur a abandonné sa victime sur le bord de la route à hauteur d'un parking, selon la gendarmerie. Pris en chasse, il a été rattrapé quelques kilomètres plus loin et interpellé à 15h55 à une intersection, a-t-on indiqué de même source.
      
    La fillette, choquée, a été remise à ses parents, saine et sauve. L'homme, âgé d'une vingtaine d'années, était installé à La Palmyre depuis trois mois. Il circulait à bord d'une 205 blanche immatriculée dans la Sarthe et affichant à l'arrière le macaron "A" signalant un jeune conducteur. L'enquête a été confiée à la brigade de recherche de Rochefort et les investigations se poursuivent "en flagrance pour des faits d'enlèvement de mineur". L'homme était toujours en garde à vue lundi matin.

    soucre et photo : lci


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  • Un homme de 73 ans a été interpellé en Basse-Autriche (est). Il aurait abusé d'elle pendant des années.

    Une nouvelle affaire spectaculaire de séquestration a éclaté en Autriche avec la révélation dimanche du cas d'une femme séquestrée pendant plus de 20 ans par son propre père qui lui aurait fait sept enfants, selon les enquêteurs.

    Dans un état psychologique et physique précaire, Elisabeth Fritzl, 42 ans, a affirmé à la police avoir vécu enfermée dans la cave de la maison familiale à Amstetten en Basse-Autriche (est) depuis le 28 août 1984. Ce jour-là, le père, Josef, aujourd'hui âgé de 73 ans et mis sous les verrous samedi soir, lui aurait administré un produit anesthésiant et l'aurait menottée dans une pièce en sous-sol.

     


    Elle avait été portée disparue officiellement

    Officiellement, elle avait été portée disparue et aurait même envoyé une lettre à ses parents demandant qu'on arrête les recherches pour la retrouver. Les autorités en avaient déduit qu'elle était tombée entre les griffes d'une secte. En réalité, elle a dû endurer des années de calvaire dans la cave du petit immeuble où résidait la famille au cours desquelles son père a «régulièrement abusé» d'elle, comme elle l'a raconté à la police. Elle aurait ainsi eu sept enfants de son père pendant sa détention.

    Tous ont, semble-t-il, été mis au monde en secret dans ce sous-sol où elle vivait recluse. L'un d'eux, un jumeau, serait décédé un mois après sa naissance, faute de soins, et son corps aurait été brûlé, selon les enquêteurs. Trois filles et trois garçons aujourd'hui âgés de 5 à 20 ans seraient ainsi issus de cette liaison incestueuse et des tests ADN doivent être effectués afin d'obtenir plus d'informations sur les liens de parenté.

    L'affaire a été découverte après l'hospitalisation à la mi-avril d'une jeune fille de 19 ans transportée dans un état très grave à l'hôpital d'Amstetten. Afin de déterminer la nature de l'affection dont souffre la jeune Kerstin, les médecins ont cherché à entrer en contact avec la mère, Elisabeth Fritzl.

    Ces recherches ont permis de découvrir la séquestration samedi soir. Au fil des années, le père d'Elisabeth aurait réussi à adopter trois des enfants, faisant croire à sa femme, Rosemarie, et aux autorités, qu'ils avaient été déposés devant la porte de leur domicile à quelques années d'intervalle. Avec chacun des bébés déposés âgés de quelques mois, il y avait une lettre signée d'Elisabeth disant qu'elle ne pouvait subvenir à leurs besoins car elle avait déjà d'autres enfants.

    Ces trois-là, dont les grands-parents Josef et Rosemarie ont eu officiellement la garde, ont semble-t-il pu suivre une scolarité normale et vivaient dans leur maison alors que leur mère et leurs trois autres frères et soeurs (une fille de 19 ans, un garçon de 18 et un de 5) végétaient dans la cave. Seul le père les aurait ravitaillés alors, son épouse ignorant leur présence.

    Le père se mure dans le silence

    Ce n'est que samedi qu'ils auraient été libérés, le patriarche ayant alors déclaré à sa femme qu'Elisabeth avait soudainement reparu avec ses enfants. Face aux accusations de «crimes massifs» de sa fille Elisabeth, qui aurait subi des sévices sexuels depuis l'âge de 11 ans, Josef n'a accepté que dimanche soir de révéler le code de la serrure électronique d'accès à la cache dans la cave du petit immeuble comptant quatre appartements.

    Il s'agit d'un espace étroit avec plusieurs pièces d'1m70 sous plafond doté de sanitaires et d'un téléviseur, selon la police. Comme Kerstin, toujours entre la vie et la mort à l'hôpital, l'état de santé de sa mère, qui paraît 20 ans de plus que son âge, et de ses frères et soeurs est préoccupant.

    Ni les voisins, ni les services sociaux ne semblent avoir été alertés dans cette affaire qualifiée de cas le plus dramatique de l'histoire criminelle autrichienne. Elle rappelle celui de Natascha Kampusch, retenue pendant huit ans et demi dans le sous-sol d'un pavillon de la banlieue de Vienne entre mars 1998 et août 2006 lorsqu'elle a réussi à s'échapper. Son ravisseur s'est suicidé le soir de l'évasion.

    source : le parisien


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  • Le parquet de Paris a ouvert dimanche après-midi une information judiciaire pour l'enlèvement et le meurtre de l'étudiante suédoise retrouvée morte le 19 avril en forêt de Chantilly (Oise).

    Le parquet de Paris a ouvert dimanche après-midi une information judiciaire pour l'enlèvement et le meurtre de l'étudiante suédoise retrouvée morte le 19 avril en forêt de Chantilly (Oise).

    Cette information judiciaire vise les chefs d'«enlèvement et de séquestration suivi de la mort de la victime, vol de deux cartes bancaires et escroquerie et tentatives, le tout en état de récidive légale», a-t-on précisé de même source. Ces faits sont passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.

     


    L'homme soupçonné d'être le meurtrier a été déféré devant le parquet de Paris dimanche à 16H30 à l'issue de 48 heures de garde à vue, avant d'être vraisemblablement présenté à la juge de permanence, Géraldine Rigollot, qui devrait lui signifier sa mise en examen en présence d'un avocat commis d'office.

    Il devrait ensuite être présenté à un juge des libertés et de la détention (JLD) qui se prononcera sur son placement en détention provisoire, requis par le parquet.

    source : le parisien


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  • Le tueur du parc Duden recommencera !

    BRUXELLES Carine Hutsebaut est l'une des très rares - avec l'Uccloise Danièle Zucker engagée dans l'affaire des Tueries - profileuses belges formées aux États-Unis à l'école du FBI.

    Carine Hutsebaut, contactée hier en Espagne, publie, aux Éditions de l'Arbre, un ouvrage étonnant Entretiens avec une profileuse que vous trouverez en librairie.

    Pour la DH, la profileuse, qui ne dispose que des articles de presse et n'a pas accès au dossier, tire des conclusions sur l'affaire des Mangas, ces restes trouvés en septembre 2007 dans le Parc Duden à Forest, avec des références claires à une bande dessinée japonaise et une piste incroyable de grains de riz aboutissant à 50 mètres à un possible signe d'écriture japonaise.

    Pour Carine Hutsebaut, la police "n'en a pas fini avec cette affaire" : que ce soit le fait d'homme(s) ou de femme(s), "cette ou ces personnes referont parler d'elles mais ce sera après une période de refroidissement de quelques mois, le temps pour elle(s) de vivre le fantasme jusqu'au bout".

    Un fantasme dans lequel la profileuse trouve des connotations sexuelles fortes, des signes clairs d'homosexualité y compris au niveau de la victime.

    Dans la mesure où celle-ci n'est toujours pas identifiée après sept mois, Carine Hutsebaut encourage les enquêteurs à explorer la piste d'une victime (homme) liée aux milieux de la prostitution. Avec, très présente aussi, cette idée de vengeance, de "quelqu'un qui a cherché à brusquer le système et affirmer son désir de nettoyer la société". Plutôt jeune(s) et qui devai (en) t se trouver pas loin du parc Duden pour jouir visuellement de l'effet qu'allait déclencher la trouvaille des restes humains dépecés.

    Pour autant, Carine Hutsebaut ne peut exclure deux femmes associées, par exemple victimes de viols.

    Aucun doute, en tout cas, que le fait de heurter le système fait partie du message. "Sinon, on les aurait cachés. Or, les restes étaient exposés de façon à être trouvés très vite".

    Le choix des morceaux n'est pas innocent : deux cuisses et le bas-ventre, "trois références sexuelles et même plutôt homosexuelles, vu la position des fesses."

    La profileuse ajoute une connotation supplémentaire de pouvoir, claire à ses yeux dès lors que le pubis de la victime était dépourvu de poils.

    Rasé ou plutôt épilé ? Pour Mme Hutsebaut qui l'ignore (la presse ne l'a pas précisé), c'est un détail capital.

    Sur les deux lettres trouvées près des morceaux, les mots Je suis kira sont en capitales : selon la profileuse, une manière de "hurler son message".

    Manga et absence de poils pubiens, "pratique à la mode chez les jeunes adultes", renvoient plus à la tranche 20/45 ans que 45/70. Les mots sont en couleurs : selon la profileuse, le rouge indique la rage et la passion, le jaune l'envie et la jalousie.

    Le choix de la partie supérieure du Parc Duden - habitat bourgeois - n'est pas davantage innocent : Carine Hutsebaut encourage les enquêteurs à s'intéresser aux Asiatiques, aux Japonais du quartier, à quelqu'un qui depuis son véhicule ou son appartement pouvait observer l'effervescence, "le moment pour lui où le jeu commençait" .

    Elle ose un parallèle avec une affaire terrible de cannibalisme à Paris des années 1980, l'affaire Sagawa, meurtrier japonais cannibale de sa victime étudiante hollandaise et pourtant accueilli presque en héros à son retour au Japon. "En tout cas, quelqu'un d'impulsif, en recherche d'identité sur sa sexualité, en souffrance au niveau de ses structures mentales, avec un message qu'il remue depuis longtemps, message sans doute relatif à l'homosexualité, qu'il adresse peut-être inconsciemment à son père. Quelqu'un qui veut être entendu, écouté et reconnu; nage dans le symbolique mais n'en est pas moins très organisé au niveau de l'exécution. Qui vit dans l'environnement direct et recommencera, c'est clair, après la période classique de refroidissement, souvent de l'ordre de 18 mois".

    Et ses questions posées aux enquêteurs, comme celle de savoir si les restes étaient lavés, ce qui serait alors une marque de respect pour la victime.

    AFFAIRE A SUIVRE .......




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  • Gardienne modèle à Nantes, Sylvie Minoia, 43 ans, est suspectée d'avoir tenté de faire assassiner son époux, qui a réchappé de peu à 17 coups de couteau. Elle comptait financer son projet avec une collecte réalisée dans l'immeuble.

    DEPUIS UN MOIS, les habitants de la résidence de la Fleur-d'Armor à Nantes sont déboussolés : ils ne peuvent plus compter sur Pascal et Sylvie Minoia, leurs fidèles concierges. « Un couple de gardiens sensationnels, insiste Henri, un vieux résident à l'unisson de tous ses voisins. Des gens efficaces et aimables comme on n'en avait jamais eu.

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    » Mais désormais, Pascal, 47 ans, n'est plus en mesure de rendre des services et Sylvie, 43 ans, d'assurer avec autorité l'entretien de cet immeuble d'un quartier paisible. Et pour cause. Pascal a bien réintegré sa loge mais il peine à se remettre des 17 coups de couteau qu'il a reçus le 20 mars. Quant à Sylvie, elle dort en prison, soupçonnée d'avoir commandité cette agression ultra-violente au terme d'une mise en scène machiavélique. « Incompréhensible », enchaînent des riverains estomaqués qui se demandent si la mystérieuse quête orchestrée par leur si dévouée concierge ne s'intégrait pas dans son entreprise criminelle.

    En apparence, tout avait pourtant l'air de bien se passer au sein de ce couple originaire du Pas-de-Calais et parents de quatre enfants. « Ils paraissaient tellement heureux », souffle Dominique Raballand, l'ancien président de la copropriété, qui s'était chargé de recruter ces employés « bosseurs ». « On n'avait aucun problème avec Sylvie », confiait, mercredi, un membre de la famille de Pascal. Et pourtant, au fond d'elle-même, la « gentille gardienne » ruminait une vengeance.

    Le 20 mars, Sylvie Minoia se rend place du Commerce, en plein coeur de Nantes. Là, filmée par des caméras de vidéosurveillance, elle s'adresse à deux jeunes SDF pour leur faire une étrange proposition : 30 000 € en échange de l'agression de son mari. Les deux marginaux d'une trentaine d'années acceptent. Le soir même, Sylvie met son funeste plan à exécution. Elle provoque une fuite d'eau dans une cave, dévisse les ampoules et envoie son époux vérifier. Tapis dans l'ombre, les deux « tueurs » s'acharnent sur l'infortuné mari qui parvient, malgré ses blessures, à se hisser jusqu'à sa loge.

    Elle prétend que son époux était violent

    Chargés de l'enquête, les policiers du commissariat de Nantes progressent rapidement. Dès le lendemain, ils interpellent Sylvie Minoia et les deux marginaux. Face aux enquêteurs, l'épouse admet son implication mais la minimise. « Elle a expliqué qu'elle ne voulait pas faire tuer son mari mais simplement lui donner une bonne leçon », confie M e Nassera Hajji, qui assurait sa défense jusqu'à cette semaine. « D'après les instructions qu'ils avaient reçues, les agresseurs avaient compris que si leur cible restait sur le carreau, on ne leur demanderait pas de rembourser », explique, lui, M e Loïc Cabioch, l'avocat d'un des deux SDF. Mise en examen pour complicité de tentative d'assassinat, la gardienne justifie son geste par la « violence » supposée de son époux et non par le déblocage d'une assurance vie conséquente en cas de décès. En route pour la cour d'assises, Sylvie Minoia n'a, semble-t-il, pas agi sur un coup de tête. L'enquête a permis de découvrir qu'il y a quelques mois elle avait recruté un tueur. Mais, après avoir encaissé 2 500 € l'homme avait disparu. Nous avons aussi rencontré un homme qui affirme avoir été contacté  . La justice s'intéresse également à une agression dont avait été victime Pascal Minoia dans le Pas-de-Calais en 2001.

    Dans les cages d'escalier, on s'interroge sur les curieuses requêtes de la concierge. « Cet été, elle m'avait demandé 2 000 € en m'expliquant que son gendre était malade et qu'il fallait payer une opération aux Etats-Unis. Elle avait insisté pour que je n'en parle pas à son mari », raconte Nadine, qui avait récupéré son dû et dont le cas est loin d'être isolé. Dans sa loge, Pascal a bien du mal à encaisser.

    source : le parsien  


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  • Il était 23 heures, jeudi soir, quand une patrouille de police a pris en chasse une voiture qui effectuait un rodéo près de la cité de la Fontaine-Mallet à Villepinte, en Seine-Saint-Denis. Aux abords d'un gymnase, elle a été victime d'une "embuscade" tendue par une vingtaine de jeunes gens cagoulés, qui leur ont lancé une volée de pierres et de pavés, a précisé à l'AFP le chef de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis, David Skuli.
     
    Au moins trois pavés ont touché la voiture, brisant le pare-brise. Le conducteur a reçu un pavé en plein visage, qui lui a cassé le nez, et son passager a été légèrement blessé par des débris de verre. Le véhicule de police a pu quitter les lieux, qui ont été peu après contrôlés par de nombreux policiers, mais les jeunes agresseurs avaient disparu.
     
    "Nous allons mener l'affaire de façon à ne pas laisser un millimètre carré de terrain à ceux qui s'en prennent aux fonctionnaires de police", a assuré David Skuli, en précisant que des empreintes et des fragments d'ADN avaient été retrouvés sur les pavés

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  • Deux arrestations après deux braquages à Charleroi


    CHARLEROI Deux braquages récemment commis le même jour à Roux et à Jumet ont donné lieu à deux arrestations jeudi à Charleroi, a-t-on appris de source policière.

    Le 9 avril dernier, un individu agissant à visage découvert avait attaqué une épicerie de la rue de Courcelles, à Roux. Il s'était d'abord fait passer pour un client le temps d'un premier achat. Il était revenu un peu plus tard, toujours à visage découvert mais armé et il avait braqué l'épicière ainsi que son frère qui était arrivé pendant l'agression. Il avait pris la fuite en quad mais il avait été reconnu par les enquêteurs qui disposaient d'images enregistrées pendant le braquage par un système de surveillance. Il s'agissait d'un individu né en 1982, déjà impliqué dans des dizaines de faits de vols avec violences, de coups et blessures.

    Peu après cette première interpellation, un deuxième individu a été intercepté: il avait, avec le premier, participé à un autre vol à main armée commis le 9 avril dernier dans un cabinet d'orthodontie installé rue Wauters, à Jumet. Ils avaient fait irruption avec un complice dans le cabinet pour menacer le personnel et les patients présents avant de repartir avec le contenu de la caisse et un PC portable.
    Les deux braqueurs ont été placés sous mandat d'arrêt et écroués à la prison de Jamioulx.

     

    source : dhnet.be


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  • Ruddy Terranova, le tireur soupçonné d'avoir blessé l'avocat Karim Achoui en juin 2007 était, à l'époque des faits, utilisé comme indicateur par la police.

    Karim Achoui (Sipa)

    Karim Achoui

    Le tireur soupçonné d'avoir blessé l'avocat Karim Achoui en juin 2007 était, à l'époque des faits, utilisé comme indicateur par la police a-t-on appris, mercredi 23 avril, de sources proches du dossier. La police a ensuite mis fin à sa collaboration en raison de sa dangerosité.
    Le 22 juin, Me Achoui avait été sérieusement blessé par le passager d'un scooter qui avait ouvert le feu à trois reprises, alors qu’il quittait son cabinet boulevard Raspail (VIIe) pour gagner sa voiture.
    Le tireur présumé, Ruddy Terranova, 30 ans, et trois autres hommes soupçonnés d'être impliqués dans l'agression, ont été mis en examen vendredi dernier par le juge Jean-Louis Périès pour "tentative d'assassinat en bande organisée" et écroués.
    Un rapport du SRPJ de Versailles joint au dossier d'instruction indique que Ruddy Terranova était inscrit, entre novembre 2006 et le 20 octobre 2007, au bureau central des sources du SIAT (Service interministériel d'assistance technique, chargé de la formation des agents infiltrés, de l'assistance technique aux opérations d'infiltrations dans les réseaux du crime organisé).
     
    source : le nouvel obs

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  • Sous le charme de la barmaid du Jaguar, un gangster ne voulait plus partir...

    BRUXELLES Un hold-up s'est déroulé jeudi passé dans un hôtel de rendez-vous de la région bruxelloise, au Jaguar qui, en trente ans, n'en avait jamais subi un seul. Ce hold-up est particulier : visiblement tombé sous le charme, un gangster, comme dans un état second, a laissé, en toute connaissance, ses empreintes bien nettes sur un lecteur de DVD qu'il n'a même pas voulu emporter ! La barmaid comme le prenant en pitié lui a même conseillé de se montrer plus prudent. Mais vraiment la tête lui tournait et l'homme dans son état second, lui a répondu qu'il "se moquait de se faire prendre". Si les empreintes parlent, c'est deux ans garantis minimum pour vol avec violences. Les gangsters ont commis toutes les imprudences. La première règle d'un hold-up réussi, c'est la rapidité d'exécution : jamais plus de 5 minutes. Au Jaguar, les truands sont restés 25 minutes.

    En arrivant, de vrais durs. En partant, ils étaient devenus doux comme des agneaux ! Ils ont même autorisé une fille à récupérer ses papiers d'identité, pour lui épargner les pertes de temps à la commune. Ils ont rigolé. Un des trois, le moins pressé de s'en aller, le plus bavard aussi, n'en finissait plus avec ses confidences. "Moi comme gangster, je ne frappe jamais les femmes. D'ailleurs : j'ai une femme à la maison. Eh bien, elle non plus, je la tape jamais !'"

    Quand il a fallu prendre congé, pour un peu, ils auraient fait la bise. Ils ont demandé à Fabienne Pitou la patronne et à Amanda la barmaid : "Allez les filles, salut. Soyez sympas quand même : n'appelez pas les flics trop vite".

    Celui qui semblait diriger avait dû rappeler ses lieutenants à l'ordre. "Eh toi, t'arrêtes de lui causer".

    Incroyable ! Pour les policiers, la bande n'en serait pas à son coup d'essai. L'enquête fait le lien avec plusieurs faits perpétrés depuis 24 mois en région bruxelloise principalement sur des salons de massage.

    Ils ont attendu le départ des derniers clients du Jaguar Club , vers 2 h 50 du matin. Ne restaient plus que les hôtesses. Amanda, à la réception, a hésité. Il n'était pas normal que l'homme qui sonnait à l'entrée portait une casquette; elle a quand même ouvert, et Fabienne, la patronne, a immédiatement reçu deux coups de poing au visage. Tous trois étaient armés. L'un d'eux est grimpé à l'étage et a fouillé les chambres, la Lovely, la Round, la Versace. Tandis qu'en bas les autres voulaient savoir si les caméras enregistraient. Malgré la surveillance, Fabienne a pu leur dissimuler astucieusement plusieurs bijoux qu'elle portait sur elle.

    Au début, ils étaient nerveux, surtout le chef, un long mince, 1m88, à visage découvert : "Ta g.., salope, fais pas ch..." Mais les filles du Jaguar savent y faire, le ton s'est adouci. Fabienne : "A un moment, il y en a même eu un qui voulait laisser tomber".

    Dans ce genre de lieu, beaucoup se paie par carte. Au final, les gangsters n'ont pu prendre qu'un appareil photo, une caméra, deux tirelires contenant deux ans de pourboires, un sac Vuitton et 340 euros. Fuite à bord d'un break gris métal au volant duquel un quatrième attendait prêt à démarrer au retour des trois autres. "Des Bruxellois", de l'avis de toutes.

    L'enquête se poursuit activement.

    source : dhnet.be


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  • Six membres du clan fichés au grand banditisme comparaissent devant le tribunal correctionnel d’Amiens pour vols de voiture et cambriolages. Les policiers les soupçonnent d’être à la tête de nombreux trafics en région parisienne.

    Les Hornec, également surnommés "les H" ou "Les manouches de Montreuil" ce sont trois frères. Jean-Claude Hornec alias "Eddy Mitchell" ou "Lounes", l’aîné, née en 1953, puis Mario Hornec alias "Le Corse", le diplomate de la famille, née en 1958, et Marc Hornec alias "Forain", le benjamin et chef de la famille, né en 1966, soupçonné par quasiment toutes les polices de la région parisienne de contrôler le "Milieu". Les frères Hornec sont considérés comme de véritables parrains mafieux, et sont fichés au grand banditisme.


    Issu de la communauté manouche des gens du voyage, le clan Hornec recrute dans la famille. Depuis le début des 1990, il est soupçonné d’être impliqué dans diverses activités criminelles : braquages de fourgons, "saucissonnages", pillages d’entrepôts, machines à sous clandestines, corruption de fonctionnaires de police, meurtres, rackets de boîtes de nuit, de bars et de restaurants et divers trafics.


    Policiers et gendarmes prêtent aux mythiques frères Hornec d’avoir "bâti un empire" à partir "de blanchiment d’argent, trafics de machines à sous ou de drogue". De même, dans des affaires retentissantes de meurtres de présumés caïds et chefs du milieu, comme Claude Genova en 1994 ou le célèbre Marseillais Francis Vanverberghe, dit "le Belge", en 2000, leurs noms ont été évoqués comme présumés commanditaires. Enfants de la banlieue est de Paris, les frères Hornec ont toujours affirmé être une "famille sans histoire". "Je ne suis le parrain que de mes filleuls", dit souvent Mario.

     



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  • Polices locales, unités spéciales... On croyait les braqueurs encore dans le Aldi. Il n'en était rien

    LIÈGE Périmètre de sécurité, magasins fermés, riverains confinés, route barrée, les autorités judiciaires liégeoises n'ont pas lésiné sur les mesures de sécurité, mardi matin, à l'occasion d'un braquage survenu au magasin Aldi, situé rue de Saint-Nicolas, à Liège.

    Tôt le matin, trois hommes encagoulés et armés de pistolets et de couteaux, se sont cachés aux abords du parking du magasin. Puis, vers 7 h 40, ils ont attaqué deux membres du personnel qui venaient d'arriver. Leur but était de maîtriser ces personnes, de rentrer dans la grande surface et de leur faire ouvrir le coffre-fort.

    Mais deux autres personnes passaient par-là. Elles traversaient le parking de la grande surface, l'une pour se rendre à la clinique de l'Espérance toute proche, l'autre pour aller travailler. Également braquées, elles ont été ramenées dans le magasin.

    Une longue attente a alors commencé pour les otages et les malfaiteurs car à la suite de la temporisation, l'ouverture du coffre n'était pas possible immédiatement.

    Mais vers 8 h 30, un camion de la société s'est arrêté sur le parking pour assurer la livraison des marchandises.

    Voyant l'employé arriver, deux braqueurs sont sortis du magasin pour le maîtriser. "J'ai alors pris mes jambes à mon cou ", racontait l'homme à des collègues. "Ils m'ont suivi sur plusieurs dizaines de mètres. Mais j'avais un peu d'avance et je l'ai gardée."

    Le coup était éventé. Les malfaiteurs se sont cachés dans le fond du magasin avant de prendre la fuite, probablement par une porte latérale.

    Les otages, menottés et couchés sur le sol, ne les ont pas vus partir. Du coup, lorsqu'ils ne les ont plus entendus, ils ont pris la fuite à leur tour et ont rapidement rejoint les policiers, croyant qu'un ou deux braqueurs se trouvaient encore à l'intérieur, puisqu'une employée qui arrivait en avait vu un sortir.

    Le dispositif a été déclenché. La fouille du magasin a commencé et tout a été passé au peigne fin à deux reprises par la section spéciale de la police fédérale.

    Ce n'est que vers 11 h 30 que l'impressionnant dispositif a été levé.

    Tous les malfaiteurs avaient réussi à prendre la fuite en n'emportant comme butin que l'argent que les otages avaient sur eux, ainsi que leurs cartes de crédit.

    L'enquête continue et les policiers ont lancé un appel à témoins. Ces derniers peuvent contacter les enquêteurs au 04/232.50.50

    source : dhnet.be


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  • Grièvement blessé de plusieurs tirs d'arme automatique, Richard Casanova n'a pas survécu. Ainsi s'est achevé mercredi à Porto Vecchio le parcours de cet homme de près d'une soixantaine d'années, décrit de source policière comme "une gloire locale du milieu" corse, soupçonné d'être "un des piliers du gang bastiais de la Brise de Mer" et d'avoir participé à l'attaque à main armée contre l'Union des Banques Suisses (UBS) à Genève. Une affaire qui n'est officiellement toujours pas close, et dans laquelle le butin n'a jamais été retrouvé.

    L'attaque avait eu lieu le 25 mars 1990 : ce jour-là, cinq personnes dévalisaient une succursale de l'UBS en maîtrisant deux gardiens et neutralisant les alarmes. Ils avaient emporté environ 220 kg de billets de banque en diverses devises. Un butin estimé à l'époque à 31 millions de francs suisses, soit plus de 20 millions d'euros. Mais c'est ce butin énorme, précisément, qui devait provoquer la division parmi les auteurs du braquage. Car un complice présumé, Michel Ferrari, s'estimant lésé dans le partage, dénonçait bientôt les auteurs présumés du hold-up.

    Des accusateurs qui refusent de venir à l'audience

    Le procès aux assises se tenait en juin 2004 à Paris. Sur les cinq suspects, seuls quatre comparaissaient : les frères Joël et Jacques Patacchini, André Benedetti et Alexandre Chevrière. Manquait Richard Casanova, alors en cavale. Manquaient également les accusateurs suisses, dont deux ont depuis été condamnés dans leur pays, qui avaient accablé les cinq suspects lors de l'enquête avant de refuser de venir à l'audience de Paris. Le procès se soldait finalement par l'acquittement des accusés. Depuis, le parquet a fait appel mais l'affaire n'a toujours pas été rejugée. Coïncidence curieuse, trois jours après le verdict, Alexandre Chevrière était blessé gravement par balles.

    Quant à Richard Casanova, il devait rester en cavale pendant plus de 15 ans, jusqu'à son arrestation en 2006. A la grande satisfaction des enquêteurs : "C'est une très belle prise, l'homme est un gros poisson du grand banditisme", avait alors estimé une source proche du dossier. Mais la police devait bientôt déchanter : Richard Casanova était remis en liberté quelques mois plus tard. La justice s'était alors appuyée sur l'acquittement dont avait bénéficié ses quatre complices présumés. Cette décision, assortie du paiement d'une caution de 150.000 euros, avait été prise par la cour d'appel de Paris, contre l'avis du parquet général qui avait requis le maintien en détention de Casanova.

    Jamais jugé, Richard Casanova est donc mort ce mercredi, devant le parking d'un garage, avant l'arrivée des secours. "La direction régionale de la police judiciaire a été saisie de l'affaire. Richard Casanova sera autopsié jeudi à Ajaccio", a précisé le procureur de la République de cette ville. L'autopsie sera pratiquée par un médecin-légiste venu de Marseille, car le praticien d'Ajaccio a renoncé à son poste et n'a pas encore été remplacé.

     

    source : lci


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  • Sussanna, étudiante suédoise retrouvée assassinée samedi dans la forêt de Chantilly (Oise), a été kidnappée par un taxi. Les enquêteurs veulent savoir s'il s'agit d'un vrai taxi ou d'une personne qui aurait maquillé son véhicule.

    «JE SUIS dans un taxi. Le chauffeur est bizarre. » Ce texto, envoyé par Sussanna Zetterberg à l'une de ses amies, est la dernière preuve de vie de l'étudiante suédoise.

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    Il est alors 4 h 45 samedi et la jeune fille âgée de 19 ans a quitté la Scala, rue de Rivoli, depuis un quart d'heure environ. Une heure et quart plus tard, un automobiliste qui circule dans la forêt de Chantilly dans le secteur d'Avilly-Saint-Léonard aperçoit des flammes dans les sous-bois à quelques mètres de la route. Il prévient les pompiers, mais décrit un objet plutôt qu'un corps. Les pompiers ne se déplacent pas. Vers 11 heures, c'est un promeneur qui découvre le corps partiellement calciné de Sussanna. La jeune fille est morte d'un coup porté avec une arme blanche au niveau des poumons. Selon nos informations, le tueur l'aurait achevé de quatre balles dans la tête.

    Tout le mystère de la mort de l'étudiante suédoise réside donc dans un créneau horaire assez restreint, entre 4 h 30 du matin et 6 heures. Une heure trente pour faire les 50 km qui sépare la rue de Rivoli du chemin forestier, tuer Sussanna et mettre le feu à la partie inférieure de son corps avec de l'essence. Des analyses sont toujours en cours pour déterminer si la victime a subi des violences sexuelles. « Il n'y a pas d'éléments matériels disponibles à ce stade. Mais il y a une forte présomption », rapporte une source proche de l'enquête. Un autre élément est à la disposition des enquêteurs de la brigade criminelle. Vers 6 heures samedi matin, pratiquement à l'heure même où un témoin signale des flammes dans le sous-bois, la carte bancaire de Sussanna est utilisée sans doute par son tueur dans le distributeur automatique de la BNP de Senlis, à dix minutes de là. Le retrait échoue.

    « On peut avoir affaire à un prédateur qui met en scène son crime »

    Depuis qu'elle a été saisie du dossier Zetterberg, la brigade criminelle mobilise 35 policiers sur l'affaire. Il s'agit bien sûr de cerner l'entourage de la jeune fille, mais surtout d'obtenir le maximum de témoignages relatifs à sa disparition. Les policiers cherchent notamment à savoir si quelqu'un l'a vu monter dans ce mystérieux taxi le long de la rue de Rivoli. S'agit-il d'une voiture sans signalétique particulière ou d'un faux taxi ? « Selon le texto envoyé, Sussanna est persuadée d'être dans un taxi », relate une source judiciaire. « Ce qui est inquiétant, c'est qu'on peut avoir affaire à un prédateur qui met en scène son crime en maquillant son véhicule en taxi pour attirer ses proies », poursuit la même source.

    Depuis lundi, les enquêteurs tentent de remonter toutes les affaires impliquant des taxis, vrais ou faux, dans Paris et sa proche banlieue, à la recherche d'un élément qui pourrait les mener sur une piste. Pour l'instant, aucun rapprochement officiel n'est effectué avec l'affaire de l'autre jeune Suédoise violée à Orgeval (Yvelines) il y a deux mois après être montée dans un taxi à la sortie d'une boîte de nuit proche des Champs-Elysées (lire ci-dessous) . « C'est une piste, mais ce n'est pas la seule », nuance une source proche du dossier, qui s'interroge aussi sur la destination choisie par le tueur de Sussanna. « Le lieu de découverte du cadavre peut laisser penser que le tueur était déjà venu dans le coin, car nous sommes quand même en retrait des grands axes de circulation. »

    Alors tueur en série ou non ? ..........

    Peut-être le premier meurtre d'une longue série .....

    source : le parisien

    photo : le parisien


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  • Le drame s'est produit hier matin, entre 9 h et 9 h 15 dans une HLM sans histoire, une barre d'immeuble de trois étages, près du centre social de Bitola, au n°20 de la rue Jacquard, dans un quartier paisible d' Epinal. Un homme de 32 ans, Elie Lefebvre, a été retrouvé mort, le corps lacéré de multiples coups de couteau, dans un appartement du dernier étage. Le malheureux, un homme au profil mental fragile partageait le quotidien de sa mère, femme de ménage dans un établissement scolaire, âgée d'une cinquantaine d'années. Celle - ci est décrite comme une femme pacifique, tranquille, réservée et discrète. Son
    fils par contre souffrait d'importants troubles psychiques et ses poussées de violence étaient connues et redoutées du voisinage. "Il lui arrivait de crier ou de jeter des objets par la fenêtre. Mais en dehors de ces moments de crise, il était gentil et agréable", confie un jeune couple de ses voisins.


    Cris de désespoir et de souffrance

     Récemment, l'état du jeune homme avait justifié quelques séjours à l'hôpital psychiatrique de Ravenel à Mirecourt. Dernièrement, Elie Lefebvre avait fait l'objet d'une prise en charge par l'institution psychiatrique durant plusieurs mois. Et il n'avait pu retrouver l'appartement de sa mère que la semaine dernière. Hier matin, tout semble avoir  basculé entre 9 h et  9 h 15. C'est à cette heure que les voisins ont entendu l'homme pousser des cris déchirants de désespoir et de souffrance. Prévenus par un coup de téléphone, la police et les pompiers ont dépêché plusieurs voitures sur place. Les soldats du feu et les médecins ont
    pénétré dans l'appartement pour découvrir le cadavre ensanglanté  d'Elie Lefebvre. Le trentenaire gisait dans sa chambre avec sa mère à ses côtés. Il avait été
    poignardé – ou s'était lui-même poignardé – à de multiples reprises au niveau de la gorge, du thorax et de l'abdomen, avant de décéder vraisemblalement d'un arrêt cardiaque après s'être entièrement vidé de son sang.

    Selon, le substitut du procureur Gueorgui Varabanov: " le cadavre portait les marques de plus de cent cinquante coups de couteau. Les plaies étaient pour la plupart superficielles et ont été faites avec un banal couteau de cuisine qui a été retrouvé et saisi", a indiqué le représentant du ministère public. Acte de désespoir partagé entre un homme malade et un proche ? Crime ou suicide commis dans un état de démence ? Chargés de l'enquête, les policiers du commissariat d'Epinal vont devoir tenter de répondre à cette question. Hier, dans une première phase d'enquête, ils ont interrogé le voisinage et ont passé au crible l'appartement du drame à la recherche d'indices.

     Trois médecins légistes de l'Institut médico-légal de Strasbourg ont également fait le déplacement jusqu'à Epinal et se sont rendus dans l'immeuble de la rue Jacquard pour examiner le cadavre. Ils n'ont pas exclu l'hypothèse d'un suicide. La mère de la victime a néanmoins été placée en garde à vue au commissariat. La femme de ménage a indiqué aux policiers qu'elle était partie travailler tôt le matin. Elle serait revenue dans son appartement vers 9 h 30, après avoir effectué quelques courses dans un supermarché situé à côté de chez elle. Et c'est à ce moment-là qu'elle aurait découvert le corps sans vie de son fils.

    Automutilations schizophrènes 


    Hier, les policiers ont mené des investigations pour vérifier son emploi du temps. La mère trop choquée pour pouvoir continuer à être interrogée, a finalement été remise en liberté en fin d'après-midi. Elle ne devrait pas être à nouveau interrogée aujourd'hui.  Selon des sources policières, " l'hypothèse du suicide est totalement privilégiée. Les faits évacueraient une intervention extérieure ". Un enquêteurs confiait ce mardi matin " que même si les choses apparaissent comme paradoxales, un tel drame apparaît probable. Il n'y a aucun obstacle à ce que le mmalheureux ait pu s'infliger lui - même 150 coups de couteau. L'automutilation relève de la symptomologie de la schizophrénie " ajoutait ce policier interrogé aujourd'hui.


    L'enquête se poursuit néanmoins. Il faudra vraisemblablement attendre demain mercredi et l'autopsie du corps de la victime, qui aura lieu à l'Institut médico-légale de Strasbourg, pour en savoir davantage. Les conclusions des médecins légistes sont en tout cas très attendues. Elles diront si le malade mental spinalien s'est bel et bien asséné lui - même ces coups de couteau. Ou si une autre main a pu l'aider à en finir. 

    source : L'Est républicain


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  • Les malfrats, toujours en fuite, ont emporté des cartes de crédit et du cash


    LIEGE Le périmètre de sécurité, établi dans la matinée autour du magasin Aldi de la rue Saint-Nicolas à Liège, après l'intrusion de trois individus armés, a été levé peu après 11h00.

    La deuxième fouille du magasin a permis de confirmer que les malfaiteurs n'étaient plus présents dans le bâtiment et qu'ils avaient réussi à prendre la fuite.

    Les trois malfrats semblent être arrivés avant l'ouverture du magasin, peu avant 08h30. C'est un chauffeur de la société Aldi qui arrivait avec son camion pour décharger des marchandises qui a donné l'alerte.

    Des membres du personnel, du service de nettoyage et de la boucherie "Reymans", qui se trouve à l'entrée du magasin, étaient déjà présents à l'arrivée des malfrats. Ces derniers étaient armés de couteaux, de pistolets et de fumigènes.

    Ils ont obligé une caissière, en tenant ses collègues en otages, à sortir du magasin pour aller chercher les clés du coffre-fort. Mais la police se trouvait déjà sur place, alertée par le chauffeur de camion.

    Les policiers ont empêché la caissière de retourner dans le magasin. Il semble que ce soit à ce moment-là que les malfaiteurs ont réussi à quitter les lieux et à s'enfuir, en emportant les fonds de caisse et des cartes de crédit.

    Le parquet de Liège devrait organiser un point presse mardi après-midi

    source : dhnet.be

    photo / dhnet.be


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  • Un client a tenté de s'interposer mais a reçu un coup de crosse


    WATERLOO Une attaque à main armée a été commise mardi matin dans une bijouterie située dans le quartier de la gare de Waterloo, a-t-on appris de source policière. Un client a été blessé.

    Vers 10h30, trois auteurs encagoulés, armés d'armes de poing et d'un couteau ont fait irruption dans la bijouterie, située rue Emile Dury, et ont menacé la responsable du commerce.

    Un client a alors tenté de s'interposer mais à reçu un coup de crosse. Les auteurs ont brisé des vitrines pour s'emparer de bijoux, avant de prendre la fuite à bord d'une voiture de teinte bleue. Le montant du préjudice n'a pas encore été déterminé.

    L'enquête est prise en main par la police judiciaire fédérale de Nivelles.

    source : dhnet.be


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  • La justice hollandaise s'est prononcée. Il purgera sa peine en Belgique


    LA HAYE Le tribunal de La Haye a condamné mardi Nordin Benallal, surnommé le "roi de l'évasion", à 4,5 ans de prison pour une attaque à main armée commise contre un concessionnaire de motos à La Haye. Son complice, Yasin M. (Mejnoun), a écopé de 3,5 ans.
    Le ministère public avait requis, il y a deux semaines, des peines de respectivement 6 et 4,5 ans à l'encontre des deux prévenus. Ces derniers avaient attaqué un concessionnaire de motos le 30 octobre dernier, trois jours après l'évasion spectaculaire de Benallal de la prison d'Ittre.

     

    source : dhnet.be


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